Comique Grossier

trois textes, ont pour visée commune de dénoncer les inégalités sociales, de faire réagir le lecteur face à de telles injustices. Face à un Gnathon égoïste, et vorace, qui « se rend maître du plat », et domine les « autres », insatiable, personnage grossier de La Bruyère, Les Caractères traite le thème de la nourriture, apport nécessaire à la vie, d’une toute autre manière. Les personnages de Hugo et de Prévert souffrent quant à eux de la faim, avec un homme « terrible » ayant été accusé d’avoir volé

à Jupiter le temps de profiter d’Alcmène) I) En quoi cette pièce est-elle comique ? On peut affirmer que cette pièce de Molière est comique par la présence de différents ressorts et formes du comique. Tout d’abord, on retrouve les principaux effets du comique (comique de caractère, comique de mots, comique de gestes et comique de situation) présents de manière quasi-traditionnelle dans les pièces de théâtre comiques [1.]. De plus, on peut considérer que certains personnages ont comme intérêt

coloré bourrer d’onomatopée avec des personnages absurde ou même grotesque qui sont des caricatures par exemple l’élève Ducobu qui est une caricature grotesque de l’enfant cancre, on voit bien que lorsqu’il est adapté au cinéma l’univers devient grossier et même irréel, le dessins est fait pour plaire et pour amuser il ne sert pas forcément à faire passer de message particulier, c’est là la grande différence entre le dessins humoristique pour ‘enfant’ et pour ‘adulte’ (J’entends par ‘adulte’ que

théâtral comique du Moyen-âge adressé d’abord au peuple pour son côté grossier, ses tromperies et ses bastonnades, qui a beaucoup inspiré Molière. La présence d’éléments farcesques dans ses pièces lui a parfois été reprochée comme un écart préjudiciable à la bienséance. Pantomime (n. f.) : suite de gestes du comédien qui vise à amuser le spectateur plutôt qu’à raconter une histoire. Saynète (n. f.) : forme de comédie courte avec un nombre de personnages réduit. Les registres Comique (adj.)

une peur irrationnelle, brute, enfantine qui s’empare du personnage, d’autant plus drôle pour le spectateur/lecteur, qu’il sait bien, lui, que l’ours est mort. La régression vers un stade infantile du psychisme est un des ressorts du comique de la farce. Cet effet comique est redoublé, puisqu’il joue aussi sur la peur de Mère Ubu et sur le gag risible de sa chute sous le poids de l’animal. Le rythme haché de ses exclamations induit le jeu haletant de l’actrice et accompagne ses efforts pour se dégager :

faire ? Problématique : onglet thème * Rien ne semble plus spontané que le rire. La mise en emphase du mot rien, appuie l’idée qu’il n’y aurait pas autre chose de plus spontané que le rire. Mais le verbe semblé atténue ce propos. Tout acte comique (verbal, gestuelle…) a été préalablement analysé par le cerveau. À bien y réfléchir le rire n’est pas totalement spontané sauf dans le cas du chatouillement. * Le rire a une fonction sociale : le rire a une fonction d’inclusion, il permet à un

confondre avec l'expression spectacle vivant), si bien que certains grands metteurs en scène n'hésitent pas à dire que pour qu'il y ait théâtre, il suffit d'avoir un lieu, un temps, un acte et un public. Un genre théâtral est le résultat d'une création comique correspondant à une forme précise. Le spectateur, connaissant un genre donné, saura à quoi s'attendre. Selon la présentation de l'œuvre (tragédie, comédie…), il aura une vision stéréo typique de l'œuvre. Le genre est donc, avant tout, une convention

lui mais il reste méprisant jusqu’au bout : il la renvoie à son valet quand elle chercher des justifications car il est cruel + ses répliques sont toujours très courtes. → On peut se poser la question de savoir s’il est capable d’aimer. • Il est grossier et désinvolte : son valet doit répondre à sa place = ultime affront. → Dom Juan est égoïste : il ne pense qu’à ses intérêts. 2) La confession d’Elvire • Done Elvire est dès le départ face à la défaite = elle s’accuse elle-même de s’être mise

voire grossiers, insérés dans les mystères et dans les miracles, pièces de théâtre à sujet religieux. Ensuite, dans une comédie, l’auteur ne se contente pas seulement d’une situation amusante, il amplifie le comique en imposant à ses personnages des gestes, des mimiques, des actions qui les rendent encore plus drôles. L’aggravation et les retournements de situation, les rebondissements inattendus, les rencontres imprévues, toutes ces intrigues exagérées font rire ainsi que le comique de geste

- par le ton imaginé par le lecteur. Exemple : «  Allons, que l'on détale de chez moi, maître juré filou, vrai gibier de potence. » « Sors d'ici, encore une fois. » II) Le personnage comique du valet. a)Un personnage issu de la farce. Un thème tiré de la trivialité quotidienne : le vol . Exemple : « Et que j'aurais de joie à le voler » Une relation typique de la farce : maîtres et serviteurs.  (ou valet, ici). Exemple :