Commentaire Du Code Théodosien

une certaine mesure dans les écoles monastiques. Presque partout hormis l'Italie la décadence du droit romain et sa méconnaissance est quasi totale. Jusqu'au XI siècle on connait seulement un texte , le code qui avait été rédigé sur l'ordre de l'empereur de Théodose : le code Théodosien. C'est un code qu'on utilise un petit peu dans le midi de la France (et en Espagne) il a une portée très réduite. Il faut ajouter que ce droit romain peu utilisé a perdu de sa pureté initiale parce qu'il a été altéré

en perpétuelle évolution, il est affecté par l’histoire (reformes qui ne dureront pas elles évolueront). Les règles ancienne sont de très belle qualités, elle influence toujours, elles supportent très bien la comparaison et servent de modèle (le code civil n’est pas né en 1804, c’est un recueil inspiré de la législation antérieure) L'histoire du droit permet la compréhension du droit positif qui est tributaire du passé. Les règles anciennes servant encore de repère. ! Le Doyen Ripert a dit :

anciens préteurs. On trouve les anciens édiles puis les anciens questeurs à la fin de la liste. Ces sénateurs sont censés être d’une dignité irréprochable, sont censés servir de modèle. Durant les séances du Sénat, les sénateurs devaient adopter un code de conduite particulier. Les jeunes romains de la haute société assistaient aux séances du Sénat pour apprendre à se conduire. Le sénat romain est censé représenter à la fois la grandeur et la dignité de Rome. Tous les hauts magistrats peuvent consulter

mariage, dans son respect avec la lutte contre la polygamie, dans l’obligation de fidélité réciproque, dans le refus de la répudiation à la romaine etc. ; c’est la modernité, et non le Moyen Age, qui a aggravé le statut de la femme, ce dont témoigne le Code Napoléon. Il en est de même pour le statut de l’enfant dont on peut suivre l'amélioration à travers l’histoire du droit jusqu'en 1500. Après 1500, on assiste, au contraire, à une renaissance des pouvoirs du père presque comme on les trouve dans le

Germaine. Cette influence sur le droit germanique a induit un amalgame entre les traditions purement romaine et les coutumes germaniques. Le droit romain est le ciment de cette famille juridique. Les premiers recueils de droit romain comme le code Théodosien ont servi de trames aux lois qui ont régis les peuples au lendemain des invasions avant de se substituer à elles. Les compilations de l’empereur Justinien on joué un rôle considérable après ce que l’on appelle la renaissance du droit romain

(personnalité des lois). Il y a deux grands types de lois : - droit des gallo-romains (écrit) - droit barbare (surtout oral) Droit des Gallo-romains : s’inspire du droit romain, dont il est une simplification qui s’appuie surtout sur le code théodosien, qui est une compilation de textes de droit romain réalisée par Théodose avant la chute de l’Empire. Ce droit présente des avantages. En 506, le roi wisigoth Alaric promulgue un texte appelé « loi romaine », destiné à réunir le droit applicable

en fait une version très simplifié Le texte dont dispose encore les gallo-romain est un code (théodosien) qui a été rédigé avant l’écroulement de l’empire et les gallo-romain ne sont plus capable de l’appliquer ce qui va conduire à une simplification par les rois mérovingiens En 506 : c’est un roi Wisigoths qui fut le premier à prendre l’initiative de rédigé une version simplifié et écourté du code théodosien. Elle est appelé : « loi romaine ». Lorsque Clovis va conquérir les territoires sous la

son profit. On a un pragmatisme politique. SECTION 2 : DE LA SUZERAINETE A LA SOUVERAINETE ROYALE (LE ROI EMPEREUR EN SON ROYAUME). Il s’agit de se demander comment le pouvoir royal a-t-il utilisé la féodalité à son profit. Il y a des commentaires critiques par rapport à l’Ancien régime ; en effet, il y a superposition d’institutions, ou encore pluralité des juridictions. Il n’y a pas véritablement d’acte de naissance et de mort des institutions. Cela s’explique par une forme de pragmatisme ;

son profit. On a un pragmatisme politique. SECTION 2 : DE LA SUZERAINETE A LA SOUVERAINETE ROYALE (LE ROI EMPEREUR EN SON ROYAUME). Il s’agit de se demander comment le pouvoir royal a-t-il utilisé la féodalité à son profit. Il y a des commentaires critiques par rapport à l’Ancien régime ; en effet, il y a superposition d’institutions, ou encore pluralité des juridictions. Il n’y a pas véritablement d’acte de naissance et de mort des institutions. Cela s’explique par une forme de pragmatisme ;

devoir se tourner vers les membres de l’église qui a une organisation propre et un mode de fonctionnement propre différent du pouvoir de l’empereur Premiers chrétiens : développent l’enseignement du christ pour les diffuser à la population B) Les commentaires de St Paul Vers 57-58 ap JC a dicté un texte destiné à la jeune communauté chrétienne de Rome : épître aux romains : parle de l’attitude à adopter pour les chrétiens à l’égard des autorité romaines : aux yeux de St Paul, l’autorité de l’empereur