Commentaire Texte Pascal Pensée

                                           Blaise Pascal[1]           Comme il ignore la vérité qui le libère, il est utile qu’il soit trompé. Commentaire de TexteLa justice qui change avec le temps peut faire naitre une confusion sur l’essence de cette justice. On peut alors s’interroger sur le fondement des règles qui dictent notre conduite, qui séparent le juste de l’injuste, le bien du mal ? Dans ce texte de Blaise Pascal, Philosophe du 17ème siècle, il s’interroge sur l’origine

Commentaire de texte François de La Rochefoucauld (1616-1680), Réflexions ou Sentences et Maximes morales, 1678, maximes 80 à 88 C’est en 1665 que le Duc de La Rochefoucauld publie un premier ensemble de maximes qu’il remanie, corrige, modifie et augmente en permanence jusqu’à l’édition de 1678. Il ne développe pas dans cette œuvre une pensée tout à fait originale mais s’inspire de l’augustinisme, courant religieux inspiré de Saint Augustin (354-430) : il s’agissait de montrer que l’humanisme

e coeur et la raison : Quels rapports ? Pour Pascal, la vérité est accessible par deux moyens :  le coeur et l’esprit. Ce que Pascal appelle le coeur, c’est la faculté qui nous fait connaître les choses par une intuition immédiate et qui, étroitement reliée au corps, comporte tout ce que nous entendons par instinct, sensibilité, sentiment. La raison ne fait que déduire et conclure à partir des premiers principes qui, eux, nous sont directement communiqués par le coeur. Le coeur est donc premier

DEVOIR DE PHILOSOPHIE I I.     PROBLEMATIQUE DU TEXTE Thème Problème Thèse Antithèse : L’hypothèse de l’inconscient : L’hypothèse de l’inconscient se justifie-t-elle ? : L’hypothèse de l’inconscient est nécessaire et légitime. : L’hypothèse de l’inconscient est illégitime en ce qu’elle favorise la ruine de l’éthique : Prouver l’existence de l’inconscient : La connaissance de l’homme  Intention  Enjeu II. STRUCTURE DU TEXTE EN VUE DE SON ETUDE ORDONNE (DEUX MOUVEMENTS) 1er mouvement

Question : Le corpus se compose de quatre textes de deux siècles différents. Pensée 347, de Blaise Pascal (1670), Le Chêne et le Roseau, de Jean de La Fontaine (1668), sa réécriture par Jean Anouilh Le chêne et le Roseau (1962), et Le Peuplier et le Roseau, de Raymond Queneau (1968). Les quatre auteurs du XVIIe et XXe siècle donnent une image de l'homme nuancée. Il est présenté comme surprenant, prétentieux, pensant et conscient, et enfin, sage. On trouve l'idée d'un homme surprenant dans

Nul ne peut penser à notre place ; nul ne peut se substituer à nous quand il s'agit de penser. Cependant tous s'empressent : l'homme politique pense pour nous et décrète ce qu'est le bien de l'Etat ; l'homme de la publicité pense pour nous et décide pour nous quels sont nos besoins et quels sont les moyens de les satisfaire ; l'opinion publique pense pour nous et dit ce qu'il faut penser d'un homme ou d'un livre. Ainsi, d'autres prétendent penser pour nous et nous - mêmes nous pensons parfois sans

découvre ce à quoi elle pense grâce à une alternance de discours narrativisé v 8 "notre laitière ainsi troussée comptait déjà dans sa pensée…" et du discours direct traduit grâce au verbe en incise" disait-elle". On notera ici comment l'enchainement de ces rêves liés au thème de l'argent mime l'emballement e l'imagination. Le passage est d'ailleurs assez étourdissant avec cette inflation du moins cher au plus cher du moins couteux au plus couteux. V24 on retrouve la chute du texte, une chute ans tous

découvre ce à quoi elle pense grâce à une alternance de discours narrativisé v 8 "notre laitière ainsi troussée comptait déjà dans sa pensée…" et du discours direct traduit grâce au verbe en incise" disait-elle". On notera ici comment l'enchainement de ces rêves liés au thème de l'argent mime l'emballement e l'imagination. Le passage est d'ailleurs assez étourdissant avec cette inflation du moins cher au plus cher du moins couteux au plus couteux. V24 on retrouve la chute du texte, une chute ans tous

a. et b. sont traités ensemble.
Texte 1 Paris (comparé) est ici évoqué dans sa dualité de ville foisonnante et destructrice par la métaphore filée d’un champ (comparant) sans cesse renaissant, agité par une tempête d’intérêts et moissonné par la mort. Cette tempête des intérêts et la mort comme « faucheuse » sont des allégories. L’assimilation des hommes (comparé) à des épis moissonnés et toujours renaissants (comparant) est en revanche une métaphore. Texte 2 La personnification des éléments

Havet, éd. des Pensées, I, 1866, p. 118, renvoie pour l’interprétation de la formule Seconde partie, au fragment Ordre 4 (Laf. 6, Sel. 40) ; mais ce fragment semble donner une autre portée à la seconde partie : le fragment Souverain bien 2, qui montre que l’homme sans la foi ne peut connaître le vrai bien, ni la justice, paraît plutôt répondre à la Première partie du programme, Misère de l’homme sans Dieu. Première partie : Misère de l’homme sans Dieu. Deuxième partie : Félicité de l’homme avec