Communication Et Refus De Soin

correspond à l’ensemble des critères demandés. Elle aborde la notion de psychiatrie dans un contexte d’accueil de jour en milieu rural où la notion d’interprofessionnalité y revêt toute son importance. Tout ceci dans le but d’offrir la meilleure prise en soin possible au patient. Chaque secteur de psychiatrie, en marge de l’hospitalisation complète, dispose de lieux de soins répartis sur son territoire communément appelés antennes ayant pour objectif d’assurer le suivi du patient. Maëlle a effectué son

face de sa maison. Au vu de l’état sanitaire et physique de Madame X lors de son hospitalisation, une douche s’impose. Celle-ci nous permettrait d’évaluer son état cutané et de lui enlever les croûtes présentes dans ses cheveux. Pour faire ce soin à la patiente, il a fallu entrer dans son « jeu » car Mme X. était opposante aux soins quels qu’ils soient et de manière très agressive (ex : la veille elle a craché à la figure de l’aide-soignante les comprimés du soir et il a fallu se mettre à 2

l'infirmière de nuit et pouvoir commencer le tour à 7h, pour finir à 14h. Tandis que les infirmières qui sont de l’après midi arrivent à 13h pour les transmissions avec les infirmières du matin, pour finir à 21h.La situation ici présente est une situation de refus de soins, prise de médicamentsJe vais donc voir Madame V, présente depuis 1 semaine dans l'hôpital, qui est une dame de 54 ans qui a eu une transplantation hépatique à la suite d' une cirrhose d’origine alcoolique. Madame V à 5 enfants et 3 petits

l'enfant à l'entente du mot "piqure" (pleurs : refus de soins) J'ai expliqué à la mère la raison pour laquelle j'allais mettre une crème anesthésiante et parlé avec des mots simples à sa fille pour qu'elle puisse elle aussi comprendre l'intérêt de la crème emla. Cela permettant de répondre aux objectifs 5 (Informer une personne sur les soins en recherchant son consentement) 1 (Définir, établir et créer les conditions et les modalités de la communication propices à l'intervention soignante, en tenant

J’ai choisi cette situation afin d’étudier le positionnement du soignant dans la relation soignant/soigné lorsque le patient refuse le soin. Comment le soignant doit-il se positionner face à un refus de soins ? Cette situation se déroule en service de psychiatrie en secteur fermé. L’ensemble des patients est sous un régime de contraintes que ce soit à la demande d’un tiers (SPDT) ou à la demande du préfet (SPDRE). Le service comprend 14 lits dont une chambre d’isolement. Analyse de la situation

patient ? doit-on lui enlever la pompe ? est-ce que les antalgiques paliers 1 vont suffire ? pourquoi considère-t-il la morphine comme tel ? II. Analyse. Les concepts que j’ai souhaité développer suite à cette situation sont la douleur et le refus de soin. Le premier concept est celui de la douleur. Selon la définition officielle de l’association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), "la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire

continuer le normacol Il refuse la pose de la sonde gastrique. Il passa la nuit à vomir en jet et à ne pas dormir. Le lendemain, l’infirmière, après un échange avec lui, réussit à le convaincre d’accepter la sonde qui donna l200 cl. Sur 24h. Après questionnement de Mr L à propos de son refus pour la pose de la sonde, on obtint de lui qu’il n’a pas voulu celle-ci car le médecin ne l’a pas convaincu de l’importance de la pose de celle-ci. En quoi une communication adaptée entre patient et

« SEMESTRE 5, 1er SESSION » Restitution le vendredi 13 novembre 2015 à 1° Partie : DESCRIPTION DE LA SITUATION RELATIONNELLE. Cabinet libéral, prise en soin, d'un homme de 63 ans vivant avec son épouse à domicile. Alcoolisme sevré, Hémiparésie gauche post AVP, syndrome dyséxécutif, aboulie, syndrome anxio-dépréssif, syndrome frontal. Kinésithérapeute deux fois par semaine. Très peu d'élaboration, ralentissement

blousse rose et retirer tout dans les cheveux ainsi qu’une prémédication (anxiolitique) avec son traitement habituel prescrit par l’anesthésiste. Madame était compliante au programme de sismothérapie, son mari était mis au courant du programme de soin tout les 2 jours et venez regulièrement la voir dans le service. Il était tres investit dans le suivi thérapeutique de sa femme et voyez la nécéssité du programme car son état ne presentait aucune amélioration. Ses plaintes somatiques revenaient constamment

grâce à une sonde que l’on pose ayant différents capteurs pour mesurer ces pressions. Dans le cas de ce patient, cet examen était utile pour savoir s’il fallait ou non qu’il porte une sonde à demeure constamment. J’installe alors le patient pour ce soin en lui expliquant le déroulement du bilan. Je lui enlève son jean et son caleçon et lui pose alors une serviette pour la pudeur. Le médecin rentre dans la salle et discute avec le patient à propos de ses antécédents et du but de cet examen. Le médecin