Communication Informelle Avantages

ressources humaines, technologie, marketing, infrastructures et systèmes d’info, gestion finances, contrôle de gestion Structure pyramidale : -une des formes les plus classiques -chacun dépend d’un seul chef -coordination : supervision directe -avantage : unité de commandement, discipline -inconvénient : rigidité, adaptation difficile à des situations changeantes, centralisation, tentation pour les chefs d’abuser de pouvoir, et pour les salariés d’attendre les ordres des chefs pour bouger.

seulement l'aspect formel de la structure de l'entreprise, mais pas l'aspect informel. On ignore la façon dont les services communiquent entre eux et la façon dont sont prisent les décisions. Question 4 : Les facteurs explicatifs de la structure actuelle de l’entreprise COROT sont les suivant : Question 5 : En adoptant le schéma suivant l'entreprise opterait pour un modèle de structure matricielle. Avantages : - vue d’ensemble des tâches - liaisons directes - maîtrise de situations

l’utilisation d’une méthodologie de conduite de projets (Cf Gestion de projet) *          Prendre en compte la dimension humaine :Prendre en compte les valeurs, la culture, les résistances au changement au travers d’une démarche de participation, de communication et de formation/coaching dont l’objectif est de permettre la compréhension et l’acceptation par les individus des ”nouvelles règles du jeu” résultant du processus de changement. |   |   | *   |   |   | *   | Principes de base | |

GANAME Youssouf ILBOUDO D. Nadia .J.H NACOULMA Madina OUEDRAOGO Djénéba 1ère jumelle SODRE Boubacar PLAN INTRODUCTION I. LA DELEGATION ET LA DECENTRALISATION A. La Délégation 1. Définition 2. Avantages et limites B. La Décentralisation 1. Définition 2. Avantages et limites II. IMPLICATION DE LA DELEGATION ET DE LA DECENTRALISATION COMME OUTILS DE MANAGEMENT PARTICIPATIF DANS L’ENTREPRISE 1. Définition 2. La délégation et la décentralisation comme outil de management

se distingue-t-il du système organique? Le système mécaniste se retrouve dans une organisation centralisée. Les activités sont décomposées en tâches et les rôles sont spécialisés. Il y a une structure hiérarchique de contrôle, d’autorité et de communication, renforcée par la convergence et la concentration des informations au sommet de la hiérarchie. Les interactions se font principalement à la verticale entre supérieurs et subordonnés. Le système organique se retrouve, lui, dans une organisation

imposent des normes (règle de conduite en société) et transmettent des valeurs (principes idéaux) les groupes développent le sentiment d’appartenance. B/ les différents types de groupe : Le groupe formel -> existe officiellement. Le groupe informel ->n’existe pas officiellement. Le groupe d’appartenance -> groupe auquel on appartient. Le groupe de référence -> groupe qui sert de modèle. Le groupe selon l’effectif -> 3 a 5 personnes : petit groupe 6 à 13 personnes : groupe restreint 14

capitalisme financier qui marque la domination de la finance sur les autres secteurs économiques. Mais la mondialisation est aussi un processus de mise en relation des territoires de plus en plus intense, causé par les progrès techniques (transport, communication). Enfin, la mondialisation est également un processus de valorisation, à différentes échelles, des territoires : il crée des richesses mais est aussi une source d’importantes disparités. En quoi la mondialisation hiérarchise-t-elle des territoires

Sponsoring et communication Sommaire 1) Qu’est ce que le sponsoring ? -Les types de sponsoring. - Les intérêts pour le sponsor. 2) Qu’est ce que la communication ? -Les enjeux de la communication. -Les principaux types de communication. 3) Quel lien y a-t-il entre le sponsoring et la communication ? -Communication interne. -Communication externe. 4) Quelques exemples de sponsors. 1) Qu’est ce que le sponsoring ? Un sponsor (anglicisme) est une entreprise

performance de ses salariés et cette évaluation est étroitement liée à la pratique des entretiens annuels. Il est en effet important de comprendre que l’évaluation donne sa cohérence et son intelligence à une sanction professionnelle, primes et autres avantages, évolution de carrière et formation. Elle comporte donc une relation immédiate à la motivation des personnes. En ceci, elle est non seulement un acte de gestion des ressources humaines mais également un acte de management. La réelle valeur ajoutée

point de vue syndical Education ouvrière 2001/2 Numéro 123 Sommaire Editorial Les femmes africaines en première ligne, par Mamounata Cissé L’intégration régionale en Afrique: mode d’emploi, par Mohammed Mwamadzingo Le défi de l’économie informelle, par Emile Delvaux Une nouvelle conception de l’ajustement, par Lawrence Egulu Mondialisation, démocratisation et conditionnalités à géométrie variable, par François Misser SIDA: prévention et trithérapies, pas de contre-indication pour le Sud,