Comparaison Homérique

vers 1 et 5 est une anaphore présente sur les deux premières strophes. Ceux-ci plantent le décor, c’est de celui-ci que va surgir la femme aimée. L’environnement est enchanteur, c’est un moment privilégié : le début/la naissance du jour. Epithètes homériques => mots, groupes de mots répétés dans un texte, ils décrivent, se sont des moyens mnémotechnique comme « l’aube encor’ de ses tresses tant blondes » (vers 7). Les vers 9 et 10 ainsi que les vers 12 et 13 ont des rimes suivies, alors que les

grande notoriété de même source. La caractérisation du "voyageur", "plein d'usage et raison" (usage équivaut à "sagesse"), est aussi un clin d'oeil : d'une part à ce dicton selon lequel "les voyages forment la jeunesse", d'autre part à quelques héros homériques : Ulysse étant le plus sage ("le rusé Ulysse"), il parvient à déjouer les pièges de Neptune, alors que "le bouillant Achille" meurt à Troie. Enfin, la structure même du vers 1 est un calque d'une ode du poète latin Horace, dont Du Bellay a traduit

coeur du poème. 1) La femme, un être malfaisant et inquiétant par sa dimension mythique : Ce poème comporte plusieurs indices qui montrent qu’il s’inspire de la mythologie : • La chanson du batelier : chanson légendaire → penser aux chants homériques ; • « Sept femmes tordant leur cheveux verts » → le chiffre 7 : chiffre symbolique et magique ; • Femmes aux « cheveux verts » → indubitablement inspirées mythologie germanique : ces femmes seraient un peu l’équivalent des sirènes d’Ulysse

acteurs, parties d’une situation 154 3. Cas 3 : moments (parties( d’une action 156 4. Cas 3’ : la « description homérique » 166 B. Prédicats fonctionnels à l’intérieur d’une séquence hétérogène 171 1. Cas 4 : séquence

possession Le décor d'abord mort, inanimé, inquiétant puis animé, merveilleux, étrange et splendide. De la nature à une ville fantasmagorique, de l'aube à la déesse ==> tonalité mythique au texte, épique aussi (cf déification de l'Aurore dans la poésie homérique II/ La transfiguration et la renaissance A/ Transposition de l'animation matinale de la nature en acte volontaire, héroïque. Deux mondes opposés dans la 1° strophe : - le monde de l'obscurité inquiétante et de la mort (durée à l'imparfait) -

« la mort la frappe ». La maladie de la Peste est personnifiée. Les ravages sont importants car toutes les formes de vies sont touchées « germes », « fruits », « troupeau de bœufs », « les femmes n’enfantent plus la vie ». La mort domine la cité. Comparaison entre la vie et la mort → déséquilibre entre la vie et la mort. Le prologue a un rôle informatif mais il ne délivre pas que des informations. L’évocation du passé, du présent et du futur incite le public et sert à présenter le héros de la

alors au cœur du poème. 1) La femme, un être malfaisant et inquiétant par sa dimension mythique : Ce poème comporte plusieurs indices qui montrent qu’il s’inspire de la mythologie : • La chanson du batelier : chanson légendaire → penser aux chants homériques ; • « Sept femmes tordant leur cheveux verts » → le chiffre 7 : chiffre symbolique et magique ; • Femmes aux « cheveux verts » → indubitablement inspirées mythologie germanique : ces femmes seraient un peu l’équivalent des sirènes d’Ulysse, pour

le temps ou l’espace pour permettre les rêves les plus osés et développer toute sa puissance attractive. CORRIGE Questions de texte Ainsi Fénelon, dans Les Aventures de Télémaque, place la contrée extraordinaire de la Bétique dans l’Antiquité homérique. Montesquieu, dans ses Lettres persanes, nous rapporte la fable d’un peuple oriental imaginaire, les Troglodytes. Quant à Voltaire, il place la fin des tribulations de Candide, dans les environs de Constantinople. Ces textes recourent-ils seulement

mêle les types de personnages, la scène mêle les niveaux de langue. Discours du chœur : style faussement lyrique (dans l’antiquité le chœur utilisait un langage poétique qui se traduisait par un autre type de vers et un style très lyrique) ; comparaisons épiques , vocabulaire relevé mais images familières (ex. : ventre rebondi, triple menton… votre chaste robe est retroussée… nos blés sont secs comme vos tibias) Dernière réplique plus familière : quelque joyeuse bombance est dans l'air d'aujourd'hui

Les fonctions du mythe dans l’organisation spatiale de la citéKernos Revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique  20 | 2007 Varia Les fonctions du mythe dans l’organisation spatiale de la cité L’exemple de Tanagra en Béotie Dominique Jaillard Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/kernos/177 DOI : 10.4000/kernos.177 ISSN : 2034-7871 Éditeur Centre international d'étude de la religion grecque antique Édition imprimée Date de publication : 1 janvier 2007