Comparaison Homérique

arguments ont été rejetés. Cependant il est dit qu’Homère était aveugle , cette hypothèse a été gardé. La Question Homérique *Dès le XVIIIème siècle, une polémique s’élève sur l’Odyssée. -1er camp soutien des thèses analystes qui considèrent les poèmes homérique comme un assemblage de poème qui ont été conçu, retouché à des époques différentes par des poètes différents (incohérence

de Le Moyne (Saint-Louis, 1653), Georges de Scudéry (Alaric, 1654), Antoine Godeau (Saint-Paul, 1656), Jean Chapelain (La Pucelle, 1657), Desmarets de Saint-Sorlin (Clovis, 1657), Le Laboureur (Charlemagne, 1664)  Desmarets de Saint-Sorlin, La comparaison de la langue et de la poésie française avec la grecque et la latine (1670) – Défense du poème héroïque (1675) - Défense de la poésie et de la langue française (1675)  Michel de Marolles, Traité du poème épique (1662)  Le Laboureur, Avantages de

portier. Généralement (à cette époque) ce type de personnage se trouve dans une histoire. Dans le roman son racontées les aventures héroïque qui sont merveilleuses au pseudo-historiques, le roman trouve sa source dans les épopées comme l’épopée homérique : L’Odyssée. Il y a deux mouvements dans cet extrait. Le premier, c’est à partir de la ligne 1 à la ligne 11 avec une intrusion auteur/narrateur et le deuxième avec le retour au récit de la ligne 11 jusqu’à la fin de l’extrait. Dans le premier

vont découvrir leurs équivalent ou des nouveautés dans les autres pays. Les scientifiques vont se perfectionner en zoologie et en anatomie, en découvrant beaucoup d’espèces animales inconnue en Europe et vont comparer avec celles connues. Ces comparaison vont ensuite se déplacer dans d’autres domaines (ex : droit comparé).Tardivement par rapport à ces modèles scientifiques, on s’intéresse aux littératures comparée, fin 19è, et début 20e on invente la littérature comparée. Dans un manuel des

des récits homériques pour en parler. Par opposition aux « stupides mortels » elle est donc une déesse. * Opposition entre la représentation qu’il fait en fait v.9 avec « être maudit » et celle du v.14 avec « grand ange ». Cela marque la différence entre la manière dont les mortels voient la Beauté et la manière dont Baudelaire perçoit la Beauté. * La « statue aux yeux de jais » et « au front d’arain »v.14 fait une fois de plus référence aux divinités grecques. Cette comparaison peut faire

et des « petits » soumis à l'arbitraire et aux abus des « grands », est discrédité d'emblée comme un être à la fois « lâche » et « laid », qui « fait horreur surtout à Achille et Ulysse » (chant II), les héros les plus incontestables de l'univers homérique ! On ne peut imaginer, quand des êtres aussi dissemblables sont mis en présence, la moindre communication sympathique. Elle serait, comme dans Dom Juan, une source de confusion et de perte des repères. Quand la démesure héroïque, exaltée dans l'épopée

NRP lycée, janvier 2010), L'Odyssée entre selon lui dans la catégorie des romans d'apprentissage, puisque c'est "l'histoire d'un individu, qui au cours d'expérience divers, acquiert une personnalité". On peut dire que ces deux aspects de l'épopée homérique traversent le roman et le film Zazie dans le métro. Cependant la fantaisie comique qui caractérise aussi l'œuvre peut faire douter d'une telle identification. A priori, rien ne semble rapprocher la petite fille impertinente des héros grandioses

85), du « vin doux comme le miel » (VII, v.182), de la « charmante ville » (VII, v.18) ou encore du « palais illustre » (VII, v.46). Ce procédé de sublimation est très régulièrement utilisé pour décrire ou même pour nommer. En effet, les épithètes Homérique deviennent toutes valorisantes : Nausicaa est qualifiée de « fille au beau visage » (VI, v.113) aussi, Alcinoos et appelé : « Alcinoos le généreux » (VI, v.299), « Alcinoos, Seigneur sacré » (VIII, v.2), « le noble Alcinoos » (VII, v.23) … 3

les proies. Dans la réalité ne sont qu’un but, une destination. Cf: Polyphème comparé à un lion mais différent d’Ulysse Ulysse lion intelligent. Polyphème, bête comparé à une bête. Dans le cas d’Ulysse, animalisation. Dans le cas du cyclope, comparaison. C’est la stylistique qui les différencient.  L’animalité va de paire avec le registre épique. Chant VI vers 128 -136 "Dans l'épaisse verdure, il tailla de sa grosse main une branche feuillue pour cacher sa virilité. Comme le lion des montagnes

exilés, la réflexion sur l'exile est aussi reprise par les résidents à Constantinople dans leurs correspondances avec les exilés. Ce qui revient le plus souvent c'est le contraste de la perte. Il y a des comparaisons de Constantinople comme lumière brillante avec la province terne. Comparaison aussi entre l'âne et le cheval. Dans tous les cas le souci majeur de l'exile consiste à expliquer comment ils gèrent cette situation. Ils parlent alors de dépression de désespoir, ils expliquent leur