Comparaison Homérique

de la cité spartiate peut se trouver dans son système éducatif, radicalement opposé à celui d'Athènes. Athènes est une ancienne cité de l'Attique. Le système éducatif de cette cité est très différent du modèle spartiate, d'ou l'interêt de cette comparaison. Sparte est un ancienne cité située dans le Péloponnèse, sur l'Eurotas, dans la plaine de Laconie. C'est l'une des cités les plus puissante de la Grèce ancienne. On se concentre principalement sur la fin de la période archaïque (VIIIe – Ve siècle)

vers 98 ruine l'application directe au texte de l'assimilation au monde de l'Au–delà, bien que certains aient vu dans le pays des Lotophages un symbole du monde des Ombres et de leur fruit l'équivalent du Léthé. Depuis quand a-t-on vu un personnage homérique se plaindre de retrouver le monde des vivants ? L'au-delà est, le cas échéant dans le poème, présenté sous des couleurs peu enviables. Tous ces éléments s'accordent bien avec le symbolisme du Taureau : grégarité, caractère terrestre, enracinement

à la Muse avec le verbe à l’impératif « chante », c’est-à-dire à la divinité protectrice des poètes ; il lui demande de chanter le poème, c’est-à-dire d’inspirer le poète, qui sera en quelque sorte sa voix. 6 Ulysse est qualifié de son épithète homérique « aux mille ruses » [l. 1], ensuite on comprend qu’Ulysse est endurant et persévérant, enfin qu’il est un chef soucieux du sort de ses compagnons. 7 Le texte cite deux personnages qui vont s’opposer au retour d’Ulysse : la nymphe Calypso [l. 14]

âmes. Or qu’est-ce qu’un poète (je prends le mot dans son acception la plus large), si ce n’est un traducteur, un déchiffreur ? Chez les excellents poètes, il n’y a pas de métaphore, de comparaison ou d’épithète qui ne soit d’une adaptation mathématiquement exacte dans la circonstance actuelle, parce que ces comparaisons, ces métaphores et ces épithètes sont puisées dans l’inépuisable fonds de l’universelle analogie, et qu’elles ne peuvent être puisées ailleurs. Maintenant, je demanderai si l’on trouvera

l’auditoire on est plutôt hostile, il vaut mieux démarrer sur les quelques points communs qu’on a. Parallèlement aux deux enchainements évoqués, dans lesquels les arguments forts précèdent les faibles ou leur succèdent, il en est un autre dit « homérique » qui correspond à l’ordonnancement suivant : Arguments forts Arguments faibles Arguments forts Cette progression permet à la fois de mobiliser d’emblée l’auditoire par une attaque nette, de lui permettre de se relâcher face à des propos moins dynamisant

mise en avant, le caractère mystérieux de la nuit, citée à plusieurs reprises et qui dans le cadre de la bataille est un atout pour les Grecs. A ceci vient s’ajouter « le jour aux blêmes coursiers », citation dans laquelle on reconnaît l’épithète homérique évoquant le char du soleil et qui provoque chez les Grecs « une clameur éclatante » comme si ici le Soleil, divinité perse nommée Ahuramazda, était aussi du côté des Grecs. L’auteur fait apparaître ici une atmosphère mystérieuse comme si malgré l’infériorité

la nature, la mer est l’élément qui coûte le plus cher au ventre de l’homme, par tant de préparations, tant de mets tant de gourmandises procurées par les poissons, que l’on apprécie d’après les périls courus pour les capturer. Mais qu’est-ce en comparaison des pourpres, des coquillages, des perles?” Comme nous l’avons dit, les produits de la mer sont plutôt réservés à une partie plus aisée de la population à Rome. Si les poissons restent tout de même accessibles à une frange plus ouverte de la population

ironiquement le discours rhétorique de la souris dont il condamne la tentative. Tu gagnerais autant à parler à des sourds. Alexandrin. De nouveau tutoie la souris. Emploi du conditionnel qui place son propos dans un système hypothétique d'irréel. Comparaison entre une telle tentative et celle de faire entendre quelque chose à un sourd. Ces éléments concourent au caractère risible et impossible d'une démarche pareille. Rime ironique « discours »/  « sourds » : communication impossible. Chat et vieux

l'époque moderne un dieu solaire, patron de la musique et des arts. Au XIXe siècle, il symbolise la raison, la clarté et l'ordre, considérés comme caractéristiques de l'« esprit grec ». Dans la mythologie grecque, Asclépios est dans l'épopée homérique un héros thessalien puis, à l'époque classique, le dieu de la médecine. Fils d'Apollon, il meurt foudroyé par Zeus pour avoir ressuscité les morts, avant d'être placé dans le ciel sous la forme de la constellation du Serpentaire. Il correspond à

bienfaisantes ou malfaisantes. Tout est sous le signe de l’amplification, qui utilise de nombreux procédés : amplification spatiale (hauteur, profondeur, élargissement), héroïsation des protagonistes et des forces en présence, hyperboles, pluriels, comparaisons de supériorité (22), énumération (v 6-11), parallélisme : même construction des v 19 et 21… L’image récurrente des chiens qui encercle cette description crée une ambiance sonore, dramatique (répétition de « aboyaient »), car les animaux sentent