Comportement Consommateur Marocain Assurance

spécialisation. Mais une nouvelle réalité s’impose à travers une contrainte externe qui ne cesse de s’amplifier. Elle pèse de plus en plus sur la conduite de la politique économique et le comportement des différents acteurs économiques. L’office chérifien des phosphates est considéré comme étant l’un des piliers de l’économie marocaine, il est le 1er exportateur mondial du phosphate brut ainsi que l’acide phosphorique dans le monde. Le Groupe OCP suit avec intérêt ces évolutions et met tout en œuvre pour

la Banque Marocaine Pour le Commerce et l’Industrie (BMCI) En fait ; passer un stage dans une banque notoire et prestigieuse dans l'ensemble de réseau Bancaire Marocain, plus dynamique et plus ouverte sur l'extérieur, en l'occurrence de la Banque Marocaine pour le Commerce et l’Industrie (BMCI) élue parmi les meilleurs banques marocaines connue par son organisation et aussi l’innovation, l'unique motif qui m'a motivée de postuler pour un stage. Mon stage au sein de la Banque Marocaine pour le Commerce

Introduction Aujourd’hui l’évolution remarquable du secteur bancaire traduit par une large ouverture à la clientèle, afin de répondre à certains objectifs déjà fixé par les autorités monétaires marocaines, qui sont résumés dans l’amélioration de la qualité des services, aussi bien pour accroitre le rôle de la banque dans la réalisation de développement économique et social, alors que la modification de plusieurs textes de lois et la mise en place

au Maroc 2/72 Rapport de synthèse – Mars 2013 Conseil de la Concurrence Liste des abréviations AWB Attijariwafa bank BAM Bank Al-Maghrib BCM Banque Commerciale du Maroc BCP Banque Centrale Populaire BMCE Banque Marocaine du Commerce Extérieur BMCI Banque Marocaine pour le Commerce et l’lndustrie BNP PARIBAS Banque Nationale de Paris – Banque de Paris et des Pays Bas BPR Banques Populaires Régionales CAM Crédit Agricole du Maroc CBAO Compagnie Bancaire de l’Afrique Occidentale CDG Caisse

33 VI- Recommandations……………………………………………………………............49 Conclusion……………………………………………………………………………………………….54 Annexes …………………………………………………………………………………………………..55 INTRODUCTION Le secteur du commerce est l’un des piliers de l’économie marocaine, il contribue à la création des richesses avec une part du PIB s’élevant à 12.8 % et une participation à hauteur de 2.5% du volume des investissements étrangers. Regroupant une large gamme d’activités, qui se caractérisent par la diversité de

les banques marocaines : A l’instar des banques occidentales, les banques marocaines pour leur politique de produit constituant des «Packages» de produits et services. Par cette composition, la banque peut s’assurer de plaire au client en lui offrant un ensemble de services qui répondent à ses besoins et de rentabiliser sa proposition d’ensemble grâce à une judicieuse combinaison des éléments constituant le «package ». Ces éléments sont de six types pour les banques marocaines: Les produits

rebrandingI..5. Facteurs clés du succès d’un rebranding (Jean-Noël KAPFERER)I.4. Changement de marqueI.5. Société d’assuranceI.5.1. Qu’est-ce qu’une société d’assuranceI.5.2. Le fonctionnement de l’assuranceII. Le Rebranding de SanlamII.1. De Saham assurance à SanlamII.1.1. Saham assuranceII.1.2. SanlamII.2. Les raisons du rebrandingII.3. Les étapes du rebrandingB. Approche méthodologiqueI. Contexte de l’étudeII. Questions de rechercheIII. Objectifs de rechercheIV. MéthodologieIV.1. Outils de rechercheIV

discours de SM a été on ne peut plus clair en matière d’investissement : priorité à l’initiative privée. En effet, la décision de SM Mohamed VI de doter les investisseurs des moyens nécessaires vient couronner la politique d’insertion des jeunes marocains dans la vie active en mettant en place un appui déterminant pour la création d’entreprise. En plus la création des centres régionaux d’investissement (CRI) vient pour concrétiser cette volonté du Maroc à promouvoir l’initiative privée. La

administratif (Back office). 3.3 Service Clientèle (front office). CONCLUSION INTRODUCTION Depuis les années 90, le système financier marocain est en pleine mutation. Menées conjointement avec le processus de libéralisation, ces multiples réformes ont pour but de rationaliser le fonctionnement des marchés. Les conséquences pour l'économie marocaine ont été de plusieurs ordres : baisse sensible des taux d'intérêt, meilleure allocation des crédits, financement de l'Etat à partir du marché

BANK, BMCE BENK, BMCI et CIH. Le nouvel environnement financier assiste à une structure concurrentielle multipolaire qui s'organise autour de la compétition entre les banques et les autres institutions financières (sociétés de financement, assurances, sociétés de crédit-bail), et entre ces dernières les marchés de la finance directe. A ces configurations concurrentielles, il faut ajouter les pressions de la concurrence internationale. Ce phénomène de la concurrence se traduit par un ralentissement