Comportement Du Consommateur Mdd

Université Paris I Panthéon-Sorbonne Master Logistique Adeline ROCHE Les MDD : Marques De Distributeurs ou Moyens De Déstabilisation des marques nationales ? Mémoire de fin d’études Maître de Mémoire Mme Régine VAN HEEMS Année Universitaire 2004-2005 1 REMERCIEMENTS Je tenais à remercier tout particulièrement Madame Van Heems pour m’avoir aidée et soutenue dans la réalisation de ce travail. Monsieur Lehu, pour ses informations précieuses concernant ce sujet, pour sa disponibilité

puis ensuite décider d’une problématique. Nous désirions celle-ci en rapport avec l’actualité et le marché étudié. Après réflexion, nous avons opté pour la problématique suivante : Comment Tropicana peut-il faire face aux marques de distributeurs (MDD) et aux discounts alimentaires? En effet, suite à la situation économique actuelle influant sur le pouvoir d’achat, le budget accordé par les ménages en matière alimentaire a fortement diminué. Les discounts et les marques de distributeurs qui paraissent

épingle du jeu. Les volumes ont progressés de 2.4% et de 0.9 % respectivement. Un fait suffisamment rare pour être souligné.[3] Cependant de l’autre côté le rayon libre service est booster par les éléments de praticité et de modernité, chers au consommateur. En effet la charcuterie libre-service reste dynamique en 2003 (+3.6% en valeur). Les deux tiers de sa progression sont réalisés hors promotions, ce qui signifie que le linéaire et l’offre se sont accrus tant en hypermarchés qu’en supermarchés

une image plus qualitative va conduire les distributeurs à s’engager dans un processus de valorisation de leur MDD. Leur positionnement « Cœur de Gamme » devient alors celui de la meilleure option qualité/prix. A partir du milieu des années 90, les enseignes de GMS, mises à mal par les hard discounters et par l’exigence accrue des consommateurs, vont développer la troisième génération de MDD, ressemblant à s’y méprendre aux marques nationales. Dotées d’un contenu marketing fort et véhiculant des promesses

Répartition de la demande en fonction des types de produits et évolution des ventes 8 3. Nombre de consommateurs 10 4. Répartition géographique 11 5. Analyse des comportements de consommation 11 B. Aspect qualitatif 12 1. Profil des consommateurs : segmentation 12 a) Critère démographique 12 b) Critère socio-psychologique 12 c) Critère lié à l’acte d’achat 12 2. Analyse des comportements d’achat 13 3. Le type et le processus d’achat 14 4. Les intervenants dans le processus d’achat 16

du nouveau produit. 13 ANNEXES 16 Introduction Depuis de nombreuses années, nous assistons à une certaine croissance de l’inquiétude et de la méfiance envers la « malbouffe » de la part des consommateurs. Cela aboutissant à une augmentation de la demande et du besoin des consommateurs en matière d’alimentation saine. Danone répondant depuis toujours à ce besoin du marché, l’entreprise a dans cette optique développée depuis 2001, une activité au sein du segment biologique du marché des

économique (secteur manufacturier, tourisme, agriculture à l’export..) Croissance de la demande des ménages et pouvoir d’achat en progression Emergence d’une classe moyenne plus significative, avec un pouvoir d’achat en augmentation Evolution des comportements d’achat Ouverture aux produits importés Présence d’une clientèle touristique, déjà acquise au concept de la distribution moderne Dynamisme démographique (taille des ménages, forte urbanisation, population jeune..) Présence encore limitée des autres

de Marjane ………….…………………………………………………………….4 Partie II : les Produits économiques de MARJANE La marque de distributeur……………………………………………………………………………………….11 Les produits économiques……………….…………………………………………………………………..….11 Partie III : Etude de comportement des consommateurs envers les produits économiques Les tâches effectuées …………………………………………………………………………………………....13 Le déroulement de l’étude ………………………………………………………………………………..14-21 Conclusion………………………………………………………………………………………………………………………...22 Recommandations

bon endroit, au bon moment, au bon prix, en bonne quantité : tous les étudiants en commerce et marketing ont appris par cœur cette règle des 5 B du merchandising, du renommé Dr Charles Kepner, un économiste américain spécialisé dans l’étude des comportements et la prise de décision. Sauf que cette définition date de 1963 ! Une antiquité par rapport à l’évolution du commerce depuis cinquante ans. Ainsi, si la règle des 5 B est toujours valable, elle ne suffit plus à bâtir une bonne stratégie merch.

revue (LSA), sur Internet (linéaires.com et le journal du net) ainsi que chez un panéliste (Nielsen). Il s’agit donc d’informations secondaires. La nature de cette information est quantitative (exprimée en chiffres) et qualitative (explique les comportements : le pourquoi et le comment). La forme de l'information est textuelle (rédigée), numérique (exprimée en nombre), alphanumérique (combinaison de chiffres et de lettres : 10,3 l) et visuelle (tableau). Des sources d’organisations reconnues, variées