Comportement Organisationnel Communication Et Conflit

LA COMMUNICATION INTERNATIONALE 1. I - INTRODUCTION 2. II - ENJEUX ET STRATEGIE DE LA COMMUNICATION INTERNATIONALE A- Les enjeux stratégiques de la communication internationale 1) La stratégie internationale et la gestion interculturelle de l'entreprise 2) La communication internationale B - Les stratégies de la communication internationale 1) La standardisation : 2) Adaptation :

individus s'adressent-ils la parole? (indications d'autorité, de familiarité, etc.) Quels sont les principaux indices de statut professionnel ou de fonction? Quels sont les endroits de rassemblement pour la communication? De quelle manière s'effectue la communication formelle (réunions, rencontres un à un, boîtes à suggestions, etc.) Quelle est la disposition physique des individus et des bureaux? Peut-on voir des éléments visibles de motivation (affiches, bilans, etc

transférables dans d’autres fonctions (transférer les compétences) Développer l’employabilité, ce qui diminue le stress dans les entreprises Étape 1 : la détermination des besoins de formation Analyse des besoins généraux : En fonction des objectifs organisationnels Ex. on veut passer d’une gestion autocratique à participative (grand écart entre les deux). Cela va nécessiter une formation. Au niveau stratégique, on cherche à reconnaître les écarts entre les objectifs de l’entreprise et son capital de compétences

fiable et très sociable; • Elle est très exigeante envers elle-même et ses collègues de travail; • Elle manque à l’occasion de confiance en elle; • Elle n’aime pas la gestion des ressources humaines; • Elle déteste les conflits interpersonnels. En juillet 2004, un chasseur de tête lui offre un poste de directrice générale au sein d’un organisme culturel de la métropole. Après avoir rencontré ce chasseur de tête pour avoir plus d’information sur le poste, Julie pense

Chapitre 3 et 4 : Management et Leadership et Concept de la structure organisationnelle Chapitre 3 : Management et Leadership 1) Définition Il y a 2 concepts différents mais ils sont utilisés en binôme. Un bon manager n’est pas forcement un bon leader (et inversement). Le rôle principal du manager : maintenir l’ordre dans un groupe. Le rôle principal du leadership : l’essor du changement (améliorer les conditions de travail, parler en leur nom,…) Le but est que le manager soit un bon

atteindre leurs intérêts et réciproquement - Issus de l’environnement de marché, politique, social et technologique, au sein de l’organisation - Conflits envisageables car objectifs sont contradictoires - Matrice Pouvoir/intérêt de Mendelow ▪ Pouvoir : persuader les autres de changer leurs comportements ▪ Effort minimal/ A garder informés/ A garder satisfaits/ Acteurs clefs Matrice de Mendelow : | |

une situation organisationnelle ou un problème managérial opérationnel (processus de décision, comportement d’un manager, conflit, rapport de force imprévu, règles détournées, projet qui n’a pas abouti….) qui a suscité votre étonnement Transformer ces étonnements en question : Pourquoi ?… => c’est votre problématique Exemples de problématiques… • Pourquoi le changement d’un directeur bouleverse l’ambiance au sein de l’agence bancaire ? • Pourquoi il n’y a pas de communication dans un open-space

Introduction au Comportement Humain dans les Organisations (Professeur Bassam Zalzal) Les sciences du comportement portent sur l’analyse des sciences déterminant le comportement. Les déterminants du comportement humain sont au nombre de trois : 1. Déterminants individuels 2. Déterminants sociaux 3. Déterminants culturels Le comportement humain peut être analysé comme l’ensemble des conduites, c’est-à-dire l’ensemble des réponses aussi bien psychologiques (satisfactions) qu’actives aux tensions auxquelles

elle travaille de la même manière. La qualité de l’expérience : le degré auquel le climat de travail contribue au bien-être et à la croissance personnelle et professionnelle des individus. Absence de qualité de relation interpersonnelle et de communication entre les individus, ce qui impacte le bien-être et la croissance personnelle et professionnel des membres. La pérennité: la capacité de l’équipe à s’adapter aux changements internes et externes. La gestion financière de LT ne trouve pas d’écho

l’apprentissage de l’administration des entreprises dans les écoles d’ingénieurs et la réduction du poids des mathématiques dans les études supérieures. 3 – Bilan des approches classiques Ces approches (avec une nuance concernant Fayol) nient les conflits (la bonne organisation doit y remédier) et ignorent les facteurs externes à l’organisation. Elles supposent un « One best way » et déshumanisent le travail, les individus interchangeables (à poste et qualification équivalents). Le management y est