Compétences Partagées Président

travail Coordination Formel Définition des postes, organigrammes, procédures Procédures, circuit de communication, réunions, comités, hiérarchie Informel Interactions quotidiennes, compétences, appartenance culturelle, affinités Interactions quotidiennes, compétences, appartenance culturelle, affinités 4 Sept dimensions structurelles • • • • • • • Formalisation Spécialisation Standardisation Hiérarchie de l’autorité Complexité Centralisation Professionnalisation

expliquons le contexte politique dans lequel l’Ukraine se trouve. Depuis la fin de l’Union soviétique, l’Ukraine est « partagée» en deux par le fleuve Dniepr qui traverse le pays du Nord au Sud. Il y a l’ouest de l’Ukraine peuplé principalement de Lituanien, Polonais, austro-hongrois et Ukrainien et il y a l’Est, peuplé principalement d’Ukrainien russophone. On dit que l’Ukraine est « partagée », car une partie de la population préférait se lier davantage à l’Europe et accepter leur proposition de partenariat

3 cohabitations depuis 1986. La cohabitation n’a jamais été envisagée par les constituants de 1958. Il semble que le peuple ait simplement voulu dire NON à la politique menée. Mais elle aurait pu être évitée en 1986 si la droite avait forcée le président à démissionner. Est-on dans un régime parlementaire bireprésentatif moniste, voire dans un système moniste inversé en période de cohabitation ? Connaître le positionnement de chaque acteur de la cohabitation (I) permet de comprendre pourquoi il

....... 0 4 C - La prise en charge du handicap : un dispositif original, es charges surcompensées........................................................................ 5 4 II COUR DES COMPTES Pages Chapitre II – Des transferts de compétence qui ne concourent pas à rationaliser la dépense publique ........................51 I - L’absence de priorités formant un corps de doctrine lisible ..........52 A - La persistance de défauts de spécialisation de chaque échelon territorial ....

son examen par le Parlement et sa promulgation par le Président de la République (après une éventuelle saisine du Conseil constitutionnel pour examen de la conformité du texte à la Constitution). A travers cette définition, il est aisé de constater que le Parlement mais aussi le gouvernement disposent de la fonction législative avec des compétences partagées dans cette fonction. Mais alors que la fonction législative s’entend comme la compétence donnée à un ou plusieurs organes de faire les lois

parlementaire : A- exécutif monocéphale : A - exécutif bicéphale : -Le président exerce le pouvoir exécutif -Partage du pouvoir entre le chef de et les ministres sont des simples l’Etat et le chef du gouvernement collaborateurs Le président est irresponsable Le président est responsable. Politiquement, car ses actes sont

|PRESIDENT |PREMIER MINISTRE |DATE D’INVESTITURE | | | | | |Charles de Gaulle | |8 janvier 1959-28 avril 1969 | | |Michel Debré |8 janvier 1959-14 avril 1962 | | |Georges Pompidou

Pilotage des services externalisés ........................................................................ 72 Vecteur 9 : Contrôle de gestion informatique favorisant la transparence ........................... 79 Vecteur 10 : Gestion prospective des compétences informatiques ....................................... 87 Vecteur 11 : Gestion et mesure de la performance du SI ....................................................... 93 Vecteur 12 : Gestion de la communication ................................

L’article 5 de la constitution : « le président de la république veille au respect de la constitution il en est le gardien ». Ceci l’autorise à délivrer une interprétation légitime et authentique du texte constitutionnel. En 1960, G. De Gaule va refuser le parlement ordinaire. Le président de la république joue un rôle centraliser dans l’interprétation politique de la constitution, même pour l’étendue de ses propres pouvoirs. Le pouvoir d’interprète du président n’est pas exclusif, il peut être contesté

féodalité. Mais l'un des grands problèmes relatifs à celle-ci consiste en l'illusion de pouvoir, la ramenant à des termes exclusivement juridiques. Certes elle est le fondement du droit international public, elle ne s'appuie nullement à être une compétence générale prévue par le droit. L'antagonisme entre les aspects juridiques et politiques de la souveraineté a éclaté au grand jour au début du XXe siècle quand la doctrine s'est efforcée d'en domestiquer les allures incontrôlables pour la rendre compatible