Conatus

développe l’idée existentialiste. Celle-ci est profondément humaniste, car même si Sartre voit l’homme comme étant dans sa chute, la pensée que notre essence se construise au fur et à mesure de nos choix et actes fait de l’homme un être agissant, un conatus. Il y a presque quelque-chose de poétique dans ce que pense Sartre, l’individu n’est pas un échantillon numérique, il se définit dans ce qu’il y a de plus absolu dans l’acte et le choix. L’homme est son propre artisan, et ne doit pas hésiter à se

convention philosophique. Hégésias : conseillé de la mort. L’homme doit mourir pour rejoindre le monde des idées. II) Le désir comme puissance Spinoza, L’étique : centré sur la Q du désir : force présente chez tout les êtres vivants. ( conatus= force, désir, appétit). L’appétit devient désir, pour l’auteur le désir est une puissance positive, l’expression de nous même Il est toujours a satisfaire mais il ne fait pas satisfaire tout les désirs. Parfois par faute de connaissances notre

structure fondamentale s’impose à lui tout comme la forme de l’animal s’impose à l’animal. Phyein : croitre, pousser (verbe essentiellement vivant) La nature est le principe inné de notre développement. Le Conatus, c’est la tendance à persévérer dans son être. Phynosa : Le conatus de l’homme va prendre la forme du désir c.-à-d. pas seulement du besoin qui fait que la nature d’un être se répète (manger), pour l’homme le désir va donner des formes qui n’existaient pas avant. La culture va être

le détermine « il est comme ça, tu ne pourra pas le changer » Le désir est une puissance positive d'affirmation de soi, il n'y a plus de différence entre désir et satisfaction : le désir est satisfaction. Il y a 3 variations de puissance : désir/conatus, tendance à perséverer dans son être joie : augmentation de la puissance d'agir tritesse ; diminution de la puissance d'agir cela permet à l'Homme de se mouvoir Alimentation : si on mange qqch de bon, équilibré, alors on augmente sa puissance d'agir

seulement comme une tendance psychologique ou biologique que comme une tendance ontologique, une tendance de l’être en général, expliquant pourquoi existent aussi des tendances et des tensions psychologiques et organiques (Cf. Spinoza, Ethique III, le conatus est persévérance dans l’Etre). 2) Problème des limites du désir Le problème est ici de savoir si la distinction établie entre besoin et désir est aussi claire qu’il semble. Où s'arrête le besoin et où commence le désir? Comment les distinguer

n’est pas la. L’homme qui desir quelque chose dont il n’arrive pas a se raprocher, changera en vue de l’acquerir. Ainsi le desir change la condition humaine et permet a l’homme de se depasser. C’est la perseverence lié au desir, le desir est « conatus » dira spinoza. Cela nous permet de comprendre une nouvelle embiguité du desir qui serait alors fondamentalement desir de desirer. De cette facon si le desir meurt lorsque le desirable est acqui et qu’il est egalement desir de desirer alors le desir

l’homme pour satisfaire ce désir. En ce sens, il devient le moteur de l’action humaine. Spinoza en fait l’essence de l’homme. Le désir ne dépend pas de l’objet auquel il s’applique, mais il est la puissance même de l’homme qui persévère dans son être (conatus) qui fait l’effort de déployer toute sa puissance. Désirer consiste alors à être, agir et devenir ce que l’on est. Le désir se distingue du simple « appétit » dans la mesure où il est conscience de lui. L’homme qui désire coïncide avec luimême, ne

l’homme pour satisfaire ce désir. L’Homme devient donc moteur de l’action humaine. Spinoza en fait même l’essence de l’Homme : Le désir ne dépend pas de l’objet auquel il s’applique, mais il est la puissance même de l’homme qui persévère dans son être (conatus) qui fait l’effort de déployer toute sa puissance. Désirer consiste alors à être, agir et devenir ce que l’on est. Le désir se distingue du simple « appétit » dans la mesure où il est conscience de lui. L’homme qui désire coïncide avec lui-même, ne

            C'est ce que propose Spinoza dans L'Éthique, où il montre que "le désir est l'essence même de l'homme" III, et qu'il est donc non seulement impossible de s'en libérer, mais aussi inutile. Le désir est une dynamique concrète fondée sur le conatus, est la puissance même d'exister, l'affirmation positive de soi : c'est une force vitale. Mais il faut cependant apprendre à le connaître et à le maîtriser car selon la chose sur laquelle il porte, il peut provoquer soit la joie - accroissement de

parties qui ont besoin pour agir en fonction de leur nature de satisfaire chacune des tendances. Pour agir selon la nature du corps dans sa totalité, toutes ses tendances doivent être assouvies, il faut donc varier les plaisirs. On peut parler de conatus puisqu'assouvir ses désirs c'est un effort pour persévérer dans son être. Dans la dernière phrase, il Spinoza parle d'une "ordonnance de vie" c'est-à-dire qu'il faut satisfaire toutes les tendances pour accéder à la sagesse.Par contre je ne comprends