Concile de Carthage

patriciens. B. Les 3 guerres puniques Guerres contre Carthage entre 264 et 146 av. JC. Carthage est un nom phénicien, qui veut dire ville nouvelle, fondée en 825. C’est une sorte de colonies depuis la ville de Tyr, comptoir maritime et commerciaux. En 510, Rome avait conclue un traité de paix et de négoce avec Carthage. Ce pacte est renouvelé en 348, Rome reconnaît à Carthage, le droit, le commerce et la piraterie en Méditerranée Occidentale. Carthage s’engage à respecter la zone d’influence romaine

érigent un mur d’enceinte assèchent les marrais élèvent les premiers édifices La République (c. -500 à -27) Apparence démocratique, mais privilégie la fortune. Expansion romaine Italie (-395 à -270) Empire de Carthage (-264 à -146) Guerre puniques (Rome vs. Carthage) Royaumes hellénistiques (-146 à -30) Au début de notre ère, Rome contrôle toute la méditerranée L’Empire (-27 à 476) Conserve les institutions républicaines, mais il y a un pouvoir personnel absolu. Consolidation

déluge ; seuls Noé et sa famille (Sem, Cham et Japhet) survivent. vers 1850 Fondation du royaume de Babylone. Dieu appelle Abraham. 1250 Ramsès II règne en Égypte. (Moïse, Exode ? Guerre de Troie ?) 1000 David règne en Israël. 814 Fondation de Carthage par des marchands de Tyr. 753

et j'aurais attendu avec une plus grande joie les embrassements.”[5] Augustin a, lui aussi, considéré que le célibat lui aurait apporté plus de récompenses que s'il avait été marié ou s'il avait vécu en concubinage. Cyprien, (200-258) évêque de Carthage, martyre et Père respecté de l'Église a aussi traité le célibat dans son écrit De habitu virginium comme un état plus spirituel que le mariage. Dans son ouvrage, “il a résumé aussi la doctrine des trois récompenses”[6] c'est-à-dire les récompenses

cette hérésie de Pélage en la faisant condamner au concile de Carthage (418). Pour saint Augustin, le péché originel a corrompu notre volonté : la grâce est nécessaire pour nous permettre de bien agir. C’est éliminer la liberté de l’homme, et affirmer que Dieu choisit de mener certains hommes au Ciel tout en laissant les autres dans le mal pour des raisons qui nous demeurent impénétrables. Cette dernière proposition ne fut pas suivie par le concile d’Orange (529) qui se rallia aux autres propositions

par le péché originel, perdu l’usage de cette faculté : « amissa libertas, nulla libertas » (« liberté perdue, liberté nulle »). Seule la grâce, gratuitement octroyée par Dieu, peut alors accomplir l'œuvre du salut. C'est ainsi que le 16e concile de Carthage en 418 affirme les doctrines du péché originel et de la grâce salvifique, approuvées par le pape Zosime. Gardons en mémoire cette position paradoxale, qui fait que les Réformateurs et les catholiques pourront, sans contradiction, se revendiquer

prisé les Douze Tables. B) Les 3 guerres de puniques contre Carthage 264 à 146: Expansion de Rome en méditerranée occidentale des villes sont crées aux VIII et XIX ème siècle avant J-C. La volonté de Carthage c’est le commerce mais Rome conclu un pacte de paix et de Nécose avec Carthage dans la méditerranée occidentale. Carthage s’ engage à ne pas gêner le commerce des romains et ne pas attaquer les villes alliées de Rome. Carthage occupe une partie de la Sicile que Rome convoitait pour le blé

apparaître le libelle d’accusation au IVe siècle ; les donatistes présentèrent un libelle de cette nature (au concile de Rome en 313) à l’empereur Constantin contre Cécilien, archevêque de Carthage ; les évêques d’Egypte, au concile de Tyr, en 335, portèrent une accusation écrite contre les eusébiens. Au Ve siècle, le libelle était d’un usage à peu près universel, et au IXe siècle, au concile de Soissons (852), Hincmar de Reims exigea des accusateurs un libellum reclamationis vel postulationis sicut

savaient épargner leurs sujets et dompter les superbes, selon les circonstances et conformément à la raison. Pour preuve, cepassage tiré des œuvres où ils ont fait consigner les résultats des conciles tenus à leur époque, souscrits par les évêques, facile à retrouver au chapitre Ier du livre XI du sixième concile de 10 Paris1 : « La justice, pour le roi, c’est de n’opprimer personne par puissance injuste ; c’est juger sans acception de personne entre tout homme et son prochain ; c’est prendre la défense

débuts du christianisme où le théâtre est violemment critiqué par les théologiens (Tertullien le qualifiera de démoniaque dans son Des spectacles, Augustin d'Hippone en critiquera l’attrait pernicieux), et les comédiens sont excommuniés (dès le concile de Carthage, en 398, voir aussi l’article : excommunication des acteurs). Moyen Âge La pratique du théâtre semble inconnue du Haut Moyen Âge : si les œuvres dramatiques de Térence ou de Sénèque ne sont pas totalement oubliées, elles sont envisagées indépendamment