Concile De Latran

centralisée. C'est une ossature qui s'est mis en place anciennement vers le VII-VIII° avec les premiers maillages des abbayes en France. Le maillage de la population chrétienne est la paroisse à la base de la pyramide. Leur rôle est renforcé par le concile de Latran IV en 1215 (les fidèles doivent se confesser et communier une fois par an). A la tête des paroisses se trouvent les curés puis au-dessus, le diocèse avec un évêque à la tête. C'est le diocèse qui s'impose en tant que circonscription ecclésiastique

institution ecclésiastique, aspects de la foi chrétienne. Vocabulaire : Abbaye, abbé, moine, règle de Saint Benoît, Cluny, paix de Dieu, réforme grégorienne, clergé/laïcs, organisation de l’Eglise, seigneur féodal, redevances. Hérésie, croisade, dogme, concile. Documents proposés à l’exploitation pédagogique Photographie aérienne ou image satellite et carte (Géoportail ou Google earth), plans et photo de l’abbaye. Textes. Contextualisation : Cartes des implantations bénédictines (et/ou cisterciennes)

principale motivation de venir imposer progressivement leur autorité. Il en va ainsi de la législation conciliaire, c’est à dire de la législation des conciles, assemblée des évêques de l’Eglise. C’est ainsi qu’au début du XIIè siècle les conciles se multiplièrent un peu partout en Europe. D’abord conciles provinciaux, à la portée locales, d’autres conciles, cette fois sous autorité directe des papes apparurent. La conséquence en est telle que leur portée devint beaucoup plus générale, du fait de cette

philosophie et pensée chrétienne. Même idée que Bisignano : tout pouvoir vient de Dieu. Texte 4 : Bulle de « Unam Sanclam » 1302 : Bulle pontificale de Boniface VIII sur l’unité de l’Eglise donnée le 18 novembre 1302. Lancée à l’occasion d’un concile de prélats français réunis à Rome. Proclame la suprématie de l’Eglise sur l’Etat : donc obligation pour toute créateur humaine de se soumettre au souverain pontife. Contexte : conflit entre le pape et Philippe le Bel qui voulait s’émanciper de la

Les tournois (XIIe siècle)« Un des divertissements parmi les plus emblématiques du monde de la chevalerie et occupant une place importante dans la société médiévale est le tournoi. Pourtant, la compréhension de ces derniers contient encore des zones d’ombre. » Stéphanie Coenen, Université catholique de Louvain Faculté de Philosophie et Lettres Département d’Histoire, 2016-2017Au XIIe siècle, les tournois deviennent de plus en plus récurrents et les pratiques aussi, ainsi on passe du tournois-mêlés[footnoteRef:1]

l’intérieur duquel on distingue : Le pouvoir d’ordre ; l’évêque confère les ordres sacrés, avait le pouvoir de faire d’un diacre un prêtre. Le pouvoir de juridiction ; pouvoir de justice, d’administration. Le pouvoir de légiférer ; au sein des conciles, des assemblées d’évêques. L’évêque est dispose également d’un pouvoir temporel : il a un rôle politique et administratif, il participe aux assemblées des grands du royaume. À la fin du 8ème siècle et au début du 9ème siècle, le rôle de l’Eglise

dans les villes (ghetto) Il sont expulsé de certain royaumes . En 1215 Concile de Latran décident d'imposer un port d'insigne particulier a.. Cette anti- judaïsme est encouragé par l' Église et est relayé par les pouvoirs en place (tout le monde devient anti- juif) Les juifs sont mis à l'écart : dans des quartiers fermé (ghettos) ils sont chassé de certain royaume (mesure symbolique) ensuite en 1215 le concile de Latran impose le port d'un signe particulier et l'église interdit l'accès à

forme de cône, blanc ou jaune, porté par les Juifs dans l'Europe médiévale et parfois dans le monde islamique. D'abord porté traditionnellement et volontairement, il fut imposé aux hommes juifs quelques années après le concile de Latran ( rassemblement d'eveques, il s'est tenu à Latran en 1215 sur l'initiative du pape Innocent III ) qui exigeait que les Juifs soient reconnaissables par leurs vêtements afin de pouvoir les distinguer des chrétiens.  Gartl Un Gartel est une ceinture portée par les

Christ La maternité divine (431) Le premier dogme énoncé à propos de Marie n’a pas d’abord la mère de Jésus pour objet. Au concile d’Éphèse (431), c’est d’abord du Christ qu’il est question. « Je ne saurais dire qu’un enfant de deux ou trois ans soit Dieu, ni me résoudre à adorer un enfant nourri de lait », affirmait alors Nestorius, évêque de Constantinople, conduisant le concile à proclamer l’indissolubilité des deux natures, humaine et divine, du Christ. Par conséquent, Marie se retrouve être tout

Boniface VIII A partir de ce moment là, le conflit dégénère dans la violence. Guillaume de Nogaret, légiste de Philippe le Bel, imagine d'envoyer directement au pape, qui se trouve dans sa ville natale d'Anagni, un acte d'accusation devant un concile convoqué à Lyon. Il y parvient en septembre 1303. Cet épisode qualifié d'attentat d'Anagni, est suivi un mois plus tard de la mort du pape. Elle permet une liquidation rapide du conflit. Son successeur le pape Benoit XI lève, en 1304, toutes les condamnations