Concile de Pise

est arriviste et un des plus grands scientifiques de son temps. Il commence comme professeur de mathématiques à Padoue, et va devenir professeur de philosophie naturelle grâce à la famille Médicis de Florence. Il sera alors nommé à l'université de Pise. A cette époque se développent les académies scientifiques, notamment celle « des lynx » à Rome, qui favorisent l'observation sur l'autorité des livres, ce qui constitue une remise en cause des anciennes autorités, par la préférence à l'observation

vrais saints c’étaient eux et ils sanctifiaient ; ils rendaient la virginité à la femme dont ils s’approchaient mais ils étaient capables aussi de se grouper en armées redoutables. Les Béguines furent condamnées en même temps que les Bégards par la concile de l’archevêque de Mayence dès 1259, puis bien plus tard, en 1310. Arrêtée en « Durant les derniers siècles du Moyen-Âge, les adeptes du Libre Esprit furent les seuls chez qui existât, faisant partie de leur doctrine d’émancipation totale, une

gardien par si longtemps pour les distribuer. Car il nous faut toujours noter cela, qu'elles ont été trouvées seulement huit cents ans ou mille après que le miracle a été fait. Je ne sais point tous les lieux où on les montre. Je sais bien qu'il y en a à Pise, à Ravenne, à Cluuy, à Angers, à Saint-Salvador en Espagne. Mais sans en faire plus long propos, il est facile, par la vue seule, de les convaincre de mensonge. Car les unes ne tiennent point plus de cinq quartes de vin, tout au plus haut; les autres

fameuse. Le sénateur perd son nom donc son honneur. 3 : Les tribuns de la Plèbe Au V° siècle, les Plébéiens se sont révoltés contre les Patriciens et vont obtenir alors des magistrats de la Plèbe → les tribuns. Les tribuns sont désignés par le concile de la Plèbe mais ils n'ont pas l'imperium ni l'auspicium. Ils disposent néanmoins de beaucoup de pouvoirs, leurs mission est de protéger les Plébéiens. Ils peuvent les protéger collectivement (opposition à une loi contraire aux Plébéiens) ou personnellement

conservé le souvenir des codes romains antérieurs à Justinien. Mais, en 1135, de manière accidentelle, on va redécouvrir les codes élaborés par Justinien. En 1135, il y a une bataille à Amalfi, en Italie. Lors de cette bataille, les soldats de la ville de Pise, qui étaient les alliés de l’empereur Lothaire II vont retrouver un manuscrit du Digeste qui avait été apporté au 6ème siècle par les byzantins qui voulaient reconquérir l’Italie. A partir de la, on va pouvoir étudier ce manuscrit au 12ème siècle,

entre Égyptiens et Seldjoukides avaient abouti à de nouveaux massacres de chrétiens, que la question des Détroits, « le bras Saint-George », comme on disait alors, toujours sous la menace d’un coup de main turc. Le 27 novembre 1095, dixième jour du concile de Clermont, Urbain II appela donc toute la chrétienté aux armes, appel du pontife à la défense de la foi menacée par la nouvelle invasion musulmane, appel du véritable héritier des empereurs romains à la défense de l’Occident, de la plus haute autorité

central. Les pasteurs, décorés du nom d’évêques, se réunirent plus d’une fois en conciles pour traiter des points de doctrine, car déjà des hérésies se produisaient et souvent le clergé africain était en lutte avec ses chefs spirituels. Saint Cyprien qui, à Karthage, avait recueilli l’héritage de Tertullien, était en butte aux haines de la populace. En 254 à Lambèse, et en 255 à Karthage, se réunirent deux conciles d’évêques de la Numidie et de la Maurétanie, auxquels assistèrent, pour le premier

tombeau et découvrent que ce dernier est vide : Jésus est ressuscité. Cette résurrection (la fête chrétienne de Pâques) est la promesse pour les chrétiens de la vie éternelle après le Jugement dernier. Doc. 5 : Le Credo du concile de Nicée Le concile de Nicée, premier concile œcuménique (général), est réuni en 325 par l’empereur Constantin (premier empereur romain chrétien) pour régler les problèmes de foi et d’organisation de l’Église. Ses décisions concernent l’organisation interne de l’Église

générique qui permet de regrouper plusieurs écoles notamment l'école des conciliateurs qui a sévis entre le 14 et 15ème siècle et l'école des humanistes qui date du 16ème siècle. Les lieux célèbre d'enseignement de cette école : pavi, Orléans, pise. Ils se sont efforcés de moderniser l'enseignement du droit romain. À cette fin ils ont regroupés de façon ordonné les règles présentées dans les compilations romaines. Par cette méthode les règles les plus archaïques ont été éliminées et

institutions dont la visibilité, en période de persécutions, aurait pu entraîner des conséquences fâcheuses. Une fois l’édit de Milan promulgué par Constantin (313), ils sortiront de l’ombre et s’emploieront à réaliser les souhaits formulés par le Concile de Nicée en 325 qui recommanda aux évêques d’ouvrir dans chaque ville un établissement où pèlerins, pauvres et malades pourraient être hébergés et, le cas échéant, soignés. L’Orient eut une courte longueur d’avance sur l’Occident confronté aux