Conclusion Galilée

Externat Saint-Jean-Eudes Novembre 2008 Le dossier Jésus Au tout début de l’histoire, aux alentours des années 0, les peuples vivants en Palestine étaient généralement pauvres et nombreux, ce qui causait beaucoup de troubles dans les régions. À Galilée, à Samarie et à Judée, les 3 régions principales où Jésus aurait pu vivre, cette pauvreté était omniprésente et les quelques riches profitaient de cette situation pour mettre sur pied de l’esclavage. Le peuple construisait de magnifiques temples,

théâtrale, des cas de reprise textuelle dus à confrontation de deux ordres contradictoires et complémentaires : texte et représentation. Présentation de plusieurs types + d'exemples concrets et Exposition de la genèse de deux pièces (La Vie de Galilée, de Brecht; Partage de midi, de Claudel). 3. Configurations de réécriture Le degré zéro Ne pas semer le doute : nombreux textes de théâtre qu'aucune mise en scène n' a jamais changer. => Plus un texte de théâtre fait partie du canon des

remis en question l’exactitude des travaux en géographie effectués par l’astronome Ptolémée. En 1500, Copernic donne des conférences sur l’astronomie à Rome un an après il a l’autorisation d’étudier la médecine à Padoue, l’université ou enseignera Galilée plus tard. Copernic obtient en 1503 un doctorat en droit canonique, sans terminer ses études de médecine car à l'époque il est tout à fait normal d’étudier une matière dans une université puis de recevoir un diplôme d’une autre institution les frais

présuppose pas l’idée du temps. Se méfier de la polysémie du mot « temps » : le mot temps est utilisé pour dire la succession, la durée, le changement, le devenir, la vitesse, la simultanéité etc. On en parle aujourd’hui comme on en parlait avant Galilée. La solution n’est pas dans l’étude du langage. Le langage ne nous dit pas ce qu’est le temps mais sa structure détermine notre façon de le penser La façon dont nous disons le temps formate notre pensée du temps. Exemple : on dit que le temps passe

connaissance. Au sujet d'un raisonnement, le point de vue du logicien ne concerne pas la vérité des propositions, leur accord avec la réalité, mais la validité de la structure du raisonnement. Le raisonnement est valide si, les prémisses étant posées, la conclusion s'ensuit nécessairement (peu importe que les prémisses soient vraies ou fausses, cela n'a aucune incidence sur la logique du raisonnement). C'est pourquoi les logiciens ont eu l'idée de formaliser l'écriture des raisonnements, en remplaçant les

Terre était le centre de l'univers, mais Copernic et Galilée démontrent le contraire : le modèle n’est pas géocentrique, mais héliocentrique. Dans ce contexte de doute généralisé, Descartes va entreprendre de soumettre tout savoir au doute, même le plus assuré. Mais ce doute n’est pas celui des sceptiques, car il a une autre finalité qui est de découvrir la vérité. Il s’agit d’un doute philosophique. En novembre 1633, Descartes apprend que Galilée a été condamné. Il renonce par prudence à publier le

les mathématiques à l’état de science. La physique n’a été considérée comme une science il y a seulement un siècle et demi avant Kant car a été enfin fondée sur des principes sûrs. En effet, auparavant, les dits physiciens n’élaboraient des conclusions qu’à partir d’expériences qu’ils avaient entièrement machinées et conçues. Or, selon Kant, « seulement des phénomènes concordants peuvent valoir comme lois ». C'est-à-dire que les expériences orchestrées uniquement par la main de l’homme ne peuvent

l’Empereur. Galilée utilisait toujours ce type d’horloges en 1610 lorsqu’il étudiait la chute des corps. En effet, jusqu’au XVIIe siècle, la clepsydre demeurait le garde-temps le plus précis. La clepsydre fut utilisée pour mesurer de courtes périodes, comme : • la durée d’un discours ou d’une plaidoirie en Grèce afin que les orateurs et citoyens aient le même temps de parole. • les durées des gardes dans la légion romaine • la durée de moments courts lors d’expériences, comme celle de Galilée en 1610

qui le sont moins : d’après la théorie de la chute des corps d’Aristote, plus un objet est lourd plus il tombe rapidement, mais Galilée montre que cette théorie est contradictoire en attachant un objet lourd à un objet léger, donc ils devraient tomber plus rapidement que si l’objet lourd était seul car il faut ajouter le poids de l’objet léger à celui du lourd. Mais Galilée, montre que si l’objet léger est attaché à l’objet lourd alors il devrait freiner le lourd et faire parachute puisqu’il a un poids

comme des vérités fondamentales. La lunette astronomique a, par exemple, permis à Galilée de démontrer que la Terre tournait autour du soleil, chose que l’on n’aurait jamais imaginé avant, et que Galilée n’a pas réussi à faire accepter tout de suite. Il l’a démontré scientifiquement, en utilisant sa raison, ses connaissances et grâce aux progrès de la science, en particulier la lunette astronomique sans laquelle Galilée n’aurait jamais réussi. Ce dernier type de croyance est donc totalement différent