Conclusion Gestion Du Risque Opérationnel

de : Monsieur Berland LE CONTROLE DE GESTION CONTRIBUE-T-IL A AMELIORER LE MANAGEMENT DE L’ENTREPRISE ? DESS Contrôle de Gestion Sociale Année 2002-2003 SYNTHESE Au terme de notre étude, il apparaît que le contrôle de gestion, même s’il est bien défini de façon conceptuelle, est dans son application opérationnelle beaucoup plus large et floue qu’il n’y paraît. Nous nous interrogeons alors sur l’influence concrète et réelle du contrôle de gestion et de ses acteurs sur le management au sein

servent d’études de cas pour illustrer le leadership humanitaire opérationnel efficace. La générosité et l’esprit d’ouverture dont ils ont fait preuve en acceptant de répondre à nos nombreuses questions sont fort appréciés. Nous souhaitons également remercier les nombreuses autres personnes interrogées qui se sont exprimées ouvertement et nous ont fait part de ce qui leur tenait à cœur en matière de leadership humanitaire opérationnel. David Peppiatt a joué un rôle important dans la mise en évidence

servent d’études de cas pour illustrer le leadership humanitaire opérationnel efficace. La générosité et l’esprit d’ouverture dont ils ont fait preuve en acceptant de répondre à nos nombreuses questions sont fort appréciés. Nous souhaitons également remercier les nombreuses autres personnes interrogées qui se sont exprimées ouvertement et nous ont fait part de ce qui leur tenait à cœur en matière de leadership humanitaire opérationnel. David Peppiatt a joué un rôle important dans la mise en évidence

MINISTERE DE L’ECOLOGIE, DE L’ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE Grenelle de l’Environnement Chantier 25 Comité opérationnel « Entreprises et RSE » Pilote : Daniel Lebègue Chef de projet : André-Jean Guérin Rapport final - 21 mars 2008 ComOp RSE, propositions, rapport, version : 20080321 Comop RSE rapport final.doc p. 2 / 75 Introduction Le « Grenelle de l’environnement » a permis d’amorcer collectivement la mutation écologique de notre pays

DES PIECES COMPTABLES RELATIVES AUX ENTREES DE STOCK b) CONTRÔLE DES PIECES COMPTABLES RELATIVES AUX SORTIES DE STOCK 2.3. LE CYCLE DE PAIE 2.4. LE CYCLE DE TRESORERIE a) CONTRÔLE DES PIECES DE DECAISSEMENT b) CONTRÔLE DES PIECES DE D’ENCAISSEMENT CONCLUSION CHAPITRE 2 : NOTION DU MANUEL DE PROCEDURES I. DEFINITION ET CADRE JURIDIQUE DU MANUEL DE PROCEDURES I.1. DEFINITION D’UN MANUEL DE PROCEDURES I.2. CADRE JURIDIQUE DU MANUEL DES PROCEDURES a) DISPOSITION JURIDIQUE DU SYSCOHADA b) DISPOSITION JURIDIQUE

inconvénient du l’ouverture du marché et de la privatisation 12 Partie 2 13 I. La place du CG dans de cette entité 13 II. Les différents types de rattachement 13 1. Organisation et moyens 13 2. Procédures de contrôle interne et de management des risques et des activités 15 3. Procédures de contrôle de l’information comptable et financière 15 III. Source d’information 17 1. Organisation et moyens 17 2. Bilan et perspectives 17 IV. La qualité du service courrier de la poste 18 1. Des

référentiel, dont les conclusions peuvent comporter des propositions d’amélioration touchant à la régularité et/ou à la performance de l’entreprise. L’audit social poursuit donc les deux objectifs de contrôle et de pilotage de la fonction sociale de l’entreprise, au service de la direction du personnel et de la direction générale. L’audit social n’en demeure pas moins très différent de l’audit financier ou de l’audit des modes opératoires des principales chaînes d’opération de la gestion des ressources

II.2 Gestion de risque pour la Mourabaha 22/10/2013 NON CLASSÉhttp://www.institut-numerique.org/iii6-letude-de-la-bid-sur-les-risques-des-banques-islamiques-5266b9260c93e Le produit Mourabaha (équivalent à la vente à crédit) est très utilisé par les banques islamiques. Cependant le produit présente des risques importants pour son exécution. Nous pouvons citer les risques de contrepartie, de change, de taux d’intérêt. II.2.1 Mourabaha et atténuation contractuelle des risques La vente différée

.........7 2) Le risque de non-conformité………………………………………..8 3) Les domaines de la conformité……………………………………..9 B) La conformité au travers de la missions qui m’a été confié………………10 1) Archivage CDE (contrat dépôt épargne)…………………………..12 2) Archivage MIF (Marché des Instruments Financiers)…………….14 3) Conclusion : résultats Archivage CDE/MIF………………………17 PARTIE II : LE LOGICIEL ANADEFI………………………………………......18 A) Présentation du logiciel et analyse du risque ……………………………..19 B)

C ôte d’Ivoire 2 SOMMAIRE CONTEXTE ET JUSTIFICATION 3 I – VIABILITE FINANCIERE DES IMF 7 a) Rentabilité financière 8 b) Rendement sur actif 8 c) Ratio d’autosuffisance opérationnelle 9 d) Marge bénéficiaire 10 e) Coefficient d’exploitation 10 II QUALITE DU PORTEFEUILLE DES IMF 12 a) Taux de portefeuille à risque 13 b) Taux de provisions pour créances en souffrance 14 c) Taux de perte sur créances 15 III EFFICACITE ET PRODUCTIVITE DES IMF 17 a) Productivité des agents de crédit 18