Conclusion Taylorisme Toyotisme

cela répondait au besoin de gestion de l’information, mais s’est propagée à l’ensemble des secteurs. Une révolution sociale La révolution informatique entraîne une nouvelle organisation du travail, tout comme l’électricité va de paire avec le taylorisme. Pour autant ce n’est pas le nouveau mode d’énergie qui crée la nouvelle organisation sociale. La nouvelle énergie n’apporte cependant pas la démocratisation de l’accès à celle-ci. Les nouveaux principes de l’organisation du travail Phillipe

par des General Purpose Technology (GPT) qui st des technologies à usage multiple dont le potentiel excède les intentions et l’imagination des inventeurs. 2) Une révolution sociale : L’invention de l’électricité au 19ème siècle a entraîné le taylorisme et l’OST. On croyait au début qu’elle permettrait aux petits artisans de s’affranchir des grandes ent. Car auparavant travail dans l’usine organisé en « factory system » autour d’une machine à vapeur, que les petits ouvriers ne pouvaient pas s’acheter

travaille pas de la même façon qu’autrefois. Les méthodes de travail ont évoluée de manière massive. L’organisation scientifique du travail est une méthode relativement nouvelle, elle date du début du XIXème siècle. A. Du Taylorisme au Fordisme 1) Le Taylorisme Taylor a donné les premiers éléments de l’organisation scientifique du travail. L’organisation scientifique du travail est apparue aux Etats-Unis vers 1880. Taylor était un ouvrier et il est devenu cadre petit à petit. Il a

points Pour le développement, quelques repères : – rédaction des phrases de transition, et de présentation : 0,5 x 3 = 1,5 point ; – rédaction des parties 1 et 2 en faisant apparaître deux sous-parties : 1 point par sous-partie (1 x 4 = 4 points). Conclusion sur 1 point Les deux étapes suivantes sont à respecter : – résumé du développement (0,5 point) ; – ouverture du sujet proposant une nouvelle problématique (0,5 point). 87913CTPA03 3 Qualité de la rédaction, orthographe, structure, consignes

de l’organisation du travail est la réactivité, l’adaptabilité, la polyvalence des salariés et une délégation des responsabilités. Cependant ces méthodes de production nouvelle se sont pas nées de la révolution informatique, mais sont issues du toyotisme (Japon, années 1960). Il y existe trois exemples qui monter l’évolution, tout d’abord la dactylo, dont le travail a été mis à portée de tous avec l’informatique, ce qui illustre une découverte des économistes dans les années 1980 à savoir que le

projets. Il est mis en évidence alors des différences dans les temps de conception et développement des voitures au Japon et USA. En effet le modèle japonais semble s’adapter mieux à ces nouvelles contraintes : le toyotisme repose sur des ouvriers polyvalents et s’oppose au taylorisme qui décompose les tâches et restreint les savoirs. Il développe la coopération, source de qualité. De nos jours l’environnement est de plus en plus instable : la concurrence est plus importante, les innovations sont

travail on à une augmentation de la productivité. Il va s’intéresser progressivement aux motivations des individus. Il est le père fondateur de « l’école de la relation humaine ». On va progressivement humaniser le Taylorisme. Dans les années 60, apparaît le Toyotisme, c’est à dire que l’on va essayer de produire différemment, par exemple en recherchant l’implication du salarié, en recherchant la qualité et en mettant en place de nouvelles méthodes de travails comme le juste à temps.

de cinq ruptures qu'il identifie comme suit: – une rupture liée à la troisième révolution industrielle: l'introduction de nouvelles technologies. – une rupture de l'organisation sociale, qui découle de ces nouvelles technologies et renverse le taylorisme. – une rupture « culturelle » émanant des événements de mai 68. – une rupture financière qui voit la finance supplanter le marché des affaires – une dernière rupture liée à la mondialisation, ou ,en résumé, l'entrée de l'Inde et de la Chine dans

. . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 B) Une proposition d'enseignement du management qui éviterait les dérives actuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . …. . . . . . . . . . . . . . . 11 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 Introduction " On ne parlait pas de communication d'entreprise au début des années 70 et une quinzaine d'années après cette activité était

l’ordre, une certaine unité au sein du système entreprise. Les économistes se focalisent sur l’organisation du travail ; voyons l’exemple du taylorisme. Henri Ford est le premier industriel à avoir introduit en 1913 dans ses usines un nouveau mode d'organisation du travail, le taylorisme. Le taylorisme fut développé par Taylor à la fin du 19è siècle. Le taylorisme est souvent vu avec une double division du travail : ceux qui pensent : la division verticale et ceux qui font : la division horizontale