Concurrents Indirects

vivante ? n Mais cette réflexion tourne court, ou plus exactement, elle se continue sur un autre registre, celui de la vision, de l’hallucination introduite par « Il me semblait » (vers 12) n Enfin, après un saut de ligne, le passage du discours indirect au discours direct, de l’imparfait au présent installe progressivement le locuteur dans la folie hallucinatoire. L’impression d’ensemble produite par le mouvement du texte est celle d’un discours quelque peu désordonné consécutif au choc subi par

comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. L’art de Maupassant est fait d’équilibre entre le récit des péripéties, les descriptions limitées et fonctionnelles, et le jeu entre discours direct / discours indirect / discours indirect libre. Il est aussi marqué par l’utilisation de phrases plutôt courtes avec une ponctuation expressive et de paragraphes eux aussi plutôt courts, voire très courts, qui donnent une mise en page aérée. La langue, quant à elle, est soutenue

multiplient eux aussi les lieux communs ; - Les personnages masculins de Madame Bovary ne sont pas des héros, comme le sont les héros romantiques, courageux, exaltés, lyriques. Au contraire, ces hommes sont dérisoires et médiocres ; - les discours indirect libres, en particulier dans les rêveries d'Emma ou les descriptions, sont des pastiches ou des parodies d'auteurs comme Lamartine : Flaubert se moque de leur lyrisme et l'exagérant à travers le personnage parfois pathétique qu'est Emma ; - pour

paraitre De penser : (l.15) «  il ne put résister à l’envie » (l.29) « elle jugea » Narration : - pronom indéfinie « on » qui inclue le narrateur et le lecteur. - discours direct : phrase de M.de Nemours à Mme de Clèves (l.32-38) Discours indirect : (l.8-10) « demande » (l.42-47) « il dit à sa femme que » → permet de mettre en évidence l’intensité de la narration. Le lecteur est sujet et spectateur. B) un geste agile et inconvenant Le vol du duc

éclater La supplication : supplier, implorer, prier, conjurer, insister Le doute : insinuer, soupçonner, suspecter, douter ATTENTION : le dialogue peut aussi marquer une rupture dans le rythme narratif. Pour passer du discours direct au discours indirect, sont soumis aux changements : les verbes, les indicateurs de lieux, les indicateurs de durée. Généralement, on passe du présent à l’imparfait, du passé composé au plus que parfait. Bien évidemment, les pronoms personnels et possessifs subissent

protection sociale est financée par les impôts fiscaux (ils représentaient 24,5% du financement en 2011) : Les impôts directs, qui sont supportés par une même personne (impôts sur le revenu). Les impôts indirects, qui sont versés par les entreprises ou personnes intermédiaires (TVA). C’est un impôt indirect pour le consommateur car il fait partie du prix de vente de certains produits. D’autre part, elle est financée par les cotisations sociales, autrement dit l’ensemble des prélèvements sur les salaires

ces procédés le lecteur ressent de la pitié envers les habitants de Rocreuse, on peut identifié le registre pathétique. Dans ce texte on entend la voix des habitants : « on allait donc se battre ? », « oui, on allait se battre ». C'est un discours indirect libre qui est introduit dans la narration. Le narrateur perçoit à travers la narration les sentiments des habitants. On peut distinguer le champ lexicale de la rumeur : « des gens qui passaient sur la route annonçaient les Prussiens », « à entendre

d’énonciation et la présence du locuteur, tandis que le substantif bise a une sonorité marquée et coupante. Le vers 4 accentue la rapidité de la catastrophe par des appuis syllabiques « quand », « la », « bise » Le vers 5 introduit un discours indirect libre avec la tournure raccourcie (il n’y a pas) et sans point d’exclamation. Le narrateur et les personnages se joignent : la voix du fabuliste fait corps avec celle de la cigale (privilège accordé à la cigale). Au vers 6, il est dit que la

un criminel -Discours indirect l45 que... que... que --> volonté de donner de la valeur aux propos de Bissei - Discours narrativisé l1-8 : parlent mais on ne détaille pas leurs échanges --> aucun intérêt pour le débat. Conclusion Petit passage narratif, beaucoup de discours de différentes variétés/natures --> gamme de moyens pour faire parler les personnages. II Le débat 1 Installer le débat (l1-20) famille + Dr Bissei Discours narrativisé/indirect : discours de circonstances

dans le projet de Zola : dans sa volonté de réalisme, il adopte la langue des personnages qu’il met en scène, ce qui lui sera reproché.. – b ) les Lorilleux - Ils interviennent à partir de la ligne 7 par le discours indirect libre: « une vraie poison, disaient-ils », discours indirect libre que l’on retrouvera plus loin, l. 25-26 « Et ses toilettes donc, des guenilles dégoûtantes qu'une chiffonnière n'aurait pas ramassées ! Dieu de Dieu ! il pleuvait drôlement sur sa mercerie, à cette belle blonde