Convergence évolutive

Les Animaux denaturés Des anthropologues partis à la recherche du « chaînon manquant » (hypothétique créature intermédiaire entre l'homme et le singe) découvrent celui-ci, non pas sous forme de fossile, mais d'une population vivante. L'espèce est nommée Paranthropus Greamiensis en l'honneur de son découvreur Greame, et surnommée Tropi. Un homme d'affaires nommé Vancruysen imagine d'en faire une main-d'œuvre à bon marché, sans salaires ni droits, pour une usine de lainage. Dès lors, les anthropologues

4. Qu’y avait-il avant ?  Les grands singes d’avant 17 millions d’années sont tous trouvés en Afrique (Ouganda et Kenya). Après 17 m.a. on en trouve aussi en Europe et en Asie (Espagne, Grèce, Turquie), mais moins en Afrique.  Hypothèse que l’origine des hominidés serait en Europe/Asie, pas confirmée. Origine de la lignée humaine est bien Africaine. 5. Où sont-ils apparus ?  Jusqu’en 1980, tous les restes fossilesont été trouvés à l’Est du Rift (Ethiopie, Kenia, Tanzanie et Afrique du Sud)

de l’année, dépendant de la position de la zone de convergence intertropicale. La zone de convergence intertropicale (ZCIT), aussi connue sous le nom de front intertropical, de zone de convergence équatoriale ou plus familièrement pour les marins de « Pot au noir », est une ceinture, de seulement quelques centaines de kilomètres du nord au sud, de zones de basses pressions entourant la Terre près de l'équateur. Elle est formée par la convergence des masses d'air chaudes et humides provenant des tropiques

régions intertropicales. Cette circulation se caractérise par deux cellules fermées situées de part et d’autre de l’équateur. La vitesse verticale ascendante des régions convectives est entretenue par la libération de chaleur latente et crée une convergence de basse couche porteuse d’humidité qui vient à son tour alimenter la convection. La convection est ainsi auto-entretenue. La divergence d’altitude, aussi induite par les ascendances, crée un déplacement de particules vers les pôles. Sous l’action

6 Convergences 101 6.1 Convergence en loi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102 6.1.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102 6.1.2 Caractérisation de la convergence en loi . . . . . . . . 102 6.2 6.3 6.4 6.5 Index 6.1.3 Approximation de lois . . . . . . . . . . . . . . . . . . 104 Convergence en probabilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107 6.2.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107 6.2.2 Convergence en probabilité

Massimiliano DEMI2E Polycopié 3 - v.1 20110207 Convergence et théorèmes limites Préliminaires d r 1/r Notation. Si u ∈ Rd on note par u r la norme Lr du vecteur u: u r = ( . i=1 |ui | ) d Comme toutes les normes sont équivalentes dans R on prendra r = 1 et on notera u = u 1 = r i=1 |ui |. « iid » est abrégé pour « indépendantes et identiquement distribuées ». On notera X1, , Xn , ou (Xn)n 1 une générique suite (infinie) de v.a. Convergence en loi Théorème 1. Soit (Xn)n 1 une suite de v.a

Mousson africaine[modifier] Le cas le plus marquant en la matière est celui de l'Afrique subsaharienne. Dans le sud-ouest de cette région d'Afrique, il existe une mousson qui est reliée au déplacement semi-annuel de la Zone de convergence intertropicale (ZCIT) et à la différence de réchauffement entre le Sahara et la côte atlantique équatorial dans le golfe de Guinée. Les alizés secs du nord-est, et particulièrement leur forme plus intense l'harmattan, sont coupés par le mouvement vers le nord

..................................................................... 52 3.4. LA MOUSSON ET LA ZONE DE CONVERGENCE INTERTROPICALE .......................................................................... 53 3.4.1. La mousson indienne.................................................................................................................................. 54 3.4.2. La Zone de Convergence InterTropicale........................................................................................

. . . . . . . 2 2 1.2.5 Variables alï¿ 1 atoires continues . . . . . . . . . 2 1 1.3 Convergences de suites de variables alï¿ 2 atoires . . . . 1.3.1 Convergence en loi . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3.2 Convergence en probabilitï¿ 1 . . . . . . . . . . 2 1.3.3 Convergence presque-sï¿ 1 re . . . . . . . . . . . 2 1.3.4 Convergence en moyenne quadratique . . . . . . 1.3.5 Hierarchie des types de convergence . . . . . . . 1.4 Loi des grands nombres et thï¿ 1 orï¿ 1 me central limite 2 2 1.4.1 Loi

induite par une fonction de r´partition. Mesures de e e n e e e Stieltjes-Lebesgue sur R . Variables al´atoires r´elles. Int´grale d’une variable al´atoire r´elle par rapport a une mesure. Exemples. e e ` Propri´t´s de l’int´grale. Th´or`mes de convergence. Compl´ments ee e e e e et exercices (comment probabiliser l’ensemble des suites infinies du jeu de pile ou face ). e e CHAPITRE 11. Esp´rance math´matique. Lois absolument continues . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .