Coso Fraude

du risque » se sont multipliées. Les sociétés de comptabilité et d’audit sont les dernières en date à s’être érigée en arbitres du management du risque à travers leur engagement actif dans le développement ou la promulgation du dernier référentiel COSO (du nom de l’US Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission), fortement axé sur la comptabilité, la gestion financière et l’audit. Les personnes qui cherchent les processus et les lignes directrices les plus utiles en matière de

dans les programmes / projets / affaires (le terme projet sera utilisé comme terme générique). Un second article s’attachera à présenter une approche globale des risques de l’entreprise à partir du « modèle triple impact™ » et selon les principes de COSO (Committee of Sponsoring Organizations of the treadway Commission). Commençons ! 1. Différents types de management des risques projet En matière de risque projet j’ai observé quatre différents types de management (il y en a sans doute d’autres). Le

| ACCOR | Audit & Management des Risques | | | 16/01/2011 | | Opinion qualitative du système de gestion des risques. Le Groupe Accor a retenu la définition du Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission (COSO) dans sa demarche de contrôle interne et de gestion des risques. Identification des risques et mise en place des mesures : Cette démarche passe par d’abord par l’identification des risques. Le Groupe Accor distingue six grands facteurs de risques :

n°215 - Juin/Juillet : - n°216 - Sept./Oct. : - n°217 - Nov./Déc. : L’audit interne en période de crise, sa valeur ajoutée, son évolution dans l’organisation La gestion des ressources humaines des services d’audit et de contrôle internes Le nouveau COSO : La mise en œuvre d’un dispositif de contrôle interne pertinent Le rôle de l’audit interne dans la prise de décision Les fondamentaux de l’audit : de la réflexion à la mise en place d’un plan d’audit Planning sous réserve de modification. Tarifs

états financiers est passible d'une amende d'un million de dollars ou peut être punie par une peine de dix ans de réclusion ou plus. Cette loi oblige aussi à mettre en œuvre un contrôle interne s'appuyant sur un cadre conceptuel. En pratique le COSO est le référentiel le plus utilisé. Les critiques[modifier le code] Une des premières critiques sinon la plus importante est le coût engendré par cette nouvelle loi. En voulant respecter la loi, beaucoup d'entreprises n'arrivent pas à maintenir

irrégularités comptables qui peuvent être glissées et qui peuvent avoir des conséquentes considérables sur la pérennité de l’entreprise. Donc le dispositif de contrôle Interne ne se limite pas seulement à la détection des risques d’erreurs et de fraudes mais aussi il s’intéresse à faire des recommandations dans le but d’améliorer la performance. De ce point de vue, nous construisons notre problématique de la manière suivante : ‘’comment la fonction du Contrôle Interne contribue t-elle de façon pérenne

commencé dans les années 1980 au cours desquels le sénateur américain TREADWAY a initié une importante recherche sur le sujet. Ainsi, s’est créée aux USA la « commission Treadway » laquelle a constitué un comité universellement connu sous le nom de COSO (Committee of Sponsoring Organizations Of the Treadway Commission). Ce dernier a initié une réflexion en 2 étapes ; le COSO1 en 1980 et le COSO2 en 2004. 1. Le COSO1 Le COSO1 a réunit les compétences d’un certain nombre de professionnels

comptes dans le cadre d’un audit post implémentation de progiciel de consolidation 20 II.1. Contexte du renforcement du contrôle interne au sein des groupes côtés 20 II.2. Les référentiels en matière de contrôle interne 21 II.2.1. Le référentiel COSO 21 II.2.2. Le référentiel COBIT 23 II.3. Les normes d’exercice professionnel applicables dans le cadre d’un audit post implémentation. 24 II.4. Proposition d’une méthodologie d’audit de paramétrage. 25 II.4.1. Revue de la documentation projet 26

intégrées dans les comptes consolidés (le nouveau cadre de référence). * Se conformer au plan correspondant au référentiel sur lequel les sociétés s’appuient pour la rédaction de leur rapport (les ¾ des entreprises de l’échantillon s’appuient sur le Coso ou un dérivé) * le lien entre le recensement des risques et les procédures de gestion des risques doit être apparu. * Le renforcement du lien entre les objectifs énoncés et la description des procédures effectivement mises en place par les

COSO Le COSO est un référentiel de contrôle interne défini par le Committee Of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission. Il est utilisé notamment dans le cadre de la mise en place des dispositions relevant des lois Sarbanes-Oxley ou LSF pour les entreprises assujetties respectivement aux lois américaines ou françaises. Le référentiel initial appelé COSO 1 a évolué depuis 2002 vers un second corpus dénommé COSO 2. |Sommaire