Cote Des Negres

acte IV 6 scènes, acte V 5 scènes. 12) Comment appelle t on : la fille de Wilfried, son chauffeur, l’ami d’enfance du chauffeur ? R : Judith Hotterman, Karmis, Pala, Charles Mercier. 13) Qui l’instigateur des rumeurs sur les origines nègres de Myriam et par ricochet de Wilfried ? Pour quelle raison le fait-il ? R : c’est Le fils du notaire, Judith repoussait ses avances et Wilfried ne voulait pas comme gendre 14) Citez quatre manifestations du racisme dans la pièce R : discrimination

pas que les indiens ont pas d’âme, alors que l’as casse pense qu’ils n’ont pas d’âme Et l’autre pense qu’ils ne sont pas une race inférieure A bout de trois jours, la converse dit que les indiens ont un cœur mais a la place d’eux esclavages des nègres Fin de l’esclavage en 1848, Chope leur Des arguments qui ceux monte pas L’as casse personnage qui a existé au départ conquête de l’Amérique du sud Intro : c’est un extrait de la controverse Valladolid de jean Claude clairière fin chapitre

France. Le désespoir de Paul ne s'apaise pas au tableau que lui fait le narrateur de la corruption des mœurs européennes, mais cesse quand on annonce le retour de Virginie. Cependant, le vaisseau qui la ramène, le Saint Géran, fait naufrage sur la côte même de l'île, et la jeune fille, pour avoir refusé d'ôter ses vêtements devant un robuste marin qui voulait la sauver à la nage, est engloutie sous les yeux de Paul impuissant et de la population. Celui-ci voue à sa tombe et à sa mémoire un véritable

signifie « le commerce est la cause de l’esclavage. » Donc tous les européens sont responsables. • « à ce prix » : euphémisme qui choque le lecteur + vocabulaire commercial. Phrase 9 : « Cependant, lorsque ma mère me vendit dix écus patagons sur la côte de Guinée, elle me disait » • champ lexical du commerce toujours « vendit », « écus » : commerce vrai responsable. • Cependant : connecteur logique = développe une argumentation logique, comme un philosophe. Supérieur, en ce sens, à ses maîtres.

nouveau maître. Il fait cette comparaison pour démontrer cette manie systématique des Blancs de recourir à la violence à l'égard des Noirs. « Pas sur la tête...ils ont la tête dure...sur les reins...Ndjangoula donna un coup de crosse sur les reins. Les nègres s’affaissaient et se relevaient pour s’affaisser de nouveau sous un autre coup plus violent » (Oyono,1956 : 115). Le passage précédent montre l’état d’esprit des Blancs colonisateurs selon lequel il faut donc châtier, contraindre

garde de la nouvelle édition revue et Page de garde des «Lettres persanes» corrigée de 1749 de "De l'esprit des Lois" en 1754 publiée par Châtelain, De l'esclavage des nègres « Si j'avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que je dirais : Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique, pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher

de dire non (« cela m’était devenu impossible »). Fanon découvre qu’il est « un objet au milieu d’autres objets », or lui ce qu’il veut, c’est être un homme à part entière. Le « nègre » fait référence à tout ce qui est méchant, laid, sauvage « les nègres sont sauvages, des abrutis, des analphabètes mais dans mon cas ces propositions étaient fausses ». Pour Fanon, il est temps de mettre fin au mythe du « nègre », il en prend d’autant plus conscience qu’il est méprisé par tout une population. Fanon

Extrait 2 : ................................................................. Au milieu du long vestibule de l’hôtel il pensa qu’il devait être tard, et il se hâta de sortir dans la rue et de prendre la motocyclette dans l’encoignure où le concierge d’à côté lui permettait de la ranger. Devant la bijouterie du coin il vit qu’il était neuf heures moins dix ; il arriverait avec du temps de reste là où il allait. Julio Cortazar, "La nuit face au ciel" Extrait 3 :..........................................

attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe : je me suis trouvé dans les deux cas. C’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe. Cependant, lorsque ma mère me vendit dix écus patagons3 sur la Côte de Guinée, elle me disait : « Mon cher enfant, bénis nos fétiches4, adore-les toujours, ils te feront vivre heureux ; tu as l’honneur d’être esclave de nos seigneurs les blancs, et tu fais par là la fortune de ton père et de ta mère ». Hélas

craquelées de muscles, pas de ventre, des jambes longues, pleines et nerveuses » [7]. Il n’y a rien chez ces personnages qui suggère de la laideur ou du grotesque, attributs qui marquaient les personnages noirs africains des romans coloniaux. Ainsi, à côté de l’image du « Nègre laid et ridicule », Maran cherche à faire valoir une nouvelle image, faite de la beauté et de la grâce, car, comme l’exprimera plus tard Langston Hughes : « Nous savons que nous sommes beaux, et laids aussi » [8]. Dignité littéraire