Cour d'appel de Douai

que l'auteur ne soit qu'une personne, en effet l'arrêt de la Cour administrative d'appel Douai du 25 Mai 2004 « M. Guy Marin » nous donne un exemple d'acte administratif unilatérale qui nécessaire d'être prit par plusieurs personnes publiques. En effet, le maire d'Englos, par un arrêté datant du 3 Mars 1998 a établit la mise en sens unique d'une voie qui se prolongeait sur le territoire d'une commune voisine. Mr Marin demande à la Cour d'annuler le jugement par lequel le tribunal administratif

le noyau autours duquel se forme la société. On a aussi la Convention Européenne des Droits de l’Homme datant de 1950. La CEDH s’applique et les pays ne respectant cette convention peuvent être condamnés par la Cour Européenne des Droit de l’Homme. La France a été condamnée par la cour européenne des droits de l’homme le 11 février 2000 pour discrimination en matière de succession. En France les enfants adultérins avaient une part moindre dans la succession de leur auteur. C'est-à-dire que si un

préposition étant le lien de subordination qui place le préposé sous les ordres du commettant[7]. En fait, ce lien sera caractérisé toutes les fois toute les fois qu’une personne aura autorité sur une autre, c’est qu’il ressort de la jurisprudence de la Cour de Cassation[8]. La jurisprudence fonde ainsi la responsabilité du commettant du fait de son préposé sur la notion « d’autorité » et de « subordination ». On déduit de cette définition que le préposé apporte son concours à l’activité du commettant

marier et de fonder une famille, selon les lois nationales régissant l'exercice de ce droit » L'article 9 de la charte de Nice : « le droit de se marier et de fonder une famille sont garantis selon les loi nationale qui en régissent l'exercice. » La cour européenne veille a la bonne application de ces dispositions, et précise concrètement les conditions des recours. La CEDH a affirmé dans l'affaire Rees contre Royaume-Uni ( 17 octobre 1986) : Si cette liberté s'exerce dans le cadre des lois nationales

 C] Juridictions spécialisées échappant au dualisme des ordres de juridictions: Conseil constit Haute cour tribunal des conflits Cour de justice de la République D] Juridictions internationales: Convention européenne des sauvegardes des droits et libertés fondamentales Cour de justice de l'Union européenne Cour européenne des droits de l'Homme §2) Les gens de justice A] Les magistrats: B] les auxiliaires de justice: Les avocats qui assistent et représentent une partie dans

institutions composées de juges, de tribunaux. « Juris dictio » = dire le droit, et ici on met l’accent sur ce que fait le droit, ce qu’il dit. C’est un organe qui a pour fonction de dire le droit, composé de juges. C’est un tribunal, une cour (cour européenne, cour d’appel, etc.). il faut inclure les formations arbitrales : un juge privé, désigné par les partis d’un commun accord. Il y a également les formations disciplinaires (contre les fraudeurs notamment). L’ensemble des tribunaux est un monde très

de référence au droit administratif (civil et pénal) Au départ, on a considéré qu’il n’était pas applicable mais la cour européenne des droits de l'Homme a énoncé la règle que les concepts de l’article 6 devaient être lu en dehors du droit national c'est-à-dire interprétation une valeur européenne. Le caractère civile => notion plus large qu’en droit français. Pour la Cour européenne des droits de l'Homme, tout litige les conditions d’octroi pécuniaires. L’article 6 est donc susceptible

protocoles additionnels concernant la Cour européenne sont : Protocole 2 sur l'attribution a la Cour la compétence de donner des avis consultatifs Protocole 3 sur les articles 29 (décisions des chambres sur la recevabilité et le fond), 30 (dessaisissement en faveur de la GC) et 34 (requetes individuelles) Protocole 5 sur les articles 22 (élection des juges) et 40 (audiences publiques et acces au documents) Protocole 9 octroie au requérant le droit de saisir la Cour dans certaines circonstances. Conformément

continuation du même contrat de travail auprès des employeurs successifs sans que l'accord du salarié ne soit requis ne sont donc pas applicables. A noter qu'il en irait autrement si l'activité à laquelle participait le salarié était elle-même transférée. La Cour de cassation juge en effet l'article L 1224-1 applicable dès lors que l'activité en cause a une existence propre et constitue une entité économique, c'est-à-dire présente une autonomie de moyens, d'objets et de personnel (Cass. soc. 8 novembre 1983

rappellera, par exemple la prohibition de tout contrat à titre onéreux ou à titre gratuit en matière de convention de « maternité assistée». Ce type de contrat dit de « mère porteuse », a d’abord été annulé pour illicéité par l’Assemblée plénière de la cour de cassation Cass. Ass. Plén, 31 mai 1991 ANNEXE 1, avant d’être explicitement prohibé par les dispositions de l’article 16-7 du Code civil. L’intérêt de l’enfant conduit toutefois la jurisprudence à maintenir le lien de filiation établi, alors même