Cour d'appel de Toulouse

256 : Demandeur(s) à la cassation : Mmes Aurore et Liliane X... Défendeur(s) à la cassation : Centre hospitalier universitaire (CHU) de Toulouse, pris en qualité de représentant du Cecos Midi Pyrénées et autres 07-11.639 : Demandeur(s) à la cassation : Mme Aurore X... défendeur(s) à la cassation : Centre hospitalier universitaire (CHU) de Toulouse, pris en qualité de représentant du Cecos Midi Pyrénées et autres Ordonne la jonction des pourvois n°s 06-10.256 et 07-11.639 qui

Le : 10/11/2014     Cour de cassation   chambre civile 2   Audience publique du 22 novembre 2001   N° de pourvoi: 00-16452   Publié au bulletin   Rejet.   Président : Mme Borra, conseiller le plus ancien faisant fonction. ., président   Rapporteur : M. Etienne., conseiller apporteur   Avocat général : M. Kessous., avocat général   Avocats : M. Bertrand, la SCP Boré, Xavier et Boré., avocat(s)       REPUBLIQUE FRANCAISE   AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS   Sur le moyen

de préjudice. Le Tribunal administratif de Toulouse lui a donné raison. Confirmé par la Cour administrative d'appel de Bordeaux. Sur le caractère contradictoire des opérations d'expertise et l'atteinte portée aux droits de la défense Me RASOAVELOSON a soutenu que les opérations ont été menées dans le respect du principe du contradictoire. Le Tribunal administratif de Toulouse lui a donné raison. Confirmé par la Cour administrative d'appel de Bordeaux. Sur l'obligation de payer Il

encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde » nous dit l’alinéa 1er de l’article 1384 du Code civil. C’est sur ce fondement que sont rendus un certain nombre d’arrêts par la Cour de cassation sur le fait des choses. Il est aisé de comprendre pourquoi on peut être dédommagé d’un préjudice du fait d’une voiture ou d’un animal, mais qu’en est-il lorsque la chose à l’origine du mouvement est une chose inerte ayant eu un rôle passif

Fiche d’arrêt : « Les embryons post-mortem » Cour de cassation Chambre Civile 1, 9 janvier 1996 Exposé des faits : Mme X et M. Y se marient en 1977, leur couple est révélé stérile. Ils décident de procéder à une fécondation in vitro, les médecins du CHR de la Grave procèdent à 7 tentatives de fécondation à partir de 1984. Lors de la 2nde tentative, les époux Y décident de signé un contrat où il est énoncé quand cas de dissolution du couple les embryons devraient être détruits et que les implantations

TD n°5 Droit des personnes 1. Fiches de jurisprudence de chacun des arrêts Cour de cassation, 1ère chambre civile, 16 septembre 2020 Un couple, Mme J et M. Q sont mariés et ont deux enfants. M. Q décide de changer de sexe, cette demande de modification a été acceptée, l’individu est alors inscrit comme étant de sexe féminin le 3 février 2011. Il est en effet désormais possible, avec l’admission des juges, de changer la mention de son sexe à l’état civil. De plus, depuis

mises à la charge de M.X par la convention, la société Diagamter a donc décidé d'assigner M.X devant le tribunal de commerce de Toulouse. Le défendeur a soulevé quant à lui l'incompétence de la juridiction au motif qu'il n'était pas commerçant et que par conséquent la clause attributive de compétence figurant au contrat ne lui était pas opposable. La cour d'appel de Toulouse par un arrêt du 5 octobre 2004 a rejeté l'exception d'incompétence au profit du tribunal de grande instance de Bourges invoquée

Présentation: Pour un arrêt en date du 2 avril 2008, la première Chambre Civile de la Cour de Cassation a eu l'occasion de se prononcer sur l'action en recherche de paternité naturelle sur un défunt. Les faits: Action en recherche de paternité naturelle d'un défunt qui n'était pas marié avec son ancienne compagne, contre la mère et le fils naturel du défunt. Liliane X qui a entretenu une relation de 1982 à 2001 avec Marc Y a donné naissance le 30 juin 1987 à Aurore, qu'elle a reconnu.

37104/06) ARRÊT STRASBOURG 23 novembre 2010 Cet arrêt deviendra définitif dans les conditions définies à l'article 44 § 2 de la Convention. Il peut subir des retouches de forme. ARRÊT MOULIN c. FRANCE 1 En l'affaire Moulin c. France, La Cour européenne des droits de l'homme (cinquième section), siégeant en une chambre composée de : Peer Lorenzen, président, Jean-Paul Costa, Karel Jungwiert, Rait Maruste, Mark Villiger, Isabelle Berro-Lefèvre, Mirjana Lazarova Trajkovska, juges, et de Stephen

vitro. - Nombre d’avis donnée depuis la crise sanitaire: De 2 à 26 Exercice 2: 1) 2) 3) Non car cela relève du domaine médical mais aussi de l’ouverture d’esprit.Fiche d'arrêt document 3: Il s’agit d’un arrêt rendu par la chambre commerciale de la Cour de cassation le 29 octobre 2004, relatif aux “bonnes mœurs". Dans cette affaire un homme mariée fait donation sous forme de leg à une femme de sa succession, privant sa femme et ces enfants d’une partie de celle-ci. Tout d’abord, cette procédure à