Cour De Cassation 30 Mai 2000

victime a donné aux gendarmes l’ensemble des armes du père et de son fils. L’ensemble sauf une arme, qui sera celle du crime. La chambre d’accusation retient dans l’acte de renvoi de la Cour d’assises la responsabilité de la mère pour complicité. La Cour de cassation estime que les faits retenus par la Cour d’assises sont constitutifs d’une complicité car la mère n’a pas restitué la future arme du crime dont elle ne pouvait ignorer l’existence étant donné l’empire total qu’elle exerçait sur

n° 18. Document 3 : Cass. civ. 1re, 12 déc. 2000, Bull. civ. I, n° 322. BDocument 4 : Cass. civ. 1re, 10 juin 1987, Bull. civ. I, n° 191. Document 5 : Cass. civ. 2e, 5 mars 1997, Bull. civ. II, n° 66. Document 6 : Cass. civ. 1re, 25 janv. 2000, Bull. civ. I, n° 27. Document 7 : Cass. civ. 1re, 20 févr. 2001, Bull. civ. I, n° 42. Document 8 : Cass. civ. 1re, 5 avr. 2012, n° 11-15328, à paraître au Bulletin civil. 1 Document 9 : Ass. Plén., 7 mai 2004, Bull. Ass. Plén., n° 10. re mage

vigueur (contrôle a posteriori), y compris avant la création du Conseil constitutionnel en 1958. La QPC peut être posée au cours de tout litige devant un tribunal de l’ordre judiciaire (à l’exception de la cour d’assises) ou administratif, aussi bien en première instance, qu’en appel ou en cassation. Page 2 sur 7 TD n°2 PFD /S1 La juridiction saisie de la demande procède sans délai à un premier examen et vérifie trois critères : si la disposition législative critiquée est bien applicable au litige

RAISONNEMENTS JURIDIQUES, LES METHODES.......................... 38 29 30 38 30 D’INTERPRETATION JURIDIQUE ........................................................................................ 29 Document n° 1. Cass. 2ème civ. 30 sept. 1998, n° 96-21110 ................................................................. 39 29 30 Document n° 2. J-L Bergel, Méthodologie juridique, PUF, 2001, p. 231 ............................................. 40 29 30 55 EXERCICES ............................................

Commentaire de l'arrêt du 15 novembre 1989 de la première chambre civile de la Cour de Cassation La cour de cassation, dans cet arrêt du 15 novembre 1989, affirme un nouveau principe en matière de caution : les mentions prévues à l'article 1326 deviennent des règles de preuve alors qu'elles avaient autrefois un caractère validant, ce qui constitue donc un revirement de jurisprudence. En l'espèce, deux sociétés concluent un contrat de location sur un équipement informatique moyennant

principe, on ne peut plus agir en civil. Cependant, ce lien a été considérablement atténué par la loi du 10 juillet 2000. Désormais, avec cette loi, en présence d’une faute pénale intentionnelle ou non, la victime peut agir en réparation devant les juridictions civiles indépendamment de la procédure pénale. Dans l’arrêt de la première Chambre civile du 30 janvier 2001, la Cour de Cassation a déclaré qu’en l’absence de déclaration punitive, le juge pénal ne fait plus obstacle à ce que le juge civil retienne

PÉNAL, 22-28. § 1. – Historique, 23-26. § 2. – Politique pénale contemporaine, 27-28. ART. 5. – NATURE, 29-35. § 1. – Distinction entre la participation de la victime au CHAP. 2. – Statut de la partie civile, 149-239. procès pénal et l’action civile, 30-34. SECT. 1. – Droits de la partie civile, 151-194. § 2. – Ambivalence de la présence de la partie civile, 35. ART. 1. – GARANTIE DES DROITS DE LA PARTIE CIVILE, 152-163. CHAP. 1. – Accès à la qualité de partie civile, 36-148. SECT. 1. – Conditions

n'a été donné que par erreur, ou s'il a été extorqué par violence ou surpris par dol ». Ainsi, les vices du consentement sont l'erreur, la violence et le dol, et entraînent la nullité de la convention. L’arrêt de la 1ere chambre civile de la Cour de cassation le 3 avril 2002 est une illustration de nullité pour vice du consentement. En l'espèce, une salariée de la société Larousse-Bordas a reconnu, par convention à titre onéreux du 21 juin 1984, la propriété de son employeur sur tous les droits d'exploitation

Année universitaire 2022-2023 - 2nd semestre Travaux dirigés de droit civil 2 8ème séance : INTERROGATION SEMESTRIELLE 9ème & 10ème séances : LA FILIATION Séance 9 : Filiation naturelle Doc. 1 : Civ. 1ère, 28 mars 2000, pourvoi n° 98-12.806, publié au Bulletin Doc. 2 : Civ. 1ère, 24 septembre 2002, pourvoi n° 00-22.466, publié au Bulletin Doc. 3 : Civ. 1ère, 25 oct. 2005, RJPF 01/2006, p. 25 Doc. 4 : Civ. 1ère, 16 juin 2011, pourvoi n° 08-20.475, publié au Bulletin

29 janvier 2003 Sur le premier moyen : Attendu, selon l'arrêt attaqué (Aix-en-Provence, 28 novembre 2000) que par acte authentique du 25 octobre 1996 la société civile immobilière du Vieux Saunier a consenti à M. X... une promesse unilatérale de vente portant sur une propriété composée d'une maison principale et d'une maison de gardien ; que la promesse était valable pour une durée expirant le 30 décembre 1996 ; que par lettre du 6 décembre 1996 le notaire de l'acquéreur indiquait au vendeur que