Cour De Cassation Café Jacques Vabre

Chargé(e) de t.d. : M. ....... Fiches d’analyse de l’arrêt Fraisse du 2 juin 2000 (C.cass.) et de la décision du 21 avril 2005 (Cons. const.). Le nom de votre chargé(e) de t.d. Quatre lignes blanches laissées au correcteur Cour de cassation, assemblée plénière, 2 juin 2000 Mme Pauline Fraisse I.- Faits. 1.- xxxxx xxxxx xxxxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxx xx xxx xxxxxxx xxxxxxx xxxxxxx xxxxxxx 2.- xxxxxx xxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxx xxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

de la Cour de cassation du 13 décembre 1989 I l'Analyse 1) Les faits matériels La société cafés Jacques Vabre est une société Française notamment importatrice de café soluble. Du 5 Janvier 1967 au 5 juillet 1971 a procédé à des importations de café soluble depuis les Pays-Bas. La société J. Wiegel et C. est une société commissionaire en Douane. L'importation s'est déroulée comme suit: Le café soluble est récupéré aux Pays-Bas puis est dédouané par la société Wiegel et enfin le café arrive

internationnaux et le droit communautaire ➢ Ch. Mixte 24 mai 1975 : arrêt « Jacques Vabre » Le premier attendu résume les faits de l'affaire jacques vabre. La société Cafés jacques vabre qui a importé en France des cafés solubles des Pays-Bas, et la société J. Wiegel et Cie, commissionnaire en douane, qui "a opéré le dédouanement de ces marchandises", sont les requérants. Du 5 janvier 1967 au 5 juillet 1971 la société jacques vabre supportait pour ses produits une imposition supérieure à celle supportée

I-L'analyse A-Les Faits 1)Les faits matériels -La société du café Jacques Vabre a importé du café soluble dans le but d'une commercialisation dans l'UE .-Les café on était importé du Royaume-Uni en France le 5 janvier 1967 jusqu'au 5juillet 1971 .-La société Wielger qui est le commissaire en douane a payé l'administration des douanes la taxe intérieur de consommation prévu pour les importations de café soluble en France .-Les deux sociétés ont assigné l'administration des douanes .-Avec objectif

( aff. «  Jacques Vabre ») Cass. 1ère civ. 24 mai.1975(n° de pourvoi : 73-13556) ( arrêt de rejet) Note de jurisprudence: JCP 1975,II,18180, note A. TOUFFAIT Mots Clés: Communauté Economique Européenne; marché intérieur; dédouanement; marchandises; Articles concernés: art. 95,170, 177 du Traité du 25 mars 1957; art. 55 de la constitution; art. 265. C et 369. C des douanes; Les faits: Du 5 janvier 1967 au 5 juillet 1971, La société française Jacques Vabre importe des

26 octobre 1994, la Cour d'appel de Lyon condamne la compagnie d'assurance de Mlle Y à payer solidairement la dette de réparation de M.Z avec Mme X. L'assurance forme alors un pourvoi en cassation. A l'appui de son arrêt, la Cour d'appel de Lyon affirme qu'une convention d'assistance bénévole avait été tacitement conclu entre Mme X et Mlle Y, ce qui emporte obligation pour l'assisté de garantir l'assistant. Dans son pourvoi en cassation, l'assurance défend que la Cour d'appel de Lyon n'a

SEANCE N° 2 LA HIERARCHIE DES NORMES ➢ Ch. Mixte 24 mai 1975 : arrêt « Jacques Vabre » I. Analyse A. Les faits 1°) Les faits matériels Le 25 mars 1957 : Le Traité de Rome instituant la CEE est promulgué. Du 5 janvier 1967 au 5 juillet 1971 : La société Jacques Vabre importe des Pays-Bas du café soluble afin de le vendre en France. Le dédouanement de ces marchandises est opéré par la société Weigel, commissionnaire en douane. A l’occasion de chaque importation : la

25/11/2011 TD: Introduction au droit civil FICHE DE JURISPRUDENCE: « Cour de cassation, ch. Mixte, 24.05.1975, Jacques Vabres » Les faits: Du 5 janvier 1967 au 5 juillet 1971, la Société CAFES JACQUES VABRES (SOCIETE VABRE) a emporté des Pays-Bas, Etat membre de la Communauté économique Européenne, certaines quantités de café soluble en vue de leur mise à la consommation en France. Que le dédouanement de ses marchandises a été opérés par la Société J. WIEGEL ETC. (WIEGEL), commissaire

: judiciaire (civil et répressif) et administratif. Deux ordres existants en droit français : b et e. La ou les juridictions de droit commun : a. Le conseil des Prud’hommes et le tribunal de commerce sont des juridictions d’exception, la cour de cassation est une juridiction unique et le conseil constitutionnel n’intervient pas dans le domaine juridictionnel. Une juridiction de droit commun est compétente : c. Une juridiction de droit commun a compétence générale pour statuer sur tous types

tribunaux de commerce, même s’il faut préciser que, dès la seconde instance, le contentieux commercial est dévolu aux juridictions de droit commun, certes à travers des chambres spécialisées, notamment la chambre commerciale et financière de la Cour de Cassation. Mais si l’autonomie du droit commercial est acquise, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit de mécanismes qui appartiennent au système juridique. Dans cette mesure, le droit économique subit, comme toute autre branche, l’influence de principes