Courbe De Laffer

des revenus et l’inégal répartition du patrimoine entre les individus. La statistique appréhende encore difficilement le calcul de ces dernières, la concentration et la dispersion peuvent seulement être définies par les rapports inter-déciles, et la courbe de Lorentz d’où l’on peut conclure le coefficient de Gini. Est-il souhaitable de réduire ces inégalités? Ou au contraire sont-elles un facteur de croissance économique ? Afin de répondre à cette problématique deux axes majeurs pourront structurer

PO peut être défavorable à l’économie conformément aux enseignements dégagés par la théorie économique : - Règle de Ramsey : base large, taux faible - Effet de substitution (modifie comportement des agents, modifie assiette) - courbe Laffer - Élasticité de l’impôt, risques d’optimisation de l’impôt : recettes augmentent moins que proportionnellement à la hausse du taux d’imposition. - Problèmes liés à la structure de l’impôt : poids des cotisations sociales sur le

relance par la dmde) Investissements public dans l’éducation  valorisation du capital humain  main d’oeuvre mieux formée  aug de la productivité  aug de la croissance (G.Becker, prix Nobel en 1992) Le poids des prélèvements obligatoires : courbes de LAFFER Les conséquences de prélèvements trop élevés : évasion fiscale / fuite des capitaux La compétitivité des entreprises : si les charges sont + élevés le prix sera également + élevé Le déficit de la sécurité sociale (maladie 50%, vieillesse,

combler les déficits, nous avons vu que non, tout juste peut être la suppression de ces bizarreries, ISF et bouclier. Un économiste Arthur Laffer a montré qu'au delà d'un seuil d'imposition, dans une économie fermée, les recettes de l'État chutent, elles deviendraient inférieures à une valeur maximale possible pour un taux d'imposition moyen. La courbe de Laffer qui est une modélisation économique développée par des économistes de l'offre représentée ci-après montre bien cette conséquence, référence

pas été aussi fort sans la concurrence des modèles III. Cependant depuis les 70’s et la crise de l’économie keynésienne A- Crises * Le système trouve ses limites dans la stagflation après le premier choc pétrolier. Inversion de la courbe de Phillips. Un plus d’inflation ne permet pas de relancer la croissance. Les politiques étatiques sont de moins en moins efficaces. L’Etat providence s’avère incapable d’assurer par la redistribution favorable à la croissance économique. Etat providence

entreprises et assureront la prospérité du pays. Les néo-libéraux contemporains fustigent les excès de la fiscalité dans les pays développés qui, sous prétexte de réduire les inégalités, démotivent les actifs et et entretiennent l’assistance. (cf : courbe de Laffer) B) Pour des raisons morales ou philosophiques 1) Des inégalités peuvent se justifier par le mérite des individus. La démocratie peut être vue comme une méritocratie, l’opinion publique l’admet tout à fait . La réussite sociale qu’on peut

lié à la production d’une unité = Cout variable unitaire La courbe du cout moyen croise la courbe du cout marginal en son minimum. Prix > Cm = ↗ profit Prix = Cm : = Profit Prix < Cm = ↘ profit Quantité ? = Celle qui correspond au profit maximal. On va produire tant que le prix est supérieur au cout marginal. On va produire jusqu’à ce que le prix soit égal au cout marginal. Cm < CM = ↘ CM Cm > CM = ↗ CM La courbe d’offre c’est l’ensemble des points qui relient les quantités

objectifs. En effet, d’après la courbe de Philipps, si l’on ne peut pas avoir en même temps un taux de chômage important en même temps qu’une inflation importante, une lutte contre le chômage induirait fatalement une hausse de l’inflation. Dans l’exemple inverse, lutter conte l’inflation signifie une diminution de la création monétaire, qui induit une baisse de la demande, un ralentissement de l’activité économique et probablement une hausse du chômage. Néanmoins, cette courbe est à contester, d’abord

revendications= » la baisse de la part de la dette dans le PIB= » l’austérité budgétaire. -« trop d’impôt tue l’impôt » en partant d’ici nombreux qui ont signaler l’existence d’un seuil d’imposition à ne pas dépasser c’était déjà le cas de DUPUIT et Arthur LAFFER qui ont lié la contribution avec l’économie de l’offre (la réduction du chômage dépend de l’adoption de politiques de l’offre, car celle-ci n’est pas infiniment élastique à la demande) ça fait partie d’un courant économique contre l’impôt qui le décourage

par le recours à des réserves préalablement accumulées à partir d’excédents budgétaires réalisés les années antérieures, par des hausses d’impôts à supposer qu'elles n'atteignent pas le point de rupture où elles détruisent le gisement fiscal (courbe de Laffer), par émission monétaire ou tout simplement par effort de diminution des dépenses publiques. Pour étayer notre réflexion, nous utiliserons les exemples des Etats-Unis et de la France, mais aussi ceux de l’Inde et du Togo. La France connait