Coût marginal

levier financier. Ce dernier est obtenu par la multiplication du coût de la dette à la soustraction d’un moins le taux d’imposition. Ce résultat est ensuite soustrait au ROA qu’on multiplie par la suite au ratio d’endettement. Le levier financier affecte de façon positive le ROE si le ROA est supérieur au coût de la dette après impôts. Il sera négatif sur le rendement sur les capitaux propres si le ROA de l’entreprise descend sous le coût de la dette. Ceci explique donc qu’un niveau d’endettement élevé

faut donc la favoriser. • LA DEMANDE (donc les consommateurs) est donc le moteur essentiel de l’économie • Les salaires sont des coûts donc : La baisse des salaires rend l’entreprise plus compétitive. En effet, la diminution de son coût salarial lui permet de baisser ses prix et donc de gagner des marchés à l’intérieur comme à l’extérieur. Produisant plus elle devra investir et embaucher. La baisse des salaires permettra une baisse du chômage. • C’est l’investissement qui

marché au carré = ∑ si². (Hirshman Herfindalt Index). En France, on peut trouver des monopoles vertueux ( il faut nationaliser. Monopole naturel : C(Q1) < C(Q2) + C(Q3) Q1 = Q2 + Q3 On a donc des économies d’échelle. P Rm = Recette marginale. D = Demande. Monopole privé non régulé : (P1, q1) max π. Monopole privé régulé ou public : P2 = Cm. CF = coûts fixes. Théorie du rendement social de ALLAIS : L’optimum c’est de pratiquer une tarification au Cm, l’Etat doit intervenir en

pérennité de l'entreprise et conserver, voire développer ses parts de marché ? Le problème général à résoudre concerne le calcul de ces coûts de production : il faut intégrer un coût moyen de production, un coût marginal de la dernière unité produite, définir le coût des différentes activités de l'entreprise (coût de production, coût de commercialisation, de distribution, de SAV, etc…). La méthodologie de définition des coûts sera donc déterminante, en fonction de l'activité de l'entreprise, de sa concurrence

et la valeur des biens importés. Pour calculer la balance commerciale, la comptabilité nationale procède à l'évaluation des importations et des exportations de biens à partir des statistiques douanières de marchandises. 11- Bénéfice marginal : Le bénéfice marginal est la variation du bénéfice en réponse à la vente d'une unité supplémentaire d'un bien.

Pour obtenir le bénéfice MOYEN, on divise le bénéfice total par le nombre d'article vendu. 12- Besoin de financement : Un agent économique a un

maximiser leurs profits. Productivité moyenne : Produit total/Nb de Leurs Productivité marginale = Variation produit/Variation de la quantité de L  : Supplément de X° apporté par un travailleur supplémentaire. La loi des rendements décroissants : Elle met en relation variation de la X° et variation de la quantité de FX°. Si le facteur L augmente, la X° augmente, mais moins fortement. =&gt; La productivité marginale de facteur baisse =&gt; la productivité totale augmente moins fortement. =&gt; Chaque

et du client. 1.1° Le prix contre-partie du cout. Pour les réseaux qui distribuent des produits, l'identification des couts d'achats, de stockage, de mise à disposition.... sont facilement identifiables. En revanche, pour les réseaux qui commercialisent des services pures, il est peu aisé de calculer les coûts supportés pour servir un client. Les différents coûts dans les services: les coûts fixes les coûts variables les coûts marginaux (coût associé à une vente supplémentaire d'un service)

ENONCE - CHAPITRE 5 : LE COUT MARGINAL Exercice 1 : la société GRIFBOI fabrique et commercialise des meubles de style ancien. Pour l’exercice N+1, les commandes portent sur 375 bibliothèques style Louis XV au prix de 1 900 € l’unité. Dans la structure actuelle, les charges variables unitaires s’élèvent à 1 300 € et les charges fixes totales à 60 000 €. Un exportateur propose à la société l’achat de 40 meubles à 1 500 € l’unité. L’acceptation de cette offre engendrerait un supplément de coûts de

notion de coût d’utilité) et convexe. Allure de la courbe d’indifférence → elle traduit les préférences de l’individu, les sacrifices que l’individu va devoir consentir lorsqu’il doit arbitrer entre plusieurs biens (dans l’espace) La courbe d’indifférence indique de combien d’unités il faut faire bénéficier l’individu pour maintenir sa satisfaction constante lorsque la disponibilité des autres biens diminue. La pente de la courbe d’indifférence donne une indication précise du coût d’opportunité

contribuable sait alors à quoi sert un euro investi, en tout cas formellement : du moins est-ce l’illusion comptable sur laquelle se fonde un tel outil de gestion. Ceci permet de mesurer mécaniquement la performance en mesurant le rapport entre le coût complet du projet et ses résultats explicités par différents indicateurs de performance technologiques (brevets, nouveaux procédés, logiciels), économiques (vente de licence, exploitation d’un procédé, création de filiales) voire scientifiques (bibliométrie