De rerum natura

pensée occidentale sous toutes ses formes. Épicure (341-270 av. J.-C.), philosophe grec, fondateur de l’école du « Jardin », que la postérité retiendra sous l’appellation d’épicurisme. Lucrèce (v. 99-55 av. J.-C.), poète latin, auteur du De natura rerum, long poème philosophique dans lequel il expose la doctrine d'Épicure. Sénèque (v. 4 av. J.-C.-65 apr. J.-C.), philosophe stoïcien, homme d'État et écrivain romain qui a été le précepteur de Néron. Cicéron (106-43 av. J.-C.), écrivain, orateur

Cum haec taliaque sollicitas eius aures everberarent expositas semper eius modi rumoribus et patentes, varia animo tum miscente consilia, tandem id ut optimum factu elegit: et Vrsicinum primum ad se venire summo cum honore mandavit ea specie ut pro rerum tunc urgentium captu disponeretur concordi consilio, quibus virium incrementis Parthicarum gentium a arma minantium impetus frangerentur. Nam sole orto magnitudine angusti gurgitis sed profundi a transitu arcebantur et dum piscatorios quaerunt lenunculos

pueros desinens, obluridi distortaque lineamentorum conpage deformes, ut quaqua incesserit quisquam cernens mutilorum hominum agmina detestetur memoriam Samiramidis reginae illius veteris, quae teneros mares castravit omnium prima velut vim iniectans naturae, eandemque ab instituto cursu retorquens, quae inter ipsa oriundi crepundia per primigenios seminis fontes tacita quodam modo lege vias propagandae posteritatis ostendit. Haec dum oriens diu perferret, caeli reserato tepore Constantius consulatu

et les trois Lettres à Hérodote, à Pytoclès et à Ménécée. Ce que nous savons du système d’Epicure, nous le savons indirectement, en particulier grâce à son plus grand disciple, le poète latin Lucrèce (1er siècle av. JC.), auteur du célèbre De Natura Rerum La lettre à Hérodote et la Lettre à Ménécée portent sur des sujets différents. Pourtant, elles ne sont pas séparables. Dans la lettre à Hérodote, Epicure présente sa conception physique de l’univers : c’est là que l’on trouve expliquée sa théorie

peut exister en dehors de Dieu puisqu'il est tout. Puisque Dieu est tout, de quoi voudrions nous qu'il dépende? Au sens strict du therme, il n'y a que Dieu qui soit infiniment libre. Les êtres créés dont l'homme. Chacun de nous est une "pars naturae", partie de la nature. Nous existons grâce à des impulsions extérieurs. La liberté individuelle doit être pensée sous la forme de l'inertie ; ("persévérer dans son être") Cet effort à pour nom "conatus"(pour persévérer dans son être). Ce que nous

d’autres. » 5. Jean-Paul Sartre, Les Mouches, Acte II, scène 3, 1943, © Éditions Gallimard : « ELECTRE : Comment osez-vous parlez d’Agamemnon ? … Elle danse. » Lectures et documents complémentaires : 1. Lectures complémentaires : Lucrèce, De rerum natura (Ier siècle av. J. C.) : « Douceur lorsque les vents soulèvent la mer immense … Que si l’on doit coucher sur un drap plébéien. » / Sénèque, La vie heureuse (Ier siècle ap. J. C. ) : « Or tu vois quel misérable et funeste esclavage devra subir l’homme

au mysticisme du symbolisme.Ainsi donc, si ridiculement prétentieux qu'il puisse paraître, voici quel est à peu près mon dessein: je voudrais écrire une sorte de De Natura rerum. On voit bien la différence avec les poètes contemporains: ce ne sont pas des poèmes que je veux composer, mais une seule cosmogonie.=> De Natura rerum est un poème didactique qui a pour objectif d’exposer les principales caractéristiques de la philosophie du grec Épicure . Le poète y explique l’origine de l’univers en

Envoyé par Sabrina Sujet du devoir du 17 décembre : P177 Extrait de Proêmes «introduction au Galet » : « Je voudrais écrire une sorte de De Natura Rerum. On voit bien la différence avec les poètes contemporains : ce ne sont pas des poèmes que je veux composer mais une seule cosmogonie. » Ponge a - t - il réalisé dans le parti pris des choses ce projet de 1933 ? Point de repères bibliographiques : Vaste et foisonnante. 1944 Parti pris des choses tout petit recueil 1948 La crevette dans tous ses

les extraits précédents, Ovide truffe son petit texte de références aux grands maîtres de la poésie contemporaine comme Horace, Art poétique, Epitre aux Pisons, v. 246 : teneris juvenentur versibus unquam (=teneros mittere versos) ; Lucrèce De rerum natura, I, 142) inducit noctes vigilare serenas (= carmen vigilatum), mais surtout Virgile et les Bucoliques, qui parlent de l’amour de Corydon pour Amaryllis et des modestes cadeaux qu’il lui offre. - la satire va plus loin : le vere nunc aurea

de la liberté. Épicure aurait rédigé un traité Du Destin, qui n'a hélas pas survécu au naufrage généralisé des livres de l'Antiquité. Pour se faire une idée de sa doctrine, il convient de compléter ces sources lacunaires par le témoignage du De Natura Rerum de Lucrèce. La seule occurrence de la "fatalité" sous sa plume est la péroraison (confirmation) de la Lettre à Ménécée, qui résume avec vigueur la méthode épicurienne du bonheur en dressant le portrait du sage en homme souverainement libre et bienheureux