De Tocqueville Machiavel

Doivent donc primer la vertu de la contemplation (religion), la volonté (politique) et tout en bas se trouve l'économie. Cela est totalement retourné dans la pensée libéraliste. « Chacun se développe par lui-même et selon sa propre volonté. » Tocqueville : désintérêt du politique et individualisme → on va attendre de + en + de sécurité. Cela peut générer l'étatisme. Le socialisme est le fruit du libéralisme. L'un se nourrit de l'autre. La pensée de Rousseau est dominante en France. C'est pourquoi

proposent. Descartes C I l n'y a, en général, que les conceptions simples qui s'emparent de l'esprit du peuple. Une idée fausse, mais claire et précise, aura toujours plus de puissance dans le monde qu'une idée vraie, mais complexe. Alexis de Tocqueville 50 Le savoir-faire Ils ne rencontrent pas les miens. La décision est prise à l’unanimité. Charles de Gaulle J’ai entendu vos points de vue. B ien se tirer d'affaire, c'est être capable de se construire une base solide avec

inédit : il s'agit de voir le monde tel qu'il est, non tel qu'il devrait être, le rendre entièrement visible à l'œil de l'esprit > d'un point de vue moral : la volonté d'écarter tt ce qui relève de nos désirs (volonté la plus frappante chez Machiavel ) > d'un point de vue gnéséologique : l'effort méthodique pr porter le monde devant l'oeil de l'esprit tt entier . Max Weber conférence prononcée à la fin de la première guerre mondiale parle de la rationnalisation et de l'intellectualisation

des causes présentes et passées. C’est donc une véritable rupture avec les sources aristotéliciennes qui privilégiaient la recherche des causes premières. Les philosophies politiques du 19ème siècle se sont par contre achevées en désespoir chez Tocqueville ou en confusion politico-historique chez Marx. Alors que dans sa métaphysique de l’histoire, Hegel adoptait le regard contemplatif de l’historien et excluait toute utilisation de l’histoire comme principe d’action, Marx va introduire la notion de

des causes présentes et passées. C’est donc une véritable rupture avec les sources aristotéliciennes qui privilégiaient la recherche des causes premières. Les philosophies politiques du 19ème siècle se sont par contre achevées en désespoir chez Tocqueville ou en confusion politico-historique chez Marx. Alors que dans sa métaphysique de l’histoire, Hegel adoptait le regard contemplatif de l’historien et excluait toute utilisation de l’histoire comme principe d’action, Marx va introduire la notion de

se débarrasser des définitions de la politique, pour s’ouvrir à un ensemble de phénomène qui ne sont pas aprioris politique mais qui ont une charge politique. 2.2) Ni la science du l’Etat, ni celle du pouvoir : - Une science de l’Etat ? * Machiavel, Hobbes, le renforcement de l’Etat au XX° siècle * Une approche trop restrictive : - Un phénomène daté (l’état n’a pas toujours existé, le politique lui à préexister avant qu’il n’y ai des états) - Un phénomène n’épuisant la problématique du

une réponse historique au pouvoir et à sa légitimité, l'état constitue essentiellement une invention occidentale qui a permis à l'Europe de quitter la féodalité, l'Etat est la forme moderne du pouvoir politique. 1er théoricien moderne de l'Etat, Machiavel qui vers 1515 écrit un ouvrage "le prince" ou il distingue 2 types d'Etat: le Principat et la République. Jean Bodin va aller plus loin dans l'ouvrage "6 livres de la république" en établissant un classement des formes étatique et un classement établie

c'est-à-dire qu’il va vers l’autre mais a un comportement contraire à l’harmonie sociale. ❖ Pour Kant, cette insociable sociabilité est le moteur de l’évolution des cultures car une société va évoluée à cause de ces antagonismes. ❖ Pour Machiavel, ce qui dynamisme un pays c’est les antagonismes qui entraîne le dépassement de soi. Il y a, pour lui, une « productivité normative du mal » : cela veut dire que le mal est productif, la jalousie, la colère… entraîne des biens. Le terme « normative »

normativement comment l'état équilibre et compense le fonctionnement d'autres mécanismes (fondamentalement communautaires ou marchands) ainsi que l'action des intérêts organisés ou des individus livrés à eux-mêmes et vice versa (c'est l'apport autant de Tocqueville et des "doctrinaires" que de Durkheim en tant que théoricien politique, Lukes, 1969; Bendix, 1971). Le concept de "société civile" est ici capital autant normativement qu'empiriquement comme "racine morale" et comme contrepoids "individualiste"

gouvernement. La liberté des temps anciens, c’est tout ce qui assurait aux citoyens la plus grande part dans l’exercice du pouvoir. >> | Source : Des circonstances | Mot(s)-clé(s) : Citoyen - Gouvernement - Indépendance - Liberté - Pouvoir TOCQUEVILLE (Charles Alexis Clérel de) | Bio express : Historien et homme politique français (1805-1859) << Ce qu’il faut craindre, ce n’est pas tant la vue de l’immoralité des grands que celle de l’immoralité menant à la grandeur. Dans la démocratie