Decaissables

aval du CPC ; qu’on qualifie de méthode soustractive et de méthode additive. • La méthode soustractive : CAF = EBE + Produits encaissables – Charges décaissables : ERE / IRE C A F Ajouter (+) Produits encaissables • Autres produits d’exploitation • Transferts de charges • Produits financiers • Produits non courants Soustraction (-) Charges décaissables • Autres charges d’exploitation • Charges financières • Charges non courantes • Impôts sur les résultats SAUF PT/DRIF 10 Résume Théorique

notions que l'on retrouve dans le tableau de financement. La construction de cette première partie fait intervenir la capacité d'autofinancement puisque celle-ci résulte de l'EBE plus les autres produits encaissables et moins les autres charges décaissables. Les éléments du tableau de financement se retrouvent dans ce premier poste avec la CAF (1ère partie du tableau) et la variation du besoin en fonds de roulement (2ème partie du tableau). L'ETE ou excédent de trésorerie d'exploitation décrit un

utiliser le rétroprojecteur 4. PROLONGEMENTS POSSIBLES - développer l’application sur tableur - développer la notion de capacité d’autofinancement - introduire le concept de rétention de trésorerie - étude des charges décaissées et non décaissables DOSSIER ELEVE CAS IMMODOT PRESENTATION DE L’ENTREPRISE Monsieur IMMODOT a créé une entreprise individuelle dont le premier exercice a été ouvert le 1/1/N pour clôturer au 31/12/N. L’activité principale est la vente en l’état de produits

résultat on ajoute les dotations d’exploitation, financières et non courantes, liées à la classe 1 et 2, telles que les dotations aux amortissement ou les dotations aux provisions durables pour risques et charges. Il s’agit en fait de charges non décaissables et qui peuvent constituer des éléments de financement de l’Investissements est une technique de renouvellement des immobilisations (reconstitution du Capital). Les reprises liées aux mêmes, classe 1 et 2, sont au contraire retranchées (d’exploitation

(REX)+ la dotation aux amortissements - IS calculé sur le REX +/- variation du BFR - Investissements (nets des cessions d'actifs) Cash flow = résultat de l'exercice + les charges non décaissables - produits non encaissables Cash flow = somme de tous les produits encaissables - somme de toutes les charges décaissables *Endettement financier relativement aux fonds propres et au cash flow Le ratio d'endettement compare les dettes (court, moyen et long terme) par rapport au total des actifs que possède

imputables au projet) – (Dépenses imputables au projet) Cash-flow = Chiffre d’affaires – Charges décaissables Or on a aussi : Résultat Net = Chiffre d’affaires – (charges décaissables + dotations) On en déduit de ces deux relations que Cash flow = Résultat net + Dotations Cash-flow ou flux de trésorerie: Tableau de détermination des Cash-flow nets CashELEMENTS Chiffres d’affaires - Charges décaissables (sauf charges financières) - Amortissement du bien Résultat avant impôt (RIA) - Impôt théorique

l’EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION L'excédent brut d'exploitation est la ressource financière brute dégagée par l'activité normale de l'entreprise. Il représente le solde des produits d'exploitation encaissables moins les charges d'exploitation décaissables. De ce fait, il est le point de départ du calcul de la capacité d'autofinancement. Il est représentatif des ressources dégagées par l'entreprise pour : - rémunérer les capitaux empruntés (charges financières), - maintenir

étapes : – La constitution de la provision – Le réajustement de la provision – La réalisation du risque ou la survenance de la charge 1.2.1 Constitution de la provision Tout comme la dépréciation, la provision représente une charge calculée, non décaissable. Elle est enregistrée, selon le caractère du risque ou de la charge probable, au débit du compte : – "6815 Dotations aux provisions d’exploitation" – "6865 Dotations aux provisions financières" – "6875 Dotations aux provisions exceptionnelles" par

idéal de la croissance (parce qu’il est apparence gratuit). C’est ce qui reste théoriquement dans l’entreprise après que les diverses charges décaissables aient été ôté des produits encaissables. Cependant, dans une optique de rentabilité, il peut s’avérer insuffisant. C’est ce qui reste théoriquement dans l’entreprise après que les diverses charges décaissables aient été soustraites des produits encaissables. i) définition et rôle C’est le surplus monétaire engendré par l’exploitation

de l’entreprise. C’est la différence entre des produits courants encaissables et des charges courantes décaissables. Courant = tout sauf ce qui concerne les cessions d’actifs (pas VNCEAC et pas PCEAC) Ne pas tenir compte des produits et charges calculés qui n’ont pas de dénouement monétaire ( pas DAP et pas RAP) Ressource monétaire = produits courants encaissables. Charges courants décaissables CR Charges | Produits | Achat consommation 1000SE