Decaissables

L’entreprise Les bailleurs de fonds. 5) Comment la composition de l’actif informe-t-elle sur l’activité d’une entreprise ? A partir du volume des immobilisations, l’analyste peut identifier l’activité de l’entreprise. 6) Qu’est-ce qu’une charge non décaissable ? Charges qui n’entrainent pas de sortie de flux de trésorerie. 7) Quels sont les acteurs intéressés par la lecture des comptes annuels d’une entreprise ? Les dirigeants Les actionnaires Les services de statistiques Les investisseurs Les

calculer la capacité d’autofinancement selon une méthode soustractive à partir de l’excédent brut d’exploitation global de l’entreprise : C.A.F = E.B.E - Charges décaissables + produits encaissables Le tableau ci-dessous récapitule les différentes charges décaissables et les différent produits encaissables : Charges décaissables Autres charges d’exploitation Produits encaissables Autres produits d’exploitation Charges financière (sauf dotation sur Transferts de charges d’exploitation

l’investissement. Il s’agit des quantités par les prix. Les flux d’exploitation sont souvent remplacés par un indicateur : les recettes nettes d’exploitation ou cash-flows (différence entre les produits annuels encaissables et des charges annuelles décaissables engendrés par l’exploitation de l’investissement). La mesure de la rentabilité des investissements repose essentiellement sur le concept de cash-flows (flux net de trésorerie, capacité d’autofinancement d’exploitation). Pour déterminer les cash-flows

immobilisations cédées ou retirées de l’actif. 9 Professeur Mme ALAMI Introduction en Analyse Financière b- Méthode soustractive : Capacité de financement (CAF) = Excédent brut d’exploitation ou insuffisance brute d’exploitation – Charges décaissables (Autres charges d’exploitation, Charges financières sauf dotations sur actif immobilisé et financement permanent, charges non courants (sauf valeurs nettes d’amortissement et immobilisations cédées et dotations sur actif immobilisé ou sur le

d’actualisation pertinent (entreprise cible généralement). Les flux de liquidités marginaux seront logiquement déterminés comme : ∆FTt = ∆CAHTt − ∆Coûtst − ∆Impôtst − ∆Invt avec : • ∆CA : chiffre d’affaires marginal ; • ∆Coûts : charges décaissables marginales ; • ∆Impôts : impôts marginaux ; • ∆Inv : investissement en actifs fixes . 4 – 2 Le calcule du coût de la fusion : Dans ce stades plusieurs auteurs ont signalé l’erreur qui se fait lors du calcule de ce coût et qui réside dans

des liquidités à court terme pondérées divisées par les engagements à vue et à court terme, également pondérées - ou encore défini comme le rapport des flux à encaisser ou encaissables à un mois divisés par les flux à décaisser ou probablement décaissables à un mois également. Ce coefficient doit être en permanence supérieur à 100 %, traduisant le fait que le banque doit constamment être capable de faire face à ses engagements sans avoir recours à des emprunts supplémentaires dans le mois qui vient

Source : Bellier Delienne et Khath, Gestion de trésorerie, p. 40 Economica 1.3. Problèmes particuliers liés à certains postes Il est évident que le budget de trésorerie ne regroupe que des dépenses et des recettes : ni les charges non décaissables, ni les produits non encaissables n’apparaissent dans les sommes considérées. Ainsi ne doivent pas être prise en compte : • Les dotations, le résultat les variations de stocks • Les reprises, les quotes parts des subventions

immobilisations cédées ou retirées de l’actif. 9 Professeur Mme ALAMI Introduction en Analyse Financière b- Méthode soustractive : Capacité de financement (CAF) = Excédent brut d’exploitation ou insuffisance brute d’exploitation – Charges décaissables (Autres charges d’exploitation, Charges financières sauf dotations sur actif immobilisé et financement permanent, charges non courants (sauf valeurs nettes d’amortissement et immobilisations cédées et dotations sur actif immobilisé ou sur le

de gestion concerné par la méthode soustractive La méthode soustractive consiste à calculer la capacité d’autofinancement à partir de l’excédent brut d’exploitation qui s’obtient par différence entre les produits encaissables et les charges décaissables de l’activité d’exploitation. 2 – La particularité des comptes de produits et des comptes de charges pris en compte dans la méthode soustractive Les charges et les produits qui contribuent à la formation de la capacité d’autofinancement selon

de gestion concerné par la méthode soustractive La méthode soustractive consiste à calculer la capacité d’autofinancement à partir de l’excédent brut d’exploitation qui s’obtient par différence entre les produits encaissables et les charges décaissables de l’activité d’exploitation. 2 – La particularité des comptes de produits et des comptes de charges pris en compte dans la méthode soustractive Les charges et les produits qui contribuent à la formation de la capacité d’autofinancement selon