Dernières Volontés

Philosophie. Choisit-on d'être celui que l'on est ? Les choix que nous sommes tous amenés à faire sont chacun plus ou moins compliqué, mais lorsque l'on se demande si nous choisissons d'être celui que nous sommes, la réponse est moins évidente. En effet, on pourrait penser que la conscience permettrai de faire ce choix et donc d'affirmer " je choisis celui que je suis". Au contraire, on peut être convaincu que la conscience ne permet pas une telle affirmation

Dissertation « L’héroïsme cornélien n'est autre chose que l'exaltation de la volonté donnée comme souverainement libre et souverainement puissante. La volonté aspire à réaliser ses déterminations, elle est active, de là vient que l'action, chez Corneille, ricoche constamment de la pensée à l'acte, et de l'acte à la pensée. » (Lanson) Les œuvres cornéliennes sont fortement influencées par la pensée jésuite et le stoïcisme. Ces deux courants se retrouvent dans ses personnages, que l'on appelle

choix libres. Analysez cette vision idéaliste de la liberté à la lumière du point de vue des neurosciences sur la personne. Premièrement,Il n’a pas raison de penser que grâce à notre raison nous pouvons être libre. Descarte insinue que notre volonté est la preuve de la liberté, qu’elle est indépendante. C’est ce qui nous permet de prendre un choix entre plusieurs réponses d’un examen même si cette réponse n’est pas vrais, mais il explique l’existence d’une liberté suprême. La raison une forme

Kant dans son texte nous informe sur l’idée générale de la liberté humaine. La liberté constitue un élément nécessaire à l’homme s’il semble maître et responsable de ses actes. Il énonce sa thèse en démontrant qu’elle réside dans le fait de ne pas déshonorer son humanité. On observe deux genres d’argumentation dans ce texte. La première étant que la vie humaine n’a de valeur que si nous ne déshonorons pas notre humanité : « offre son corps à la malice d’autrui pour en retirer un profit ». La seconde

Est-il illégitime de contraindre un individu pour son bien ? [Corrigé de la question 3 du sujet 3 (texte de John Stuart Mill] Introduction : [Rn] Tout individu est capable de déterminer par lui-même ce qui est bien pour lui ; par conséquent, il semble totalement injuste de vouloir l’empêcher de faire quelque chose sous prétexte que nous considérons que c’est mauvais pour lui. [Obj] Pourtant, peut-on laisser quelqu’un sombrer dans l’alcool, les stupéfiants, peut-on laisser quelqu’un adopter

sommes toujours déterminés par des contraintes alors il est possible de penser que notre liberté s'exprime relativement à ces contraintes. On peut donc dire que la liberté peut aussi se comprendre telle une conquête comme une expression de notre volonté de ne pas subir passivement des contraintes et au contraire d'exprimer notre liberté. On peut aussi remarquer que la vie est faite de contraintes qui ne sont pas toujours considérées comme étant légitimes. Hobbes dans l'extrait "hors de la société

Être libre est-ce ne rencontrer aucun obstacle ? La liberté se définirait communément par l’absence de contrainte et d’obstacle, qu’ils soient matériels, physiques, psychologiques, moraux, juridiques ou encore politiques. L’obstacle empêche la progression de l’homme, lui laissant le choix entre la force, la ruse ou le renoncement. Il est à la fois négatif et positif : il oblige l’homme à s’arrêter momentanément et à se confronter à une difficulté, mais peut lui permettre une réflexion dans le

Jean-Paul Sartre et l’existentialisme : l’homme comme être libre La conception sartrienne de l’être humain I. L’existence précède l’essence (pp.214-216)  Le point de départ de Sartre est l’existence. Évidence première : “J’existe”. Je suis là, ici et maintenant. Ce “Je” correspond à la subjectivité, à la conscience individuelle.  Il n’y a pas de nature humaine qui définirait tous les êtres humains.  Il n’y a que des individus particuliers qui doivent construire leur essence propre à partir

Explication de texte n°2 Le point de départ de la philosophie de Henri Bergson (1859-1941) est sa découverte de la durée. Le temps n'est pour lui qu'une succession d'instants mobiles et il oppose ce temps réel à un temps abstrait qu'il nomme « durée ». Celle-ci possède trois caractères principaux qui la différencient du temps abstrait, la continuité, alors que le temps abstrait peut être fractionné en moments distincts, l'indivisibilité, parce qu'elle constitue un tout et que son essence provient

Tout d’abord, la conception de l’homme de Fromm est une conception assez récente. Cette dernière date de la fin du 20 ieme siècle et, est inspirée de d’autres philosophes comme Descartes et Rousseau. À mes yeux Fromm nous présente une conception de l’homme assez représentative de la société. Dans sa conception de l’homme Fromm dit d’abord qu’il existe une dualité corps/esprit. Celle du corps qui correspond à nos instincts la seule chose qui nous reste en commun avec les animaux et ou l’instinct