Des visages des figures

tenue que mon visage sans retenue puisse soudain passer pour un tissu une pierre un songe soit en quelque sorte un tableau fasse tableau mais ce n'est pas le cas même ce mot albâtre jeté au visage jeté tout à trac sur la page en haut de page ce mot me défigure ne me figure pas ne me représente pas ne figure rien de ce que je suis de ce que je pense être et je suis encore et toujours circonspect dans le doute et ce mot n'apporte rien aucune réponse et donc toujours je me jette à la figure ces accusations

qui conserva le pouvoir absolu jusqu'à sa mort en 1975. I) Analyse de l’œuvre Quelle est la composition de ce tableau ? La composition de ce tableau est horizontale, très allongée, organisée comme une frise où se trouvent des groupes de figures. Une disposition en triptyque (œuvre qui comporte trois parties pouvant parfois se replier l’une sur l’autre). Une première impression de chaos mais Picasso rattache solidement chacun des volets à la scène centrale par la charnière que forme la moitié

en valeur de la vue avec ''beau'' , ''Visage'' ; ''se peindre'' La vue est ici source d'amour mais également d'inquiétude. gustatif, v3 marqué péjorativement avec ''amertume'' renforcé avec l'adjectif ''extrême''. Le poète exprime ici sa souffrance, il n'a plus gout a rien. On peut également voir que la souffrance physique du poète est doublé par la souffrance morale. On peut le justifier avec les expressions : ''100 et 100fois''V.1 , V.5 ''visage blême'' On observe ensuite le champ lexical

candidat, homme ou femme (car on pouvait faire une papesse), pour laisser vierge et entière l'impression de sa grimace, se couvrirait le visage et se tiendrait caché dans la chapelle jusqu'au moment de faire apparition. En moins d'un instant la chapelle fut remplie de concurrents, sur lesquels la porte se referma. […] Les grimaces commencèrent. La première figure qui apparut à la lucarne, avec des paupières retournées au rouge, une bouche ouverte en gueule et un front plissé comme nos bottes à la

de chaque côté de la figure, les longues mèches de ses cheveux blancs et s’appliquait sur le crâne de manière à rigidement encadrer le front. La robe ensevelissait le corps comme dans un vaste linceul, et ne permettait de voir d’autre forme humaine qu’un visage étroit et pâle. Sans le bras décharné, qui ressemblait à un bâton sur lequel on aurait posé une étoffe et que le vieillard tenait en l’air pour faire porter sur le jeune homme toute la clarté de la lampe, ce visage aurait paru suspendu dans

et 2 vierges…………………………………………………………………….p 6-7 Exemples de rasoirs ……………………………………………………………………p 8-10 Page 1/10 TABLEAU 1 - UNE APPROCHE DE L’OBJET TECHNIQUE Un objet Sa finalité, le besoin satisfait - raser le visage Sa réponse au besoin à satisfaire - couper les poils du visage (au plus près de la peau sans la blesser) - permettre la sélection des parties à raser (moustaches, bouc, etc.) Sa logique de conception Son principe général et les Les solutions technologiques utilisées et fonctions

la liquidation des émotions  la communication.    Morton & Johnson (1992), ont proposé une hypothèse explicative de la préférence innée  dans la perception des visages. Laquelle? Citez des travaux récents qui plaident en faveur  de cette hypothèse.    Morton et Jonhson (1992), ont proposé que les bébé possèdent un système inné de  reconnaissance des visages d’origine sous corticale: Le système Conspec  ensuite vers 2 mois le système Conlern prend le dessus.   1997 ils proposent l’existence de la fusiforme face area

proportions humaines, mais corrige les erreurs de proportionnalité commises par Vituve. « La nature a en effet ordonné le corps humain selon les normes suivantes: le visage, depuis le menton jusqu'au sommet du front et à la racine des cheveux vaut le dixième de sa Léonard de Vinci, Etudes. Buste d'homme vu de profil ,étude des proportions du visage. Dessin (plume, mine de plomb, sanguine et encre marron ; vers 1490) de Léonard de Vinci. (Galleria dell'Academia, Venise.) hauteur, de même que la main

position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval Presque au centre de la composition, il symbolise, le peuple. Une lance transperce son flanc et le blesse à mort. La tête est rejetée en arrière, la bouche semble hurler et laisse visibles les dents et la langue pointue comme un couteau comme pour la mère portant son enfant mort, La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du christ. Le taureau La figure mythique du Minotaure est un motif central

succession d'images extrêmement compliqués. Les figures représentées par Picasso sont parfois très claires dans ce qu'elles expriment, parfois elles contiennent différents sens. C'est cette complexité qui fait aussi la richesse de Guernica. Les expressions Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval Presque au centre de la composition