Des visages des figures

sont qualifiés comme étant à la fois traditionnels et modernes, ce que l’on retrouve dans son poème 1909, où l’on peut également trouver une figure de la féminité. A présent on peut se demander comment le poète met en avant les avancés industrielles de la Belle époque en analysant tout d’abord les figures de féminité présentes dans le poème et la façon dont le poète mêle tradition et modernité. En premier lieu, on peut voir que la représentation d’une femme fatale

Albane Kerisit 3ème Design PRINCESSE X Constantin Brancusi Princesse X a été pensé par Constantin Brancusi en 1915. Tout d’abord réalisé en plâtre pour la conception du moule puis coulé par la suite en fonte. La sculpture mesure 61,5 x 28 x 25 cm sans le socle. Brièvement, cette sculpture est née grâce à la Femme se regardant dans un miroir, sculpture en marbre réalisée aux environs de 1909 par Brancusi. Il la laissa inachevé et retravailla dessus quelques années après d’une toute autre

Conception et réalisation d’une plate-forme de commande d’un fauteuil roulant électrique BOUZIDI Mohamed & WALI Mohamed Table de Matière Table des figures .................................................................................................................................... 3 Table des tableaux ................................................................................................................................. 4 Introduction générale ...............................

d’images extrêmement complexes. Les figures représentées par Picasso sont parfois très claires dans ce qu’elles expriment, parfois très claires dans ce qu’elles expriment, parfois plus ambigües. C’est cette complexité qui fait aussi la richesse de Guernica. Au niveau des expressions, toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. Au centre, le cheval , symbolise

Ainsi nous verrons en quoi ce passage s’inscrit dans le genre fantastique ? Annonce du plan littéraire :Nous verrons dans un premier temps comme le cadre du genre fantastique est mis en place puis nous intéresserons à l’interruption d’une figure fantastique. Analyse linéaire :L4 « il n’eut aucune perception claire des choses terrestre, soit qu’il se fut enseveli dans une rêverie profonde, soit qu’il eût céder à la somnolence (…) »· L’inconnus est comme dans un rêve. Le réel ne lui apparait

de noir, blanc et diverses nuances de gris parfois bleuté, sans doute pour traduire la terreur et le deuil. Ce tableau contient des figures humaines et animales. Les expressions Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval Presque au centre de la composition, il symbolise, des dires même du peintre, le peuple. Une lance transperce son flanc

= conclusion ou explication de l'observation) Le jeune avoué demeura pendant un moment stupéfait en entrevoyant dans le clair-obscur le singulier client qui l’attendait. (1) Le colonel Chabert était aussi parfaitement immobile que peut l’être une figure en cire de ce cabinet de Curtius où Godeschal avait voulu mener ses camarades. Cette immobilité n’aurait peut-être pas été un sujet d’étonnement, si elle n’eut complété le spectacle surnaturel que présentait l’ensemble]e du personnage.(2) Le vieux

violon d’Ingres ; les poèmes de Paul Eluard n’ont jamais cessé de dire combien la femme lui était vitale et de célébrer la force de l’amour. Rien d’étonnant donc au fait que la femme soit le centre, le cœur vivant des Mains libres. Mais toutes les figures de femmes n’y apparaissent pas satisfaites, comme si les images négatives servaient à mieux faire ressortir la félicité de la jouissance. Hypothèses Le recueil met en scène plusieurs femmes insatisfaites, ou insatisfaisantes : par le malaise

à l’épanouissement du genre, il a pris le sens de "représentation picturale d’une personne, de son buste ou de son visage" (1538). 5 "Dibutade, Sicyonien, potier : ayant vu un portrait que sa fille, amoureuse d'un jeune homme qui s'en allait, avait tracé de son ombre contre une muraille, à la lumière de la lampe, il plaqua de l'argile molle sur les traits, et en fit un visage tel quel : qu'il fit après cuire au feu, avec ses autres ouvrages." (Pline, Histoire Naturelle XXXV, § 15 et 151, Paris

Les artistes utilisent les procédés habituels de la peinture de bataille : une vue panoramique avec des personnages très petits, une logique de combat claire. Delacroix fait l’inverse : Le spectateur est placé très bas, assailli par des figures plus grandes que lui. Et La logique du combat est surprenante : c’est vers lui que se tournent les insurgés alors qu’on distingue les troupes royales { l’arrière plan. La femme au centre du tableau joue un rôle clé : elle est au sommet d’une