Description Frederic Moreau

ensuite le réalisme du passage puis pour finir le double portrait du héros; Frédéric Moreau. Tout d'abord, ces cinq paragraphes font alterner des formes d'écritures différentes; du récit à la descritption, puis de la descritpion au récit. Dans ce roman nous avons trois points de vues; tout d'abord le point de vue interne dès les premières lignes, celui qui nous permet de voir la scène à travers les yeux de Fréderic Moreau, lignes 3à8, ''des barriques, des câbles,des corbeilles de linge gênaient

Bovary, Salammbô (= guerre contre Carthage dans l’Empire romain, Salammbô = prêtresse carthaginoise, parle de la révolte des esclaves…). Avec L’éducation sentimentale = il revient à un roman parisien, il y décrit une génération perdue. On y voit Frédéric Moreau (= son évolution) de 18 ans à l’aube de sa vieillesse. On s’attend à un roman d’apprentissage, mais finalement, le personnage n’apprend rien, ses passions ne le mènent nulle part (ex : Marie Arnoux). Il s’abandonne à sa passion, sa vie est une

publie " L'éducation sentimentale " en 1869. Dans cet extrait , le protagoniste Frédéric Moreau contemple une femme à qui il vient de croiser le regard, faisant une description longue et détaillée de son physique, de ses moindres mouvements, et même des

adoptent ce type d'écriture. Les caractéristiques du réalisme sont de parler à la 3eme personne du singulier, d'adopter un point de vu omniscient, d'intervenir dans le récit pour installer une certaine complicité avec le lecteur, de donner une description symbolique du paysage, et de fournir une pièce d'identité au personnage, c'est à dire, l'Homme selon les circonstances et en fonction du milieu dans lequel il évolue. Pour montrer ce réalisme j'ai choisi un début de chapitre d'une œuvre de Flaubert

L’Éducation sentimentale, histoire d’un jeune homme est un roman de Gustave Flaubert, publié le 17 novembre 1869.l'histoire est celle de Frédéric Moreau, jeune provincial de dix-huit ans venant faire ses études à Paris. De 1840 à 1867, celui-ci connaîtra l’amitié indéfectible et la force de la bêtise, l’art, la politique, les révolutions d’un monde qui hésite entre la monarchie, la république et l’empire. Plusieurs femmes comme Rosanette et Mme Dambreuse traversent son existence, mais aucune ne

Problématique : Comment la description de l’environnement donne à voir le héros de roman ? Support : extrait de L’Education Sentimentale de G. Flaubert (1869) Activités : lecture analytique 1) L’expression du désoeuvrement : è inactivité ou actions sans finalité et non productives : regarder, méditer, errer sans but §1 et 2: - « ennui », « aucun travail » l.2 ; « il passait des heures à regarder », l.4 - verbes indiquant le mvt des yeux : « délaissant à gauche » l.6,

regard lucide sur les comportements des individus et de la société... Ses principaux romans sont Madame Bovary (1857) et l’Éducation Sentimentale. L’extrait que 'on va étudier est le début, l'incipit où l'on rencontre le personnage principal : Frédéric Moreau. C'est un incipit descriptif où le héros prend le bateau pour rentrer à Nogent-sur-Seine. Il a la forme d'un incipit Classique Problématique : Comment commence ce roman ? Plan : 1. Flaubert pose un cadre spatio-temporel précis 2. Il établit

constituent deux excipits. Chaque texte met en scène un personnage d'un âge plutôt jeune, Frédéric Moreau (texte C) : « Un jeune homme de dix-huit ans (l. 18) » ; Julien Sorel (texte A) : « Un petit homme de dix-huit à dix-neuf ans (l. 39) » ; Eugène de Rastignac (texte B) : « l'étudiant » ; Bel-Ami faisant légèrement exception car d'un age sûrement un peu plus avancé. Pour les deux débuts de romans, nous avons la description physique des personnages, typiquement du style du roman d'apprentissage. Dans le

des sons, mais aussi par la « nuée blanchâtre » de la vapeur => rappelle les tableaux impressionnistes (La gare Saint Lazare de Monet par exemple) - Ces brouillages constituent autant d’écrans entre le spectateur et la réalité. La description de Frédéric (« Enfin le navire partit » à « il poussa un grand soupir. ») «  Enfin le navire partit ; et les deux berges, peuplées de magasins, de chantiers et d’usines, filèrent comme deux larges rubans que l’on déroule. » - Ce troisième paragraphe

superposition des sons, mais aussi par la « nuée blanchâtre » de la vapeur => rappelle les tableaux impressionnistes (La gare Saint Lazare de Monet par exemple) - Ces brouillages constituent autant d’écrans entre le spectateur et la réalité. La description de Frédéric (« Enfin le navire partit » à « il poussa un grand soupir. ») «  Enfin le navire partit ; et les deux berges, peuplées de magasins, de chantiers et d’usines, filèrent comme deux larges rubans que l’on déroule. » - Ce troisième paragraphe