Diolas

Habitants Taux d'accroissement : 2,2% par an Espérance de vie : 52 ans Taux de scolarisation : 69 3 % dont 71,3 % pour les garçons et 67,3 % pour les filles (Boubacar et son ami, dans la vidéo, vont en classe) Diverses ethnies : Wolof, Sérère, Toucouleur, Diola, Peulh (éleveurs nomades), (un des enfants de la vidéo qui vend du lait caillé), de nombreux métis (un des amis de Boubacar s'appelle Pereira : nom portugais). Religion : L'islam est la plus importante (deux amis de Boubacar y font allusion : le talibé

Autres » afin d’assurer l’exhaustivité des modalités. Exemple - Pour le caractère état matrimonial, on retient 4 modalités : marié, veuf, célibataire, divorcé ; - Pour le caractère ethnie des étudiants de la classe, on peut avoir : « Sérère, Diola, Wolof, Toucouleur, Peulh, « Autre ». - Pour le caractère « nombre d’enfants » on peut avoir 0, 1, 2, 3, 4, 5, … - Le caractère « chiffre d’affaires » exprimé en million de francs, on peut avoir [0, 5[, [5, 10[, [10, 20[, … II. LES DIFFERENTS

entités Au Sud, le Niokolo, le Sirimana et le Bélédougou documents Inciter à identifier les Identification des entités politiques mandingues iconographiques entités politiques politiques mandingues et et diolas Au Nord, le Niani, le Wouli, le Badibu, le Niomi mandingues et diolas diolas Les entités Diola (Kasa, Fogny et Blouf) Durée : 02 h 00 Évaluation Décrire du Fouladou les faits de civilisation Sur une carte, localiser les entités politiques mandingues 47 DISCIPLINE : HISTOIRE GUIDE D’USAGE

Ne dire que ce qui se voit ou ,donner à voir ? N in : Tropi- ques. Lieux et liens, hommage à P. Pélissier et G. Sautter, Paris, Orstom-CNRS, pp. 291-295 (coll. Didactiques). 29 PIKINE, 1987 ETHNIE DES CHEFS DE QUARTIERS LEBOU SARAKOLE DIOLA Releves 1986/87 G. SALEM Avec la collaboration d' A. SOW,P. NDIAYE, A. TRAORE, I. BADJl Infographie : G. SALEM Bien que la carte n’ait jamais été établie par l’administration, le quadrillage spatial opéré peut être cartograp@é, illustrant les structures

s’effectue avec une langue de niveau 2 (bambara / français) ou 1 (amharique /anglais). En revanche, au niveau 4, la tendance est au plurilinguisme, que celui-ci soit horizontal ou vertical. Un manjak au sud-ouest du Sénégal parlera vraisemblablement le diola et le mancagne (langues de l’ethnie voisine, de niveau 4), le wolof véhiculaire (langue de niveau 3) et éventuellement apprendra le français à l’école (langue de niveau 2). Les personnes parlant des langues périphériques ont une nette tendance au

rond-point Liberté avec quelques appartements résidentiels, des superettes, une banque, etc...   Chez Tata Catho : C’est une petite dibiterie en plein quartier tranquille où la viande grillée est super. Clientèle 100% africaine et spécialement catholique (Diolas et Sérères). Les grandes bières Gazelle sont à 500CFA (0,75€). L’accueil est extra et vous pourrez y faire des rencontres sympa dans la communauté catholique de Dakar. Comptez 1500CFA pour un kilo de viande grillée pour deux ou trois personnes ! Allez-y

contexte que, certaines femmes du quartier de Baobab se sont regroupées pour fondées un groupe dénommé SIGGIL MARIAMA. Siggil Mariama est une association de 120 femmes catholiques de nationalités et d'éthnies diverses (cap- verdienne, béninoise, diolas, sérères, mankagne, baïnounka...) qui a comme activité : le commerce, la couture, mais aussi un service traiteur. Ces différentes activités ont été constituées en 3 GIE :  GIE Siggil traiteur (service traiteur, décoration…)  GIE Siggil

semble pas générale, car il existe des sociétés africaines où la femme n’envie pas sa consœur européenne considérée comme la plus émancipée. Nous pouvons citer au Sénégal l’exemple de la Reine Aline Sitoe qui a dirigé la résistance dans le royaume Diola Kassa au Sud du pays contre les colons européens S’il est vrai que la femme africaine, particulièrement sénégalaise, cherche encore à se frayer une place confortable dans la société du point de vue de l’égalité homme-femme, il n’en demeure pas moins

médium du tabouret d’or, véritable dépositaire du pouvoir spirituel (selon G. Hagan11). De même ces silatigui des clans peuls que nous avons cités plus haut, ou les lamanes des anciennes chefferies wolof, ou encore les reines-prêtresses des villages diola de Casamance. Faut-il leur adjoindre les Mansa de l’aire mandingue ? Ferran Iniesta estime que ce sont des rois-divins, bénéfiques et dangereux, à l’instar des pharaons. Mais Alpha Konaré12 explique de son côté la différence qui existera entre Mansaya

esclaves, et par la pression des populations venues du Soudan, Mandingues et Peuls infiltrés depuis des siècles, tantôt les acculant à la côte de l'Océan ou parfois même aux îles situées dans les estuaires des fleuves, comme c'était le cas pour les Diola de la basse Gambie et de la Casamance, les Balantes, Bagnoun, Bissago, Papel, Biafada, etc. de la Guinée Portugaise, les Nalou, Landouman et Baga de la basse Guinée Française, les Timné et Boulom du Sierra-Leone, tantôt les isolant en îlots plus ou