Discours indirect libre

tempérament et cherche à le comprendre. Lorsqu’il se remémore son passé à Plassans, il cherche auprès de ses géniteurs une explication comme en témoigne l’emploi de nombreuses phrases interrogatives « Qu’avait-il donc de différent ? ». Le discours indirect libre «Mon Dieu ! il était donc revenu, ce mal abominable dont il se croyait guéri » souligne son désespoir de maîtriser cette double personnalité et le souhait du narrateur de nous faire ressentir les pensées intimes du personnage. Ce manque de

n’aide » Portrait de deux personnages du coche vus par la mouche : Séquence 1 - « Le moine disait son bréviaire : / Il prenait bien son temps ! » ® discours indirect libre : c’est du moins ce que pense la Mouche (anticléricalisme de La Fontaine) - « Une femme chantait : / C’était bien de chansons qu’alors il s’agissait ! » : discours indirect libre (misogynie de l’auteur) « Dame Mouche s’en va chanter à leurs oreilles » : la mouche se prend pour un personnage important et se contente de bourdonner

sociale. B) La convivialité Le repas est un facteur de collision, facteur zéro. Vision générale de ce repas. Les invités sont sous une forme de groupe où ressort les rives, les bruits. Zola utilise le discours indirect libre. Le discours et le récit se mêlent grâce au discours indirect libre. On entend leurs paroles. Ils sont tous à la recherche du plaisir. « carpe diem » → profite du moment présent. La revanche d'un groupe social. Il ne s'agit pas d'un repas quotidien mais un repas de fête (rareté

toutefois par des voies différents. En premier nous allons évoquer le procès de l'Homme par ses serviteurs naturels avec les paroles de la vache, du bœuf et celle de l'arbre. Puis nous parlerons de la condamnation de l'Homme par lui même avec le discours de la couleuvre, les proposes de l'auteur et l'intervention de l'homme. L'homme pour savoir si son jugement est correct, il demande aux personnages présents leurs avis. Ils sont tous contre celui de l'homme. L'homme demande d'abord à la vache

différents types de discours : Direct : vers 29-30 ; vers 29 : Que sens-tu ? dis-le moi : parle sans déguiser : rythme ternaire, 2 vbs à l’impératif + une question : c’est le roi qui domine le dialogue, l’autre ne peut qu’obéir ou répondre ; contradiction flagrante avec le sans déguiser par lequel le roi tente de montrer sa mansuétude. Discours narrativisé : Le Singe approuva fort cette sévérité (20) ; L’autre aussitôt de s’excuser (30) Discours indirect libre : 23-24 (discours du singe)  - Alternance

sent pas coupable mais incompris, il ne veut pas se repentir et elle ne comprends pas. B – (l.4-7) : du narrateur à Lafcadio (focalisation). Lafcadio comprends que Geneviève a raison. On passe du narrateur à Lafcadio avec « Fâcheux... » discours indirect libre, ce sont les pensées de Lafcadio. C – (l.8-12) : deuxième mouvement. Démarche du personnage : après l'avoir repoussée, il veut se rapprocher d'elle, c'est une manière de se venger de Julius. Le mot « rancune ». « Pieds nus » → dans les

déguisements : comique de situation ; déguisé comme pour aller à la fête. Ca dérobe une sorte de code bien rodé, systématisé. C'est ritualisé. Caractère de mise en scène : comique de situation. Un serment c'est un discours à portée morale, mais il est pathétique, bien réussi. Discours indirect libre : Candide fut fessé. Harmonieux ironique : puérile donc puni. Réplique du séisme, satire de l'inquisition. Certitudes irrationnelles. Code de comportements ( fanatisme). Candide épouvanté : parodie de planctus

sensations, mais aussi les pensées de Tchen, dont le lecteur découvre le monde intérieur. Tchen s’exprime par un soliloque dont les marques sont le style indirect, et surtout indirect libre (l.15 « Pris ou non, exécuté ou non, peu importait »), typique du monologue intérieur. Les exclamations sont très proches d’un réel discours (l.9-10 « Découvert ? Combattre ! ») Les guillemets à la ligne 20 sont la marque d’une référence à une phrase déjà entendue, et qui prend tout son sens

s'appuie sur le physique de son personnage pour établir la psychologie de celui-ci. De plus, dans le texte La chartreuse de Parme, Fabrice est un jeune enfant naïf, plein d'admiration pour le prince Moskowa. On constate que l'auteur utilise le discours indirect libre « Ah ! M'y voilà donc enfin au feu ! Se dit – il. J'ai vu le feu se répétait-il avec satisfaction. Me voci un vrai militaire »  (l32) afin de se moquer. Ainsi, par ce procédé, Stendhal tente de montrer que le héros n'a pas toujours les qualités

| | |Contrôle de lecture | |Module |Les discours rapportés : rappels et exercices | |S. 3 |Reprise du travail de recherche sur réalisme/naturalisme/Maupassant.