Dissolution Du Lien Matrimonial

Chapitre 3 : Dissolution et relâchement du lien conjugal Les cas de dissolution d'un mariage sont énoncés à l'article 227 du code civil, avec la mort de l'un des époux et le divorce légalement prononcé. On parle alors de séparation de corps, qui résulte d'une décision de justice dispensant les époux d'obligation de communauté de vie qu'il faut bien distinguer de la séparation de faits. Section 1 : Le divorce C'est le mode de dissolution du mariage du vivant des époux. Le droit du divorce

LA CLAUSE DE PRECIPUT Définition La clause de préciput est une convention matrimoniale insérée par les époux dans le contrat de mariage. Par ce type de clause, les époux conviennent que le conjoint survivant sera autorisé à prélever ,sans indemnité sur le patrimoine commun et avant tout partage, soit une somme d’argent, soit certains biens déterminés ou déterminables. Cette clause peut prévoir une attribution en toute propriété ou bien en usufruit. La clause de préciput permet de protéger l’époux

Le Code civil pose le principe de la dissolution du mariage civil (C. civ., art. 227). Il est mis fin au mariage en cas de décès de l’un des époux ou lorsque le divorce est légalement prononcé. Toutefois, les époux peuvent aussi décider de cesser la vie commune sans pour autant rompre leur mariage. Le lien conjugal peut être effectivement allégé grâce au prononcé d’une séparation de corps qui se présente comme le diminutif

- sauf : parfois les exigences de la vie professionnelle imposent des résidences distinctes : l'art 108 admet que les époux aient des domiciles séparés pourvu qu'il y ait suffisamment de rencontres traduisant le maintient de l'intention matrimoniale - si les époux passent « un pacte de séparation amiable » en se déliant du devoir de cohabitation : aucune valeur juridique parce que ce devoir est d'ordre public mais peut être pris en compte par les juges pour atténuer la fraude en cas

L’alinéa précise également que cela n’a d’effets qu’ « à l’égard des époux ». Par la suite, l’alinéa 2 expose le fait que la bonne foi d’un seul époux suffit pour appliquer le mariage putatif. L’article 201 du Code civil exprime donc un nouveau cas de dissolution du mariage, entre la nullité du mariage et le divorce. L’intérêt juridique de cet article est donc bien de délimiter la théorie du mariage putatif. La question qui est ainsi posée au législateur est bien de savoir : quelles sont les conditions

Droit de la famille Introduction: Notion de famille Hors du droit, elle désigne un groupe de personnes réunies par un comportement social, un lien de parenté.. Elle est considérée comme un groupement fondamental. La sociologie montre qu'il existe une grande diversité des formes apparentes de la famille. Il en résulte une ambiguïté du vocable famille. Il y a deux types: la famille désignant les liés par le sang et éventuellement les alliés; la famille entendue comme le groupe de personnes vivant

familles, selon un professeur. Et dans rapport on entend les droits patrimoniales et extra patrimoniales. Le fait biologique (mère, père biologique), ne suffit pas, car il faut que le droit reconnaisse cette entité. On peut adopter des enfants, pas de lien de sang mais de famille. Et pour famille il ne faut pas essentiellement caractériser le mariage, il a des familles hors mariage. Aujourd'hui, dans le code civil, la famille a la place première, mais malgré tout il n'y a pas de définition précise

: le consentement mutuel (accord des 2 époux sur le principe et les effets du divorce) : la procédure pour le consentement mutuel : divorce accepté (signature d’un PV d’acceptation du principe de la rupture du mariage) : altération définitive du lien conjugal (2 ans de séparation minimum au jour de l’assignation en divorce) : divorce pour faute : procédure applicable aux cas de divorce autre que le consentement mutuel : divorce pour faute : incidence de la réconciliation postérieure à la survenance

I) Le principe du mariage. A) La formation du mariage. Seules les personnes ecclésiastiques peuvent statuer sur les questions matrimoniales. Et pour cela, l'église à décidé de tenir compte des droits antérieurs, c'est à dire du droit romain et du droit germanique. Tous d'abord dans le droit romain, le mariage résultait du simple consentement des deux époux et de leur famille respective, c'est à dire du père de famille (le pater familias). Dans la tradition germanique il fallait obtenir l’accord

une autre forme de scission du ménage. Les époux, sans rompre leur mariage, se séparent et vident leur union de tous contenus réels. Cette séparation, si elle présente un caractère de stabilité, peut conduire au bout d’un certain temps à la dissolution même du mariage. La séparation de corps est une décision judiciaire qui opère un relâchement du mariage et qui autorise les époux à vivre séparément. On considère que la séparation de corps est « le divorce des catholiques » car elle est compatible