Distance Hiérarchique Hofstede

une maison, si celle-ci a besoin d’un nouveaux toit ou de certaines modifications a apportes, ils peuvent faire appel à Evans Roofing. 3/ Diagnostic interculturelle : des USA (en Floride) Selon HOFSTEDE et HALL: La distance hiérarchique : - Distance Moyenne aux Etats-Unis - Peu de niveaux hiérarchiques - Peu d’importance pour la structure pyramidal Type de pouvoir : - Pouvoir décentralise (Monochrome) - Répartition égalitaire du pouvoir - Management principalement participatif Communautarisme

comment procéder pour réaliser cela. Les trois niveaux sont : la culture nationale, la culture du groupe d’appartenance et la culture organisationnelle. La culture nationale  Dans l’étude de (Hofstede, 1991), la dimension nationale de la culture se représente comme suit: La distance hiérarchique qui signifie le degré des inégalités sociales y compris les relations avec les autorités Le degré d’individualisme, versus collectivisme, qui caractérise les sociétés dans lesquelles les liens entre

1. A la découverte de la Chine……………..…………………………….13 2. Habitudes et traditions..………………………………………………..20 Partie 2: Modèle de management Chinois…………………………………………24 I. Entreprises en Chine………………………………………………………………24 1. Les modèles de Geert Hofstede………………………………………24 2. Le mode d'organisation et les structures………………………..26 II. La culture d'entreprise en Chine……………………………………………...30 1. Evolution du concept de culture d'entreprise en Chine…...30 2. Les conflits interculturels dans

2001). 1.2.1 Des « grilles » culturelles. Hofstede (1987) fournit une vision panoramique des différentes cultures à partir de leurs implications sur le fonctionnement des entreprises. Il propose une grille de lecture axée sur la manière dont plusieurs ensembles nationaux traitent certaines problématiques fondamentales. Hofstede s’intéresse aux valeurs et attitudes au travail dans les entreprises à partir de quatre dimensions universelles : la distance hiérarchique, le contrôle de l’incertitude, l’individualisme

que la société commence à s'industrialiser et à s'urbaniser, le taux de suicide tend à augmenter. A partir de ces observations, il allait jusqu'à déduire qu'il valait mieux vivre pauvrement à la campagne. Cependant ce constat là n'a pas tenu la distance, le rapport s'est inversé. Le pessimisme de Durkheim a été pris en défaut. Constat 2 : un bon rattachement au système social en protège Le 2e argument est davantage puissant. Le cœur de la démonstration est le constat selon lequel le suicide

collectif. Hofstede et Trompenaars ont mis ces tendances en lumière dans leur grille culturelle respective. Selon Hofstede, par exemple, les cultures individualistes ont tendance à privilégier un système de récompenses individuelles, tandis que les cultures collectivistes mettent l'accent sur le travail d'équipe. Le CO devrait nous aider à être plus conscients de l'effet des différences culturelles sur la gestion des individus et des groupes en fonction des contextes. Quel est l'effet de la distance hiérarchique

considérée sous l'angle des rapports au travail, à l'argent et à la consommation. 2. Le rapport aux autres La relation aux autres, une des cinq dimensions universelles de Kluckhohn et Strodtbeck (1961) recouvre plusieurs dimensions de Hofstede (1980) : distance hiérarchique, individualisme/collectivisme, masculinité/féminité ; du groupe The Chinese Culture Connection (1987) : intégration c'est-à-dire tolérance, chaleur humaine ; ou de Javidan et House (2004) dans leur projet Globe : orientation humaine

subordonnés et de nos supérieurs hiérarchiques bien sur. Nous devrons savoir réfléchir et parler. Ainsi une telle expérience est très importante pour mon éducation, tant scolaire qu'humaine, pour mon éducation aux futurs métiers qui seront les miens. Pour terminer, nous pourrions nous amuser à comparer les dimensions culturelles selon Hofstede et ce que j'ai pu observer sur le terrain: Il y a un chef (Geneviève) à la tête du groupe, avec une distance hiérarchique extrêmement faible. Il s'agit

communication au regard de différents collectifs (groupes, équipes, etc.) . . . . . . . . . . . 2.1 L’analyse des réseaux de communication dans le petit groupe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2. Le rôle de la distance spatiale dans la communication . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résumé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Par exemple, « Les Sud-américains et les Arabes aiment parler dans une plus grande proximité que les Nord-américains ; pour les Asiatiques, au contraire, la distance requise est encore plus grande. Si un Saoudien s’approche un peu trop d’un Canadien, ce dernier réagira peut être par un léger mouvement de recul pour rétablir une certaine distance ; cependant, ce même Canadien en voyage d’affaires à Malaysia pourrait bien voir son homologue de Kuala Lumpur reculer pour la même raison. » Le rapport