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| | La notion de compétence | Compétences et qualificationLa notion de compétence est l’objet de divergences entre les auteurs et les acteurs du débat social dans l’entreprise. Toutefois, certains éléments semblent la caractériser. Plusieurs auteurs, en effet, soulignent comment le « modèle de la compétence » (Zarifian P. 1990) s’écarte et remet en cause le modèle de la qualification (Dugué, E. 1994). Un diplôme est l’attestation, à un moment donné, qu’un individu a administré la preuve qu’il

Les précurseurs des théories des organisations Parmi les principaux précurseurs des théories des organisations, apparaissent le français FAYOL et l'américain TAYLOR. Tous deux sont considérés comme les fondateurs de ce qu'on a coutume d'appeler "l'école classique du management" et leurs idées, bien que controversées, en particulier par l'école des relations humaines, ont été largement mises en pratique dans les entreprises. FAYOL s'est principalement intéressé aux problèmes de direction de

devaient avoir un intérêt spéculatif. Si nous séparons avec soin les problèmes théoriques et les problèmes pratiques, ce n’est pas pour négliger ces derniers : c’est au contraire pour nous mettre en état de mieux les résoudre » (E. Durkheim, De la division du travail social, préface à la première édition). • La socio nécessite de constituer une langue et des catégories « Le contenu d’aucune science ne repose sur de simples faits, objectifs, mais comporte toujours une interprétation et un modelage

reportage télévisé, plus précisément l'analyse du processus de réalisation du reportage qui est découpée en plusieurs stades consécutifs attribués à différents groupes professionnels. Le reportage est en effet le fruit de tout un travail collectif (la division du travail est ici très claire) élaboré par des groupes d'acteurs socialement hétérogènes qui prennent position différemment. Ils sont hétérogènes par leur formation, c'est-à-dire leur « savoir-faire », par leurs intérêts divergents liés en partie

de la révolution industrielle dans le nord du Royaume-Uni. Smith est l’un des premiers à s’interroger sur l’origine et les mécanismes de ce capitalisme naissant. Il repère dans la division du travail le mécanisme central du progrès économique et voit dans l’échange un puissant catalyseur (= stimulant). Ainsi, la division du travail apparaît comme un élément essentiel pour comprendre l’ensemble des mécanismes qui sont à l’origine de l’apparition du capitalisme et de la grande industrie dans nos sociétés

1. La division du travail La division du travail se définit par la répartition d’un travail organisé en différentes tâches entre des individus ou des groupes spécialisés dans des activités complémentaires. A. L’origine de la théorie La division du travail existait déjà au XVIIIe siècle, dans les premières manufactures, comme celle présentée par Adam Smith dans le premier ouvrage de théorie économique moderne : Enquête sur la nature et les causes de la Richesse des Nations. [Dans la manufacture

de ligne de montage. Celle-ci augmente la production et permet de réaliser des économies d’échelle. Les salariés sont devenus des consommateurs de la classe des « cols bleus ». Le fordisme est une application de l’OST qui utilise le principe de division du travail, de séparation de la conception et de l’exécution ainsi que le salaire au rendement. Son apport réside dans la mise en place de chaînes de montage dans lesquelles l’ouvrier ne se déplace plus. Le fordisme a permis une augmentation de

avancée arce qu'il y a des avancées qui permettent la division du travail, la spécialisation des ouvriers, qui permet d'être plus productif. On entre alors dans la division du travail, qui ne peut avoir lieu que s'il existe de la monnaie, nécessaire pour diviser les tâches. Sans elle, il faut produire de tout pour pouvoir échanger. Smith relie cela à l'évolution vers l'accumulation du capital. Grâce à la monnaie, s'instaure la division du travail, donc l'accumulation : on va produire en quantité

résultats. Les organisations sont extrêmement variées, mais toutes structurent leur action collective en adoptant des mécanismes de coordination et en répartissant le pouvoir. Toute organisation donne naissance à deux besoins fondamentaux : la division du travail entre diverses tâches et la coordination de ces tâches pour parvenir à des résultats. Pour coordonner les actions au sein de l’organisation, on distingue traditionnellement cinq mécanismes : |Mécanismes de coordination

mais attendent que le produit vient à lui sur des machines transferts c’est le travail posté aussi appelé travail à la chaîne ; cette inversion rend possible la maîtrise des cadences de travail par la hiérarchie, c’est le travail en cadence ; - la division du travail : Ford poursuit l’œuvre de Taylor en accentuant la spécialisation des tâches ; - la standardisation du produit ; - la baisse des prix de vente, par exemple le modèle automobile T est de plus en plus abordable, il passe de 690 $ en 1911