Dreyfusards Non Dreyfusards

collaboration avec de nombreux journaux parisiens à la fois monarchistes comme la Gazette de France et républicains comme la Cocarde, journal dirigé par Barrès. Charles Maurras sera marqué par l’affaire Dreyfus, la France était partagée entre les dreyfusards et les antidreyfusards. Charles Maurras est de ces derniers pour plusieurs raisons : la première est qu’il est nationaliste et la seconde est qu’il est profondément antisémite. En 1899, à la suite d’un long voyage en Italie et en Grèce qui renforce

pieux, palissade, rempart), de vallus (pieu). Bien qu'étymologiquement le « de » dans de Gaulle ne semble pas être une particule nobiliaire, le patronyme de Gaulle s'écrit toujours avec un « d » minuscule comme tous les noms à particule, nobiliaire ou non [3]. Le mot « Gaulle » étant monosyllabique, la particule « de » se conserve même quand le nom n'est pas précédé du prénom ou d'un titre de civilité [4]. La famille maternelle de Charles de Gaulle, les Maillot, était originaire des Flandres françaises

français ne suffira plus pour devenir français". | | 4- "[…] l'Etat s'engage à fournir aux citoyens la possibilité de travailler et de vivre. S'il n'est pas possible de nourrire toute la population de l'Etat, les ressortissants de nation étrangère (non-citoyens) devront être expulsés du Reich." | 4- "[…] la France ne peut se permettre d'offrir du travail sur son sol à des travailleurs étrangers. … …"(Il faut) remettre en question les acquisitions de nationalité et les naturalisations accordées depuis

club littéraire, les Argonautes, il se saoûle et se ridiculise devant tout le monde puis sombre dans une torpeur éthylique. Il est rattrapé et soigné par l'oncle Édouard, dans les bras duquel il achèvera la nuit. Au matin, il tente de se suicider, non pas par désespoir dira-t-il, mais au contraire parce qu'il a connu un tel bonheur cette nuit-là qu'il a senti n'avoir plus rien à attendre de la vie. Il finira par rester chez son oncle, grâce à la bienveillance de sa mère Pauline qui devine bien les

– ci doit démissionner. Avec les lois de 1881, la liberté de la presse est garantie ainsi que la liberté d'expression qui sont une autre base importante de notre démocratie. De plus, la loi de 1901 permet de créer librement des associations a but non lucratif qui favorisent la liberté d'expression et la liberté de faire et de participer à la vie politique. En 1905, la loi de séparation de l'Eglise et de l’État met fin au catholicisme comme religion d’État. Ce combat a été mené par le parti radical

l’institution française, les doutes subsistent. b) Les premiers Dreyfusards Au tout début de l’Affaire il y a peu de défenseurs, mis à part la famille de l’accusé, notamment son frère Mathieu Dreyfus, seuls quelques intellectuels cherchent à défendre le capitaine. Parmi eux trois sont à retenir : le grand rabbin de France Zadoc Kahn, Joseph Reinach et Bernard Lazare. Le premier a commencé à agir bien avant le verdict et ce, malgré sa charge non politique et les menaces qu’il recevait. Il encouragea les

L’AFFAIRE DREYFUS : Le 6 octobre 1894, la Section de statistique (service de renseignements de l'armée) soupçonne le capitaine Alfred Dreyfus d'être l'auteur d'un bordereau manuscrit non signé adressé à l'attaché militaire de l'ambassade d'Allemagne en France Maximilian Von Schwartz Koppen et relatif à l'envoi de documents secrets. Le bordereau avait été intercepté le mois précédent à l’ambassade d’Allemagne, par une femme de ménage dans le bureau de l'attaché militaire, ce qui prouvait qu’un

Gaulle, disciple de Péguy (influencé par le socialisme de Pierre Leroux) et de Bergson, a été formé par le colonel Mayer, officier d'origine israélite, dreyfusard et socialisant. Il a dans son sillage fréquenté le socialiste Club du Faubourg (il avait avant la Première Guerre mondiale assisté à Lille à des meetings de Jaurès) et les mouvements non-conformistes des années 30 (Esprit, etc.). Il avait aussi adhéré aux organisations catholiques de gauche : le Sillon de Marc Sangnier, « les Amis de Sept

Crise car vérité, Justice et les droits individuels sont remis en cause Affaire publique : 1898 : Lettre de Zola (au journal L’aurore) demande une révision du procès adressé à F.Faure (président de la république). Peuple divisé en 2 camps : Dreyfusards Antidreyfusards - Défenseurs de la république - Antirépublicains - Intellectuels - Nationalistes - Anti radicaux - Monarchistes - Catholiques > pour la justice, vérité, les droits > contre un nouveau procès, honneur individuels

Parisien Petit Journal Le Journal Le Matin (droite) La Croix ( Le journal le + antisémite de Fr ) L’Humanité (SFIO) L’intransigeant ( boulangisme ) Affaire Dreyfus : 1894 1896/1898 naissance dans la presse = affrontement des camps Dreyfusards ( L’Aurore, Clémenceau Zola, ‘ J’accuse ’ ) ≠ Anti Drefysards ( La libre Parole, Edouard Drumont ) -342900161925 Presse : sous influence ( même si loi du 29 Juillet 1881 ) = tutelle de la bourse Impératif de la rentabilité :