Drumont

presse a. les caricatures L’image représente une figure majeur du discours antisémite et un outil non négligeable dans les processus de discrimination et de persécution des Juifs. Pariant sur le pouvoir de l’image, le 17 juillet 1893, Édouard Drumont lança La Libre parole illustrée. Dans le premier numéro, il annonçait : « L’image doit compléter l’oeuvre de la plume. Elle s’adresser à ceux que l’écriture n’a pas encore touchés…». L’image n’a pas seulement accompagné les discours antisémites. Elle

en 1894. Pourtant, dès 1895, Zola est indigné par les campagnes antisémites, en particulier par celle d'Édouard Drumont dans La France juive et son journal La Libre Parole. La dégradation publique de Dreyfus, le 5 janvier 1895, et son emprisonnement à l'Île du Diable l'interpellent. Le 16 mai 1896, il publie l’article Pour les juifs dans le Figaro en réaction aux campagnes à la Drumont et s'inquiète déjà de l'honneur de la France. Cet engagement, sa stature et son statut de chef de file du naturalisme

elle voulait une véritable transformation de la république, avec notamment le régime plébiscitaire. Avec beaucoup moins d’activité , la ligue antisémite de Guérin est composé d’antirépublicains d’extrême droite. Elle fait suite au best-seller de Drumont, « la France juive » B : Manif Elles sont surtout par les antidreyfusards au début. Après la publication de « j’accuse » par exemple, des boutiques israélites sont attaquées à Marseille, ainsi que des synagogues dans toutes les grandes villes de

second gouvernement Ferry, ou encore celle qui autorise le divorce, également de 1884. Le défenseur de cette loi, Alfred Naquet, est attaqué par l’extrême droite et les milieux catholiques comme juif et destructeur de la famille puis par Edouard Drumont pour son implication dans le scandale de Panama. La République s’appuie également sur des symboles issus de la Révolution française pour s’imposer dans l’espace public : c’est en particulier le choix du drapeau tricolore en 1879, celui de la Marseillaise

les Juifs français. 2 B-…qui s’installe en France En 1883 le journal La Croix est crée (« le journal le plus antijuif de France », selon ses propres termes). De nombreux ouvrages antisémites paraissent dont La France juive (1886) d’Edouard Drumont, qui révèle que la France s’est dégradée du fait des Juifs. La ligue nationale antisémitique de France nait en 1889.Un nouveau courant venant surgit en réaction à la victoire définitive de la République. Il provient de tous les adversaires de celle-ci

la compagnie de Panama, le canal fut alors confié aux USA, plusieurs dizaines de milliers de souscripteurs furent ruinés, et une instruction judiciaire s'ouvrit en 1891. Le scandale fut rendu public en 1892 lorsque la libre parole d'Édouard Drumont et la presse boulangiste dénoncèrent les députés compromis. Le 20 novembre 1892, le baron de Reinach mourut subitement : une commission d'enquête parlementaire fut ouverte et l'autopsie demandée. La campagne contre: « les chéquards », les révélations

politisation de la presse fait naître l’affaire Dreyfus et contribue à en faire un moment de crise politique. Cette affaire éclate le 1er novembre 1984, lorsque le journal d’extrême droite La Libre Parole, animé par le journaliste antisémite Edouard Drumont, brise le secret militaire et révèle qu’un officier juif est accusé d’espionnage au profit de l’Allemagne. Quelques jours auparavant, le 27 septembre 1894, la Section de statistiques découvre dans la corbeille à papier de l'attaché militaire allemand

Les cassures de la Troisième République L’affaire Dreyfus Campagne antisémite menée, notamment par le journaliste Drumont (très connu à l’époque). (16/01/12, dernier cour premier semestre) Pourquoi on s’en prend aux juifs ? Grandes familles qui détiennent les capitaux. Beaucoup de caricatures, campagne antisémite en France extrêmement violente, menée par le journaliste Drumont. Trouve un écho avec les français 1894 : procès du capitaine de l’armée française Dreyfus, condamné pour trahison.

leur camp respectif c'étaient Psst pour les antidreyfusistes et Le Sifflet pour les dreyfusistes. Psst était un journal sans texte. Les antagonistes pour les dreyfusistes étaient plutôt Esterhazy, puis ses partisans Rochefort de L'Intransigeant et Drumont de La Libre Parole. C'était aussi des militaires, des clergés, et des juges. Ils ont soutenu l'antimilitarisme et l'anticléricalisme, et leur figure allégorique. A leur tour, les antidreyfusistes ont représenté comme acteurs principaux premièrement

porté un jugement sur ce dernier. Vers la fin du XIXe siècle, l’antisémitisme en France est très présent, surtout avec la montée du cléricalisme en Europe. La montée de l’antisémitisme est aussi due à la publication du livre «La France juive» de Drumont, antisémite notoire. Donc, lors de cette affaire, on croyait que la religion de Dreyfus encourageait à un penchant envers les juifs d’Allemagne lors de la guerre franco-prussienne qui s’occupait de l’armement (en Allemagne). Les Français de gauche