Druzes

Le XIX ème siècle Au XIX éme siècle, les Egyptiens et les ottomans s’affrontent. En 1860, les maronites sont massacrés par les druyes dans le Chouf : 11 000 morts, 100 000 sans-abri. Les français soutiennent alors les maronites, les anglais des druzes. Les français débarquent et fondent un état : le Mont-Liban, en accord avec les ottomans. C’est à cette époque que vit notre Sainte Patronne : Sainte Rafqâ de Himlaya. La présence française Après la première guerre mondiale, les Ottomans font partie

d’assouvir ses ambitions coloniales. Afin de mettre un terme à cet embrasement, les Turcs diviseront le territoire libanais en deux parties, une chrétienne, une druze, auxquelles s’ajouteront les enclaves des minorités. Mais la guerre se perpétuera, les druzes exterminant les chrétiens, ce qui offrit ainsi l’opportunité à la France de s’implanter au Liban (aux mêmes fins que sa rivale, l’Angleterre) sous couvert de protéger la communauté chrétienne. Au terme du traité de Sèvre du 10 août 1920, la France

22 millions de personne (avant le conflit). La plus grande communauté religieuse est la communauté musulmane sunnite, qui constitue environ 75% de la population. Viennent ensuite les alaouites, avec 12%, les chrétiens qui représentent 10%. Puis les druzes (4%), les yézidis et une petite présence juive concentrée dans les villes de Damas, Al Qamishli et Alep.

qui sont revenues dans le cadre d'accords signés avec la France ou le Vatican, en particulier les chrétiens qui s'étaient refugié au Liban. Aujourd’hui on estime qu'ils représentent 20% de la population israélienne, dont 9% sont chrétiens, 9% des "Druzes"1 , le reste sont des musulmans sunnites. La majorité des Arabes israéliens sont en Galilée (60 %). Dans cette région, où les Arabes sont encore majoritaires, on compte de nombreux Arabes chrétiens, descendant des propriétaires terriens des grands

sous protectorat Français fut en 1920 proclamé par le Général Gouraud comme « état du grand Liban ». Le Liban était au départ une mosaïque confessionnelle possédant un véritable pluralisme culture : Musulmans chiites, Sunnites, Chrétiens Maronites, Druzes, et autres chrétiens. Seulement après la guerre, le bilan est alarmant… Les infrastructures ont été détruites, et près d’un quart de la population a émigré. La paix fragile restaurée au début des années 1990 n’est qu’une étape sur la voie de l’indépendance

de chretiens - 28,8% de maronites - 9,7% de Grecs orthodoxes - 5,9% de Grecs catholiques - 6,8% autres - 48,8% de musulmans - 22,4% de sunnites - 19,6% de chiites - 6,8% de druzes 13 Novembre 1936 : Traité d'amitié et d'alliance entre la France et le Liban. Echange entre les deux pays prévoyant la fin du régime mendataire par l'admission du Liban à la Société des nations. ( cf traité franco-syrien du 9 septembre ).

débute, en avril 1975, par un affrontement entre les Palestiniens et les Phalanges. La fracture se fait entre les conservateurs chrétiens, dirigés par les phalangistes, et ce que l’on appelle alors la gauche libanaise, constituée des Palestiniens, des Druzes, des baassistes, des communistes et des musulmans, tant sunnites que chiites. Les combats sont très meurtriers : le 6 décembre 1975, les phalangistes abattent 150 à 200 musulmans et rasent des camps palestiniens. La ville de Beyrouth est coupée en

Chamoun (1900 – 1987), chrétien maronite et homme politique, a été président du Liban de 1952 à 1958, deuxième président du Liban indépendant. Il est originaire d’une région centrale du Liban : le Chouf, région mixte avec villages chrétiens et villages druzes (schisme). Il a été un des architectes de l’indépendance libanaise, et dirige un parti politique, le Parti National Libéral, et chef du PNL jusqu’à sa mort, pendant la guerre civile en 1987 (de sa belle mort). Tout au long de sa carrière politique

pouvoir s’appuie sur un parti politique, les proches du pouvoir se sont approprié les ressources du pays et 35% du budget du pays passe dans le budget de l’armement. Religions : Islam89% (74% Sunnites et plusieurs minorités chiites, Alaouites et Druzes), Chrétiens 11%. Langue officielle : Arabe, parmi les langues minoritaires : l’arménien, le kurde, l’araméen. Nombre d’habitants : 22,4 millions (2012)  Deuxième partie : Relations étrangères Relations entre

TPC de sociologie : Sujet : Les métiers sur 3 générations au sein de libanais de différentes confessions et provenances géographiques. Professeur : M. Douaihy Le sujet que j'ai choisi de traiter dans ce TPC est celui des changements de métiers sur 3 générations au sein de libanais de différentes confessions et provenances géographiques. Pourquoi avoir opté pour ce sujet ? Lors d'un dîner à la maison, un convive a posé la question suivante à la femme de mon oncle : "comment se fait-il que