Duesenberry

la consommation. Résultat: une variation de court terme du revenu d'un ménage (provoqué par exemple par une période de chômage, ou à l'inverse, par une prime exceptionnelle) n'influencera pas forcément le niveau de consommation. La théorie de Duesenberry ce qui compte, ce n'est pas le niveau de consommation absolu mais le niveau de consommation relatif (comparé à celui des autres ménages). Conséquence: si le revenu de tout le monde augmente, chacun voudra en quelque sorte "conserver son rang"

rendre compte des faits observés, des travaux de microéconomie ont fait intervenir d’autres facteurs déterminant du niveau de la consommation au niveau macroéconomique: - l’inertie de la consommation par rapport au revenu courant : théories de J. DUESENBERRY et de T. BROWN. - la prise en compte d’un effet de richesse : le consommateur ne se réfère pas uniquement à son revenu courant, mais tient compte de l’ensemble de ses revenus futurs, qu’il anticipe - càd de la richesse globale à laquelle il aspire

Epargne Privée, T = Impôts. 2. Les principaux déterminants de la fonction consommation finale des ménages sont : - Le revenu Revenu Disponible réel courant (Keynes, 1936) Loi psychologique fondamentale ; vérifiée à court terme. Revenu Relatif (Duesenberry, 1949) La consommation dépend aussi du revenu le plus élevé obtenu dans le passé. Effet cliquet avec une consommation qui évolue moins que proportionnellement aux variations du revenu. Revenu Permanent (Frieman) Il a une composante transitoire

amené à une reformulation des thèses keynésienne et deux voies ont été concilié: jeter la fonction de consommation keynésienne (Friedman, Modigliani), et sauvegarde cette thèse par des keynésiens comme Brown, Duesenberry. CM éco - Revenu, consommation et épargne des ménages ➡ Duesenberry et Brown: Leur idée est double. - La première hypothèse est que la consommation d’un ménage dépend non seulement de son revenu disponible courant mais également du plus haut revenu qu’il a perçu dans le passé

difficiles à appréhender dans la mesure où les besoins du consommateur sont évolutifs et où son comportement n'obéit pas systématiquement à des considérations rationnelles. - L'effet d'imitation et de snobisme, de démonstration sociale Pour J.S. Duesenberry, les individus cherchent à imiter le mode de consommation du groupe social dont le niveau de vie est immédiatement supérieur au leur. Il en résulte, par un effet d'imitation ou de démonstration, une propension à consommer plus élevée dans le groupe

Co est la part de la consommation qui ne dépend pas du revenu (consommation autonome). La consommation augmente donc avec le revenu national, mais une partie croissante de la hausse du revenu national est affectée à l'épargne. La théorie de Duesenberry Il remarque que, contrairement à ce que voudrait la formule keynésienne, la propension moyenne à consommer (consommation/revenu) reste constante sur longue période, alors que le revenu augmente. Il l'explique par une fonction ostentatoire de la

modèle de son groupe. D’autre part, certains groupes sociaux adoptent un comportement de consommation qui suscite l’admiration chez d’autres groupes lesquels peuvent alors chercher à imiter ce comportement de consommation. L’économiste américain Duesenberry évoque notamment cet effet de démonstration-imitation. De même, certains travaux introduisent l’hypothèse d’une consommation ostentatoire qui peut s’interpréter comme « un effet de démonstration ». L’effet de démonstration provient des agents les

nécessité d’introduire d’autre forme de revenu. Le revenu relatif Yr : Cette approche a été développée par Duesenberry en 1969. Il développe aussi l’effet de Cliquet. ★ ऀLe principe général : La consommation ne dépend pas de son revenu absolu Yc mais de son revenu relatif, c’est à dire de la position de son revenu dans l’ensemble de la distribution des revenus des ménages. Duesenberry effectue le raisonnement suivant : il considère que les ménages qui ont des revenus relativement bas dans la

modèle l’encaisse monétaire (l’argent que j’utilise pour faire des achats) n’est pas présente cela s’explique par le fait que pour lui l’encaisse monétaire est assimiler a un bien de consommation. C) L’effet de démonstration ou d’imitation de Duesenberry Cet effet suppose que les biens ne sont pas seulement consommer pour répondre à un besoin économique mais aussi parce qu’il comporte une charge symbolique c’est-à-dire consommer tel bien est un signe de distinction social, d’appartenance sociale

des ménages  A. Les facteurs liés à la non-rationalité des consommateurs Où donc les ménages ne consomment pas en fonction de leur revenu. a. Le recours déraisonnable au crédit à la consommation b. Les besoins de paraître  selon DUESENBERRY c. Le besoin d’imiter selon VEBLEN (A rédiger) B. Les autres éléments éclairant la consommation : a. Les déterminants socioéconomiques -Le rôle de la société de consommation, qui exacerbe les envies. -Le rôle de