Duesenberry

stable. L’augmentation du revenu se traduit par une augmentation équivalente de la consommation, ce qui ne signifie pas que les ménages ont plus de besoins à satisfaire, mais plutôt qu’ils consomment des biens et services de qualité supérieure. Duesenberry : il insiste sur l’importance des facteurs psychologiques dans la fonction de consommation. Il met en avant le côté symbolique de la consommation à travers l’effet d’imitation ou de démonstration qui consiste à copier le style de vie de la classe

également des anomalies théoriques possibles à la loi classique de l’Offre et de la Demande. Autour des théories du comportement du consommateur, il faut également citer l’économiste James Stemble Duesenberry qui introduit la théorie socioéconomique de l’effet de démonstration ou d’imitation. « L’effet Duesenberry » décrit l'importance des aspects psychologiques dans un acte de consommation. Cette théorie expose l’analyse suivante : les agents d'un groupe social donné auront tendance à imiter la consommation

taux de change de la monnaie nationale favorise les exportations et défavorise les importations, et réciproquement pour une hausse du taux de change les facteurs psychosociologiques - L'effet d'imitation , de démonstration socialePour J.S. Duesenberry, les individus cherchent à imiter le mode de consommation du groupe social dont le niveau de vie est immédiatement supérieur au leur. Il en résulte, par un effet d'imitation ou de démonstration, une propension à consommer plus élevée dans le groupe

PROLONGEMENT DE LA FONCTION DE CONSOMMATION La fonction keynésienne est critiqué car il ya des difficultés pour expliquer les variations de la consommation. 1. LA REFORMULATION KEYNESIENNE a) Les habitudes de consommation On distingue deux auteurs : Duesenberry (américain) Modigliani (américain/italien) Ces deux auteurs en 1948 et 1949 vont chercher à intégrer une dimension temporelle dans la fonction de consommation (effet de cliquet et de crémaillère). Ils mettent en évidence le caractère contra cyclique

mêlent conflits et coopération, faisant surgir des normes collectives pour régler leurs échanges. Ainsi les agents vont consommer en intégrant à leurs décisions les comportements des autres et la réaction des autres à leurs propres consommations. Duesenberry souligne l'interdépendance de la consommation des agents, en mettant en évidence un effet de démonstration qui suppose que les biens ne sont pas seulement consommés pour leurs caractéristiques capables de satisfaire un besoin précis et naturel mais

DÉCISION = MOTIVATIONS ÉCONOMIQUE, PSYCHO- L’ÉPARGNE D’ACHAT LOGIQUE ET SOCIOLOGIQUE LES DÉTERMINANTS ( EFFET VEBLEN ( EFFET DE SNOBISME SOCIOLOGIQUES ( EFFET TARDE ( EFFET D’IMITATION ( EFFET DUESENBERRY ( EFFET DE DIFFÉRENCIATION MOTIFS DE ( BESOIN DE SÉCURITÉ L’ÉPARGNE ( BESOIN DE LIQUIDITÉ COMPORTEMENT DE ( RECHERCHE DE LA RENTABILITÉ L’ÉPARGNANT AUTRE DÉTERMINANT ( ÂGE

plus la rémunération des placements est intéressante, plus les ménages sont incités à prendre le risque correspondant au placement 1.3. Autres théories de la consommation Le « revenu relatif » et l’effet cliquet Théorie du revenu relatif (Duesenberry [1949]) : Eléments d’explication de l’inertie (retard d’ajustement par rapport aux variations du niveau de revenu disponible) des comportements de consommation : • Lien entre consommation d’un individu et place occupée dans la hiérarchie des revenus

Sur le long terme, il apparaît que le rapport entre la consommation et le revenu soit constant, Cad que la consommation augmenterait au même rythme que le revenu. CLL : la théorie de Keynes n'est valable qu'à court terme * Études de John Duesenberry : Mise en place de l'effet de cliquet, ou de crémaillère. C'est quelque chose qui permet de bloqué. En cas de baisse des revenus, les consommateurs cherchent à maintenir, au moins dans un premier temps, leurs niveaux de consommation antérieure.

| | | |Aujourd’hui, même caractères monopolistiques mais pas étalon or pour limiter émission monnaie. | |Duesenberry | |Il travaille sur la consommation des familles dans le budget des EU. L’effet « cliquet » : avec l’habitude, l’individu augmente sa consommation au fur et à mesure | |

mener une politique de relance. Mais les hypothèses keynésiennes sont de court terme (« À long terme, nous sommes tous morts ») et ne tiennent pas compte des variations du coût ou du progrès technique. D’où les travaux de l’économiste américain Duesenberry : effet de cliquet (caractère irréversible de l’évolution d’une variable) : même si le revenu d’un ménage décroît, ses habitudes de consommation persistent. Le niveau de consommation présent est donc dépendant du niveau des revenus perçus dans le