Démocratie Délibérative

permissive. Par l’abolition de la peine de mort, un multirécidiviste ou un assassin d’enfants ne risque plus la peine capitale dans notre société : il peut donc encore représenter un danger. On assiste également, en réaction à leur exclusion de la démocratie délibérative à de nombreux cas de désobéissance civile. L’ensemble des blocages de raffineries de pétroles qui accompagnent les grèves exposent cette tendance qui n’a rien de démocratique, en marge des manifestations. Pour défendre des intérêts partisans

comme régime de gouvernance, crée, ou non, une démocratie supranationale. Puis il reste à savoir quels sont les effets et influences de son existence sur les démocraties nationales. Ma réponse sera que nous pouvons assez facilement considérer l’Union européenne (UE) comme créatrice de démocratie au niveau européen – même si celle-ci reste imparfaite –, ou même à sa périphérie. Malgré cela, l’Union est globalement destructrice de la démocratie en raison des effets induits par sa simple présence

GROUPE : Mr. AWESSOU Abdel Prince AGBODJAN Andy HOUNMONTO Richard SIDI TRAORE Moutiou WOTTO Maxence Anthony PLAN INTRODUCTION I- DEMOCRATIE ET DEVELOPPEMENT II- CAS DE L’OCCIDENT III- CAS DU BOTSWANA IV- DEMOCRATIE ET PRODUCTIVITE : EXEMPLE DU SENEGAL V- DEMOCRATIE ET DEVELOPPEMENT HUMAIN DES MINORITES RACIALES CONCLUSION INTRODUCTION La démocratie n’a jamais été considérée comme un bien pendant la majeure partie de l’histoire de la pensée politique occidentale. Entretemps, elle est

politique est le produit d'interactions de discours tenus par des acteurs qui n'ont ni le même statut, ni la même légitimité dans le champ politique mais qui, par leurs positions respectives dans l'espace publique, conditionnent le fonctionnement de la démocratie. Cependant, on ne saurait réduire la communication politique à des interactions entre acteurs puisqu'elle suppose un certains nombres d'enjeux deviennent saillants dans l'espace publique. Il faut donc, pour s'intéresser à la communication politique

Chapitre 1 – La violence politique La violence politique ne devrait plus exister car la démocratie représentative est une compétition pacifiée pour la conquête et l’exercice des positions dans l’Etat. Mais en réalité la violence est un outil devenu ordinaire. Une violence politique doit d’abord être physique (une injure est une violence symbolique) et être pris en charge par le politique (sans quoi les actes demeurent des violences sociales, comme le hooliganisme). Section 1 – Les manifestations

républicaine – et deux syndicats – CGT et CFTC. À ces seize membres s'ajoutait le président – Jean Moulin jusqu'à son arrestation, puis Georges Bidault, qui représentait les démocrates-chrétiens –; deux secrétaires participaient aux réunions sans voix délibérative. Les buts du CNR étaient dictés par l'efficacité organisationnelle et les nécessités politiques: réunir et représenter les groupements de Résistance et leur transmettre les directives de Londres dans le but de chasser l'occupant; lutter pour

Démocratie cosmopolitique et communauté politique PLAN 1) La question/ problématique qui anime les 5 leçons : démocratie cosmopolitique et communauté politique. 2) Cosmopolitisme contemporain et classique 1) Le débat autour de la démocratie cosmopolitique et de la communauté politique se développe dans le cadre de la mondialisation contemporaine mais n'est pas réductible à cette idée de mondialisation. C'est une question qui va au coeur même du projet de la modernité et va au coeur

Démocratie et désincorporation Edouard Delruelle p. 190-205 Texte | Notes | Citation | Auteur Texte intégral Sig 1Dans Les Deux Corps du roi (1957), Ernst Kantorowicz soutient que la nal er matrice idéologique de l’État moderne se situe dans la « théologie politique »ce médiévale, et plus précisément dans l’idée que le royaume est un corps doc um mystique dont le corps du roi est la tête, un collectif où le pouvoir est ent incorporé, au sens fort. L’État a un corps, le pouvoir a un corps. Cette

de « tiers secteur », qui se distingue à la fois du marché et de l’Etat, mais exerce, de l’extérieur, des pressions tant sur l’un que sur l’autre. § 2. - Opinion publique et démocratie Cette définition doublement négative, qui caractérise aujourd’hui la société civile, est liée à l’évolution de la notion de démocratie et de ses rapports avec l’opinion publique. Dans la Cité grecque, la communauté politique, traduite en latin par « societas civilis », désignait l’assemblée des citoyens, qui se

C. F. ans les démocraties contemporaines, divers signes attestent aujourd’hui un malaise politique : tendance à la montée de l’abstention électorale et renforcement des votes protestataires, déclin du militantisme et des formes classiques de l’engagement civique, renforcement des attitudes de défiance à l’égard des politiciens dont l’intégrité et la capacité à agir sur la société sont mises en doute. Si la grande majorité des citoyens reste attachée au principe de la démocratie, une partie d’entre