Démocratisation Massification Scolarité

relancera une nouvelle phase de modernisation du système éducatif français, marquée par la tentative de pacification des rapports entre enseignement public et enseignement privé (loi Debré – 1959), la prolongation progressive à 16 ans de la période de scolarité obligatoire et la suppression de l’examen d’entrée en sixième (1959), puis, devant une demande d’éducation accrue et des besoins nouveaux, liés notamment au développement des emplois du secteur tertiaire (emplois et services, bureautique…), la mise

tant que membre d’une classe. Le problème est de savoir quel est le véritable rôle de la vie scolaire : une structure organisatrice ? Educatrice ? Il convient de s’adapter depuis une trentaine d’année au nouveau public sorti de la massification et la démocratisation de l’enseignement. L’Ecole n’est désormais plus réservée à une élite et tout le monde a droit à l’éducation. La vie scolaire prend alors une place importante dans le système éducatif, ou devrait-elle en tout cas. Le principal problème

principale source de mobilité, du fait de la faible démocratisation de l’école. De ce fait, on ne peut parler de manière rigoureuse de « fluidité ». Cependant, la massification scolaire, accompagnée d’une certaine mutation des emplois, a permis une plus grande fluidité sociale jusqu’à la fin des années 1990. Mais cela implique une société (et une école) plus concurrentielles. Mais ce mécanisme semble se gripper dans la mesure où les progrès de la scolarité ont ralenti, et où on voit apparaître de nombreux

l’impact sur le XIXème  L’évolution du système depuis Ferry Dans tous les cas, une constante : un accès de plus en plus large à l’éducation depuis le Moyen Age, avec une accélération sans précédent depuis la fin du XIXème et après la 2nd GM : forte démocratisation. La question de l’éducation – au sens large – est une préoccupation constante des sociétés car elle permet d’assurer passation des connaissances mais aussi des valeurs culturelles entre générations. Ainsi, je vous propose de faire un tour rapide

les capacités d’intégrer les individus sont déférents et peuvent entrainer des effets néfastes. Mais la famille continue de socialiser par l’intermédiaire de valeurs plus subjectives comme l’amour, l’affection etc. les parents investissent dans la scolarité et depensent dans des aides scolaires. L’homogamie sociale est aussi un acteur de l’intégration sociale. L’école peinait à remplir la fonction d’intégration qu’il lui a été confié lors de la IIIe république. En effet, il y a la diversification

établissements en leur attribuant des moyens supplémentaires et en les incitants à développer des projets pédagogiques spécifiques. II. Les inégalités scolaires en France de 2003 à aujourd’hui : Amorcer dans les années 1970-1980 le mouvement de massification de la scolarisation a largement contribuer à réduire les inégalités d’accès au baccalauréat puis aux études supérieures jusqu’alors réservées aux catégories sociales les plus favorisées. En effet, on assiste à partir du milieu des années 1980 à

développement de la fonction de préparation au collège par l’école élémentaire se traduit aussi par l’accent mis parallèlement sur les apprentissages fondamentaux et instrumentaux (français, calcul). Avec la loi d’orientation de 1989, la scolarité primaire est organisée en cycles d’apprentissage de 3 années : cycles des apprentissages premiers (maternelle), cycle des apprentissages fondamentaux et cycle des approfondissements (dernière année de maternelle et classes élémentaires).

I. La démocratisation du système éducatif La démocratisation c'est d'abord un phénomène statistique et quantitatif qui prend deux forme, la premiere forme c'est la généralisation à l'accès a l'information et la deuxième c'est l'allongement de durée moyenne de scolarisation. Par rapport au milieu du siècle la scolarisation n'est plus réservée aux enfants des cat. Sociales supérieurs mais concerne tous les enfants quelque soit leur origine sociale, on parle alors de massification scolaire i

mission principale de faire de l’espace scolaire un espace de vivre ensemble. Il a une vision à la fois généraliste, ayant sous sa responsabilité la gestion et le suivi des classes et une vision personnalisée de l’élève en l’accompagnant dans sa scolarité et dans son orientation professionnelle. La relation qu’il entretient avec ses partenaires éducatifs est motivée par la volonté de donner à l’élève tous les outils lui permettant d’apprendre dans les meilleures conditions et pour cela un travail

lois entérinent les choix éducatifs de 1985 avec l’apparition de la loi d’orientation sur l’éducation et celle relative aux conditions d’entrées et de séjour des étrangers en France ; « les programmes scolaires comportent à tous les stades de la scolarité des enseignements destinés à faire connaitre la diversité et la richesse des cultures représentées en France ». Dans le même temps est créé le Haut Conseil à l’intégration pour un effort de clarification des notions d’« étranger » et d’« immigré