Démocratisation Massification Scolarité

service soit augmentée et donc que des opportunités d'emplois se présentent. Quand on part de la mobilité brute et qu'on lui enlève la mobilité structurelle, on aboutit à la mobilité nette, celle qui est due a la mobilité individuelle. La massification et la démocratisation scolaire a fait que la mobilité nette a plutôt été une mobilité ascendante. Cependant cette mobilité sociale est plutôt une mobilité de proximité et les trajets de mobilité sont souvent courts. Il faut souvent plusieurs générations pour

grande sont aussi ceux où l’efficacité est la plus importante, et inversement. Les bons élèves de l’enquête PISA sont le Canada, la Finlande, la Corée du Sud, l’Australie, le Japon et la NouvelleZélande. PISA permet de montrer que les efforts de démocratisation sont payants. Les pays qui occupent les premiers rangs en matière de performance scolaire sont aussi, bien souvent, ceux qui limitent le plus les inégalités. PISA montre que la justice (sociale) et l’efficacité (économique) vont de concert. Les

corporelle : Une vision du monde conception du corps Dans les structures mentales dans la réalité sociale qui l’entoure Il y a donc une différence entre culture scolaire et culture sociale, notamment après la démocratisation : cela se faisait avant l’école, maintenant se fait dans l’école et est légitimé. Il y a un désinvestissement de certains groupes car ceux-ci sont inscrits dans une probabilité qui devient une cause. Ex. : Un fils d’ouvrier deviendra ouvrier

Ces enjeux orientent la réflexion vers une noosphère (Y. CHEVALLARD La transposition didactique 85) composée de ministres, chercheurs, théoriciens, penseurs, mais aussi formateurs (rajoutés par MA et JSM L’EP de 45 à nos jours, les étapes d’une démocratisation 2004) Pour A.Prost. Eloge des pédagogues 1985 « toute éducation est politique »G.MALGLAIVE («La formation alternée des formateurs», Revue française de pédagogie, 1975) écrit que «tout projet éducatif est réalisé en fonction d’un projet de société»

consacrer tout entier. A tous je demande un bienveillant concours qui, j’en suis persuadé, ne me fera pas défaut. ” Le sport scolaire est dès lors sur de bons rails. Mais la base structurelle fournie par l’OSSU est encore faible, à l’image de la massification du second degré : Il n’y a en 1938, que 540 AS et 17 000 licenciés ; en 1939 640 enseignants d’EPS. Parmi les licenciés, bien peu de filles (mais je ne dispose pas de chiffres). L’animation de l’AS ne relève toujours pas des enseignants d’EP

sociale de l’élève. Dans les années 60’s et plus précisément a partir fin 50’s , le secndaire commence a se démocratise cad a s’ouvrir progressivement à toutes les couches sociales. On assisste à un début de massification de l’enseignement secondaire. On parle de plus en plus de la démocratisation scolaire qui renvoit a l’idée d’un accès égal pour les enfants de ttes les catégories sociales aux différents niveaux scolaire. Le discours politique et académique qui accompagne toute ces différentes réforme

Dubet etc..) ont donné naissance au terme « sociologie de l’éducation ». Cette approche de l’éducation remet en cause la reproduction d’inégalités/structures sociales à travers l’école. Nous avons tous eu une expérience sociale au sein de notre scolarité qui nous a permis de juger si oui ou non les clivages sociaux vs culturels ont eu une influence sur notre méthodologie et l’apprentissage de nos connaissances. Ce qui nous amène donc à notre problématique : l’origine sociale influence t-elle les

compte   ici   plus   que   celui   du   père   car,   compte   tenu   de   l’inégale   répartition   des   tâches   domestiques,   ce   sont   surtout   les   femmes   qui   s’occupent   de   la   scolarité   des   enfants).   Les   tables   de   mobilité   des   fils   gagneraient   donc   à   intégrer   la   profession  (ou  le  niveau  de  diplôme)  des  mères  et  pas  seulement  la  profession

deux instances de socialisation : La famille et l’école. Depuis les années 60, par la création du collège unique, on assiste à une massification, une augmentation des élèves. On a augmenté l’âge de la scolarité obligatoire, on a créée des filières technologiques, on augmente l’offre de formations et pour cela on crée des bourses. Mais il n’y a pas eu de démocratisation. L’obtention du diplôme du supérieur et notamment dans certaines filières dépend de l’origine sociale des parents. Document 2,

des études. Certains sont donc obligés de trouver un emploi parfois contraignant afin de pouvoir assumer les dépenses de première nécessité. Mes premières lectures se sont tout d’abord centrées sur l’évolution de l’Université en France et la massification des étudiants. Il était important pour moi de connaître l’histoire du monde étudiant afin de comparer la situation passée avec la tendance actuelle et de mieux appréhender les multiples problèmes rencontrés par les étudiants. Mes lectures à ce